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De façon unanime et concordante les différentes traditions réparties à la surface du globe ont fait état d’un âge d’Or suivi d’un cataclysme. Les récits se recoupent tous autour d’un évènement cataclysmique s’étant produit entre 8 à – 12.000 ans avant JC qui correspond aussi avec la fin de la dernière glaciation de Wurm. Il y eut au pléistocène d’importants bouleversements du climat, froid et rude durant la période glaciaire, puis doux et tempéré pendant l’interglaciaire, jusque dans les régions polaires. Aujourd’hui on a des preuves suffisantes pour montrer que les régions arctiques d’Asie et d’Europe étaient caractérisées à la période interglaciaire par des étés frais et des hivers doux, équivalent à un perpétuel printemps ; et des endroits comme le Spitzberg au-delà du cercle polaire étaient alors couverts d’une végétation luxuriante qui ne pousse, à présent, que dans les climats tempérés ou tropicaux. Ce fut l’arrivé de la glaciation qui détruisit ce climat propice et rendit ces régions hostiles à cette flore et à cette faune nécessitant la grande migration à la fois vers les steppes de l’Asie et l’Amérique du Nord. L’ensemble des faits établis à ce jour nous permettent de concevoir que le berceau civilisationnel de la race humaine doit être cherché dans les régions arctiques, et que les premières civilisations ont également pris naissance en cet endroit. Ce lieu hyperboréen dont l’ancienneté nous fait remonter au mésolithique ( – 34.000 ans) coïncide avec un temps connu dans tous les mythes sous le nom d’Age d’Or et qui fut universellement transmis notamment dans les Védas. Lors de leur exil forcé ces peuples évolués transmettront leurs connaissances à mesure de leur progression en Asie centrale puis dans la vallée de l’Indus (agriculture) avant de se répandre en un foyer central rayonnant à partir de l’Anatolie et du Caucase. L’Humanité y recommencera un nouveau cycle comme en témoigne l’Egypte antique, foyer secondaire de la tradition polaire. Ce legs attesté par d’anciens textes sacrés tels les Védas ou les Eddas – reçu le nom de Tradition Primordiale.
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de Mal’ta à Val Camonica …
Première partie : Il était devenu urgent de confronter le mythe avec la réalité et en particulier avec les données de la Science. L’étude de la préhistoire est là pour nous rappeler que les catastrophes climatiques peuvent aussi avoir des causes totalement extérieures au fonctionnement de notre belle planète. C’est ainsi que le brusque refroidissement qui congela l’hémisphère Nord pendant plus d’un millénaire, entre – 12 900 et – 11 600 ans, a vraisemblablement été provoqué par la chute de très gros cailloux venus du ciel. Autrement dit, de comètes ou de météorites dont l’impact sur le sol a éjecté d’importantes quantités de poussières dans l’atmosphère. Ces dernières, en bloquant une partie du rayonnement solaire, auraient fait dégringoler les températures d’environ 7 °C en l’espace de quelques siècles. Mieux les impacts d’un essaim d’astéroïdes ont provoqué un cône de dépressurisation laissant l’écorce terrestre en contact avec le vide sidéral provoquant une congélation immédiate. Ces bouleversements majeurs expliqueraient la disparition de grands mammifères, comme les mammouths, mais aussi celle des fameux hommes préhistoriques de la culture Clovis, longtemps considérés comme les plus anciens habitants du Nouveau Monde.
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Seconde partie : vers 950 av. J.-C. environ, la grande migration prend fin: les Doriens sont désormais fixés dans le Péloponnèse et les Latins sur les cols Albains. L’ethnos italique et hellénique, saturé d’éléments nordiques, se prépare à la grande saison de la civilisation classique. De la Grèce à l’Italie se répand une nouvelle constellation symbolique dont l’étoile polaire est le svastika — qui revient des centaines de fois sur les vases de l’époque géométrique comme sur les urnes-cabanes (surmontées d’un toit à double pente) du Latium.
La préhistoire est terminée. Sur l’Hellade brille l’aurore homérique. Essentiellement lorsque le premier peuple indo-européen d’Europe commence à parler, son message est celui de la religion olympienne, ses légendes sont pastorales. De deux mille cinq cents ans de préhistoire religieuse européenne, un mot nous est resté : DYEUS. C’est le nom de la divinité : Juppiter — de Diuspater (génétif Iovis, datif Iovi ) parmi les Latins ; Zeus (génitif Dios) chez les Grecs; Dyaus en Inde; Tyr ou Ziu dans le monde germanique. C’est le nom du dieu suprême et, dans le même temps, celui du ciel divin dans toute sa luminosité et toute sa splendeur. Et c’est ici en 753 av JC, dans l’un des méandres du Tibre que commence l’histoire d’une ville amenée à devenir le centre du monde. Il convient donc de démêler la légende des faits pour comprendre ce qui a fait le succès de cette cité et comment elle fut aussi la dernière colonie où se fixa la Tradition Primordiale et l’aurore d’un nouveau monde en gestation.
nouvelle édition augmentée 14 cm x 22 cm, 220 pages, 29 €
« Nos travaux antérieurs nous ont montré qu’au point de départ de nos annales se situe une Révélation, ou illumination primitive de la pensée humaine; celle-ci se trouvait pourvue, en effet, originairement, d’un potentiel mental supérieur, qui l’exhaussait au-dessus de la « nature ». Le péché, en la dessoudant de Dieu, autrement dit de l’Etre, l’a dépouillée ipso facto de sa puissance première, et scindée de l’essence des choses. C’est ce dénivellement, cette chute vers un palier inférieur de connaissance, qui a ravalé le surhomme du début au rang d’homme, et déterminé la vision de l’univers comme un fluctuant agrégat de mécanismes physiques.
Les conséquences de cette catastrophe furent, et restent, terribles pour notre espèce. Mais ce qu’il est essentiel de noter, c’est que l’illumination initiale nous a marqués pour jamais d’un sceau divin. Soudé à l’être de par son principe constitutif, l’homme le recherche invinciblement, et ne saurait se satisfaire des impressions de surface dont son intellect doit présentement s’alimenter. Scindé de Dieu, il ne peut pas, sous les formes parfois les plus étranges, ne point affirmer Dieu, et aspirer à Lui. Qu’il le veuille ou non, qu’il s’en rende compte ou qu’il l’ignore, il se meut dans l’Etre, et s’asphyxie hors de l’Etre. Jeté dans un cosmos opaque, il tente donc inéluctablement de retrouver les mondes de lumière, et de se frayer des chemins vers eux, au sein des ténèbres où il se débat. Ces tentatives forment ce que nous appelons les traces de la Révélation Primitive. Nous pourrions dire, tout aussi bien, les reflets. » Pierre Gordon
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PRÉFACE
INTRODUCTION. – Ce qu’est la Révélation Primitive
CHAPITRE PREMIER. – Vue perspective
On ne saurait expliquer l’humanité et l’histoire si l’on s’en tient à l’homme actuel. — Etat primordial d’illumination, occultation primitive, et révélation. — Importance du premier ancêtre. —L’existence de la tradition prouve que la pensée humaine ne relève point de l’animalité. — La substance de la tradition primitive. —Inconsistance présente de l’histoire et de l’homme. — But du présent travail.
CHAPITRE II. – Conséquences générales de l’occultation primitive
Rupture avec l’être. — Rupture avec l’unité. — Isolement du Je humain. — Dualité fondamentale. — Gravité d’une rupture avec l’être. — Le travail comme condition de la vie du corps. —Transformations organiques. — Persistance des notions primordiales. — Avènement de l’art. — La mentalité ontologique. — Pourquoi la mentalité empirique actuelle ne fut point primitive. —Persistance de la mentalité primordiale ou mentalité ontologique, chez les « primitifs » actuels.
CHAPITRE III. — Les initiations et les « mystères », comme suite de la Révélation Primitive
Le rituel initiatique ou rituel de mort et de résurrection. —L’initiation chez les « primitifs » et les demi-civilisés. — L’initiation dans l’antiquité. — L’initiation chrétienne. — Les vues de Gorsleben, de Hohlenberg, et de Lewis Spence. — L’hermétisme et les doctrines connexes. — L’univers inaccessible et insaisissable, foyer d’aimantation pour la pensée humaine. — La tradition initiatique et son support rituel. — La théocratie ancienne, propagatrice des initiations et des mystères.
CHAPITRE IV. – Le signe cruciforme comme symbole de l’occultation et de la révélation
La croix préhistorique à branches égales. — Sens primitif du symbole cruciforme. — Conceptions liées au signe cruciforme. — Notions ultérieures, plus complexes. — Utilisation ancienne du signe cruciforme dans les rites. — Survivances astrologiques des anciens rites, inhérents au signe cruciforme. — Autres idées greffées sur le signe cruciforme. — Le signe cruciforme païen et le signe cruciforme chrétien. — L’occultation temporelle et le signe cruciforme. — L’illumination primordiale et le symbole du cœur.
CHAPITRE V. – La voyance
Fondement de la voyance. — Les prophétesses sacrées. —Pourquoi les Nornes et les Moires l’emportaient sur les dieux. —Prévisions et liberté. — La voyance comme facteur d’unité religieuse.
CHAPITRE VI. — La Religion, fruit de la Révélation Primitive
Définition et origine. — Le sacré et les notions connexes (le mana). — Les différentes formes religieuses. — La religion et la science. — La religion et la magie.
CHAPITRE VII. — Le culte des ancêtres
D’où vient le rang supérieur attribué aux ancêtres. — La place du premier ancêtre dans les diverses civilisations. — Le premier ancêtre et l’être suprême. — Le premier ancêtre et le diable. —Résumé et schéma. — Le « culte des morts » ne fournit point l’explication des faits.
CHAPITRE VIII. – L’univers rituel comme survivance de l’illumination primitive
La notion de l’univers rituel. — Sa source. — L’île sacrée. —La montagne sacrée. — Les monts Atlas. — La montagne rituelle, principe de l’architecture. — La Rome primitive et le nombre 12. — La montagne, succursale du ciel. — Le n monde souterrain » ou les « enfers ». — L’autre monde et l’ici-bas.
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La suite …
Culture polaire nordique, russe et caucasienne, les 7 Rishis .. la jonction Thulé et Atlantide, aux origines du Védisme originel, la suite de la Révélation primitive
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