De quelle manière la fabrication du Tabernacle, est-elle, selon la littérature midrashique, l’équivalent de la création du monde ? Quelles sont les théories développées par Sir Isaac Newton, le père de la Science moderne, à partir des dimensions du Tabernacle ? Pourquoi le choix de Betzalel, de la tribu de Yehuda et d’Oholiav, de la tribu de Dan pour la construction du Tabernacle ?
Gaudi a tout simplement réinventé la cathédrale comme nul autre depuis les bâtisseurs médiévaux. Violllet Le Duc l’avait redécouverte mais Gaudi la réinvente et c’est tout autre chose. Il s’inscrit dans cette liste des grands architectes modernes comme le fut le dernier grand maitre de l’authentique maçonnerie avant son dévoiement : Sir Christoher Wren.
Depuis ses débuts à l’université de Cambridge jusqu’à sa mort, Isaac Newton s’est longtemps intéressé au temple de Salomon, un sujet qui apparaît dans ses travaux sur la prophétie, la chronologie et la métrologie. À l’époque où Newton travaillait sur les Principia, il a reconstruit le temple et commenté les reconstructions des autres. Une partie importante de ses recherches concernait les mesures du temple, qui étaient harmoniques et construites « exactement comme les proportions de l’architecture l’exigent ». Newton considère que ces proportions sont conformes aux livres III et IV du De Architectura. Cependant, tout en insistant sur l’exactitude des proportions architecturales, Newton s’est éloigné des proportions traditionnelles de l’homme de Vitruve ; il en a tiré un homme newtonien. Cela pose une énigme intéressante : Newton accepte les proportions architecturales du temple telles qu’elles sont décrites dans le livre III de Vitruve, mais il rejette le modèle humain que Vitruve a utilisé comme fondement de ces proportions. En même temps, Newton acceptait le cadre humain comme base de toutes les mesures antiques et tentait d’estimer la longueur de la coudée sacrée en se basant sur les longueurs des parties du corps et les mesures établies par les auteurs antiques tels que Vitruve.
La Franc-maçonnerie rendue intelligible à ses adeptes (et il était temps !) :
Et si la vérité était ailleurs et que tout ce que vous aviez cru n’était qu’une aimable fiction ? En réalité la vérité est ailleurs et la réalité dépasse de loin la fiction.
Les maitres bâtisseurs, souvent moines itinérants sont arrivés en Europe par deux vagues : la plus ancienne correspond à la destruction du temple de Salomon et l’exil à Rome : les premiers collèges initiatiques se forment à l’ombre de la kabbale. La seconde vague sera occasionnée par la chute de l’empire franc d’Orient et provoquera un exode encore plus massif. Beaucoup se retrouveront en Italie où Ils s’agglomèrent aux anciennes communautés déjà existantes, c’est la naissance de la Bauhütte le long du Rhin à partir du Nord de l’Italie puis sous l’influence des moines irlandais en Écosse où ils possèdent abbayes et monastères.
Un mot rabbinique : pendant longtemps et on le doit ai Pasteur Anderson le mythe du maçon tailleur de pierre avec son imagerie haute en couleur a servi de cadre explicatif pour comprendre l’origine des rituels mais il n’est de vérité fausse qui ne finisse par se dégonfler comme une baudruche car de tout cela il n’en est rien ! Tout comme la signification alchimique de la statuaire ou des tympans de nos cathédrales ! Il est vrai que le romantisme du XIXème siècle a contribué à diffuser l’image pieuse et niaise du chantier « légendaire » qui sera reprise en exergue des livres de notre cher Oswald Wirth avec son apprenti méditant tel l’artiste sur son bloc de marbre (lol !)… Victor Hugo avec sa cour des miracles sur le parvis de Notre Dame où Esmeralda (pierre cubique) danse au son de son tambourin tandis que Quasimodo (pierre brute) sonne le tocsin ! … C’était à peu près la vision des origines de la maçonnerie et il pouvait être tentant de la maintenir par gout du folklore. Pourtant au départ il s’agit simplement de pratiquer le mot et de l’appliquer à la gloire de Dieu, après tout les maitres bâtisseurs sont là pour çà : construire un temple, le consacrer et louer la gloire de la Shékinah assimilée à la Vierge mère. Puis la consécration du mot deviendra rituel du mot des maçons et ce rituel deviendra sous l’égide des St Clair l’embryon de la Franc-maçonnerie à l’aube du XVème siècle (donc 3 siècles avant la création d’une réplique édulcorée par les anglais)
Avant toutes choses il convient de signaler le sémantème dans lequel s’insère la légende d’Hiram et Hiram lui même : H-R-M (comme Hermès). Ce sémantème avec d’autres comme K-R-L / G-R-L (Graal ou Gargan), A-T-L (Atlantide, Atlas) ou K-B-R (cabire) appartient à la langue de la Tradition primordiale et engendre une sorte de tourbillon sémantique ou champ gravitationnel nécessitant la plus grande prudence avant de se confronter à lui. Normalement Hiram n’appartient pas à l’histoire du Rite du mot de maçon puisqu’il n’apparait dans les rites qu’à partir de 1725 (qui ne connait qu’un rite en deux mots J et B puis éventuellement G mais pas en M.B . Alors pourquoi l’avoir introduit au risque de déstabiliser le rite pratiqué en deux grades jusque là ? Qu’est ce qui a pu pousser ses théoriciens à l’introduire ainsi dans la nouvelle maçonnerie qui se met en place et sur quelle base puisque dans la bible Hiram, le roi phénicien de Byblos n’a jamais été tué ! Nous allons tâcher « d’y voir plus clair« .
David (en hébreu : דָּוד, qui signifie « Bien-aimé ») est une figure importante de la Bible en tant que troisième roi de la Monarchie unifiée d’Israël et Juda à la suite de Saül et d’Ish-boshet. Avec Salomon, son fils et successeur, il est l’un des fondateurs majeurs de l’État israélite. Il est aussi le principal auteur des psaumes.
Le personnage biblique de David est également présent dans le Coran. Il y figure sous le nom de Daoud, le prophète-roi.
Le rituel du Graal et sa transmission est lié au messianisme. Il conviendra de distinguer deux messianisme fondamentaux : le messianisme sacerdotal (incarné par Jacques dit le Juste) et le messianisme royal incarné par Joshua ben Joseph, autrement dit Jésus. Au départ ces deux messianismes n’ont font qu’un avant de se distinguer. Nous verrons pourquoi.
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