Archives du mot-clé Lotus de Païni

L’ésotérisme du Saint Graal, Perceval et la Tradition Primordiale

Vient de paraitre !32 €

En fait trois livres : L’ésotérisme de Parzifal complété d’une étude sur Wagner les R+C, Le Mysticisme intégrale complété d’une étude sur le Graal et l’Église de Jacques, Le Graal à la lumière de la Tradition Primordiale.

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Totem de la femme et genèse du mâle

Apparition de la Shekinah dans le Saint des saints

C’est en Chaldée (qui deviendra Mésopotamie puis l’empire perse) que se sont achevés les grandes invasions indo-européennes apportant avec elles une nouvelle culture et l’émergence du masculin.

Pierre Volonté est le nom du troisième livre sur le Totémisme magique, de Lotus de Païni, dont les premières études ont été rééditées par nos soins au cours de ces dernières années . Pierre « Volonté » clôt le cycle religieux du Totem et s’espace du début du quaternaire à l’ère nouvelle.

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Lotus de Païni, le matin des magiciennes

Lotus de Païni et le baptême sanglant

Lotus de Païni à Dornach

Lotus de Païni est le nom de plume de Elvezia Gazzotti (née italienne, Copparo, petit village au nord-est de Ferrare, le 28 novembre 1862; décédée à l’hospice de Fumel, près de Puy-Lévêque (Lot), le 22 juillet 1953). Nous empruntons à Marc Le Gouard ces quelques éléments de biographie (la suite dans le livre).

Elle s’éteint à 91 ans en pleine lucidité et ne cesse encore de consigner de feuillet en feuillet l’objet saisissant de ses visions intuitives et raisonnées, un perpétuel mouvement de pendule entre l’ancien âge d’or de l’humanité et aujourd’hui, un passé si lointain que seul un pouvoir de conteuse a pu réactiver dans notre actuel environnement mental.  Elle signera « Lotus » (apparue dès 1889), fleur emblématique de la spiritualité bouddhique et théosophique, liée à l’éveil des chakras, elle est un symbole – et pour notre auteur un véritable Numen Mysticum – qui caractérise bien le mécanisme à l’œuvre dont les livres seront le fruit : le Lotus, ou nénuphar rouge, plonge la nuit au plus profond des eaux de la mémoire, pour ramener celle-ci au matin et au jour à la visibilité de tous.

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Athéna et la Vieille Europe, souvenir de la Grande Déesse

Athéna : souvenir de la Grande Déesse.

Il faut l’admettre et s’en faire une raison mais la plupart des mytho analyses produits sur cette grande figure de l’Acropole (qui faisait 12 mètres de haut)  sont vouées à rejoindre les poubelles de l’Histoire. Pourquoi ? tout simplement parce que la plupart des historiens ont par conviction idéologique zappé sur la plus grande civilisation, celle que Marija Gimbutas avait nommé la culture de la vieille Europe.

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Rudolf Steiner et les archives akashiques : la Femme solaire

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Du Rôle de la mémoire et des mémoires … par Johan Dreue ancien chercheur en neurosciences

Mémoire et systèmes auto-organisés ou du chaos bien pensé.

L’intelligence est tel un prisme aux nombreuses facettes. Il ne s’agit pas d’une qualité propre aux conduites humaines mais d’une fonction auto-orga­nisatrice de comportements qui se développent et évoluent. Il n’y a pas que le cerveau humain qui soit le support de l’intelligence : tout autre système qu’il soit naturel ou artificiel peut engendrer des comportements intelligents et de fait générer une mémoire de facto. Johan Dreue

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La Femme solaire, son odyssée

Le matin des magiciennes, en stock

Illustration ci-dessous « la Femme oiseau », Egypte, période pré-dynastique. Nagada, IIa c. 3 500 à 3 400 avant notre ère… La période prédynastique est la dernière période de la préhistoire égyptienne. Elle fait la transition entre le néolithique et la formation d’un État par unification du pays et centralisation des pouvoirs aux mains des dynasties pharaoniques.

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Odyssée de la Femme solaire en terres atlantéennes

« Lorsque les hommes atteignirent les terres Atlantéennes, le Soleil commençait à filtrer à travers les brumes qui se dissipaient plus rapidement. Alors le Soleil était jaune et bleu. Il agissait par son rayon ultra-violet, la végétation était toute puissante, ardente. La Plante se sursaturait du carbone de l’atmosphère. Des arbres, des buissons, des herbes, montait un grand flamboiement  » aithérique « , l’activité des rayons courbes solaires était grande. La lumière bleue décuplait les forces germinatives. Quels furent les prodiges de cette végétation sursaturée d’eau ? Tout était vert sur la terre ; l’être chlorophyllien exubérait. Le mana végétal ruisselait dans l’âme des êtres ; le monde des plantes enveloppait les terres d’un souffle de rêve, c’était la grande Inspiration intérieure .

La Terre, encore toute imprégnée de la pleine force lunaire, seule dominatrice dans l’atmosphère Lémurienne, se sentait étreindre, métamorphoser par le contact solaire qui la serrait de sa line poussière bleue ; l’ionisation était formidable, le magnétisme de la circulation nerveuse de la l’erre en était profondément modifié… Toute l’âme tellurique résonnait éperdue dans l’espace, les hommes le sentaient, ils cherchaient d’autres réalités. Le Soleil s’éclairait de plus en plus, il devenait le Seigneur sidéral de la Terre, la Lune s’effaçait devant cette jeune puissance élémentaire.

C’est dans une telle atmosphère, dans une telle jeunesse et exubérance de la végétation que se firent les transmutations et les cristallisations intérieures propres à l’édification du Penser. Mors, le grand Etre spirituel de la Plante adombrait la race humaine

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L’Odyssée de la Femme solaire, extrait ..  en stock

« La Femme est une merveilleuse plante de chair, elle a du Végétal les deux êtres, les deux profondes respirations, comme la Plante elle est chlorophyllienne, comme la Plante elle épanouit sa fleur, elle porte le fruit, elle est verte … »

 

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 Avec Simone de Beauvoir, Marija Gimbutas (le langage de la grande déesse), Lotus de Païni (1862-1953) figure au premier plan de ces femmes pionnières dans l’histoire récente du féminisme. Artiste peintre au talent reconnu pour son art de portraitiste, elle peignit la coupole du premier Goetheanum de Rudolph Steiner avant de troquer les pinceaux pour la plume en laissant une œuvre lumineuse dont les lecteurs assidus étaient des auteurs tel qu’André Breton, Henry Miller ou encore René Daumal, figure  importante du « Grand Jeu ». Dans cette étude elle entreprend l’analyse de la plante – autant sur le plan physiologique qu’anthropologique et revisite les races anciennes, atlantéennes selon elle, là où se fonde le matriarcat, avec cette avancée importante : la plante ne précède pas l’animal mais lui succède et l’achève. Il nous faut donc repenser notre rapport avec son mystère qui se confond dès lors avec celui de la féminéité des premières sociétés. Cet être « vert » permettant à l’humanité d’accéder à un palier supérieur est resté encore à ce jour incompris. Nous avons largement commenté et analysé dans la seconde partie ces vues extraordinaires puisées dans les grands lointains de l’humanité naissante par des compléments indispensables sur des thèmes abordés par Lotus de Païni : le paradoxe de la Vierge Mère, nature de l’inceste hiérogamique, le système de parenté dans les premières sociétés matriarcales etc… En vue du passage prochain du Séminal au Féminal il convenait de poser quelques jalons préliminaires pour cette future discipline que sera l’Ecosophie, la seule à pouvoir rétablir notre dialogue avec la Terre.

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