Plus grande que la pyramide de Kéops : la pyramide rouge de Snéfrou

Ils sont arrivés par vagues successives :
Lire la suite Fraternités de l’Égypte antique : Shemsou Hor et forgerons Mesentiou
Plus grande que la pyramide de Kéops : la pyramide rouge de Snéfrou
Ils sont arrivés par vagues successives :
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La première écriture est géométrique puis la syntaxe viendra. Ce que nous appelons « Tradition primordiale » résulte de la capacité des premiers hommes a avoir une activité abstraite symbolique : entre – 80.000 ans et – 40.000 ans. Les grottes et l’art pariétal servent de « médiathèque » et de conservatoire des connaissances. La Tradition primordiale est donc intimement associée avec l’acquisition de nouveaux schémas de représentation. Pour cela il a fallu que l’homme puisse opérer une distanciation d’avec soi et ainsi pouvoir projeter une représentation du monde. Ici nous allons vous introduire à l’un des premiers concepts : celui de cycle, concept clé de la Tradition.
Lire la suite Epigenèse de la Tradition Primordiale, signes et symboles au Paléolithique supérieur.
LA TRES SAINTE TRINOSOPHIE : UN OUVRAGE CLE
«La deuxième source éclairée par une longue étude de certains points importants de l’histoire de la maçonnerie au XVIII siècle dans ses relations avec Cagliostro et avec les « Rituels Égyptiens » établis par le « Grand Cophte » m’a permis de découvrir des rapports certains entre le symbolisme initiatique de ces rituels et celui du texte de la « Très Sainte Trinosophie« . » René Alleau, Enquête bibliographique et historique sur l’origine et l’auteur de La Très Sainte Trinosophie, [introduction à La Très Sainte Trinosophie, attribuée au comte de Saint-Germain]
Lire la suite La très Sainte Trinosophie, une œuvre du comte de St-Germain et de Philot(h)aume ?
Tout commence avec un codex … slave ! le plus ancien manuscrit à mentionner les 72 noms de DIEU. Ses origines remontent au XIIème siècle, en connexion avec les premières écoles de Kabbalah fondées en Provence. Son histoire vous la découvrirez dans le livre.
Lire la suite Les 72 noms de Dieu et origine de la shem ha-mephorash
En grec, le caducée s’appelait kêrukeion, désignant littéralement l’insigne qui permettait de reconnaître les hérauts (à ne pas confondre avec les héros). Qu’est-ce qu’un héraut ? Selon le dictionnaire, on remarque deux significations à ce terme : « personnage ayant rang d’officier ou de prêtre, chargé de certaines annonces officielles, notamment des déclarations de guerre, des défis et parfois des pourparlers de paix ou « annonciateur et défenseur d’une idée nouvelle ». Caduceum est le même mot que le grec Kerykeion (= emblème du Keryx, c’est-à-dire du héraut).
Lire la suite Hermès, le caducée et l’arbre de vie – Ningishzida
Lors de la fondation d’une ville romaine, il y avait trois opérations principales :
Lire la suite Cardo maximus et l’enceinte sacrée, géographie de la Tradition Primordiale
Ecce homo ! le cavalier de la Mancha
Dans la dernière partie de mon article j’évoquais les Maitres bâtisseurs des cathédrales à l’ombre de la Kabbale… avant de les retrouver en Écosse à Rosslyn, point de départ d’une nouvelle aventure. Mais c’était oublier une comète surgie de nulle part comme un dernier feu avant l’extinction finale d’une grande Tradition. Et ce dernier feu (de la sixième heure) n’est autre que Martines de Pasqually ou plutôt Joachim de la Casa de la Tour. Il est temps de vous introduire à ce singulier personnage digne de Cervantes car il est le dernier éclat de cette tradition hispano-juive héritée de la diaspora juive qui vit les plus grands kabbalistes migrer vers Narbonne (à Lunel) et le sud de la France. Pour ce faire nous avons emprunté à Serge Caillet qui en est le meilleur connaisseur à ce jour avec le regretté Robert Amadou. (Martines de Pasqually, éditions Signatura)
Lire la suite Tsérouf : entre Hesséd et Guevourah, Shem hamphorash et les 72 noms du carré magique
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