Archives du mot-clé newton

Newton et le nouvel homme de Vitruve

Résumé.

Depuis ses débuts à l’université de Cambridge jusqu’à sa mort, Isaac Newton s’est longtemps intéressé au temple de Salomon, un sujet qui apparaît dans ses travaux sur la prophétie, la chronologie et la métrologie. À l’époque où Newton travaillait sur les Principia, il a reconstruit le temple et commenté les reconstructions des autres. Une partie importante de ses recherches concernait les mesures du temple, qui étaient harmoniques et construites « exactement comme les proportions de l’architecture l’exigent ». Newton considère que ces proportions sont conformes aux livres III et IV du De Architectura. Cependant, tout en insistant sur l’exactitude des proportions architecturales, Newton s’est éloigné des proportions traditionnelles de l’homme de Vitruve ; il en a tiré un homme newtonien. Cela pose une énigme intéressante : Newton accepte les proportions architecturales du temple telles qu’elles sont décrites dans le livre III de Vitruve, mais il rejette le modèle humain que Vitruve a utilisé comme fondement de ces proportions. En même temps, Newton acceptait le cadre humain comme base de toutes les mesures antiques et tentait d’estimer la longueur de la coudée sacrée en se basant sur les longueurs des parties du corps et les mesures établies par les auteurs antiques tels que Vitruve.

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Rosslyn Chapel et le mystère des cubes

Rosslyn Chapel : l’endroit se situe à quelques dizaines de kilomètres d’Édimbourg, la capitale culturelle de l’Écosse, dans un village sans intérêt particulier. Des inscriptions sacrées celtes ont été trouvées à proximité, et Rosslyn fait partie d’un complexe druidique dédié à Saturne, l’étape ultime de l’initiation celte.

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Le secret de René Descartes (2)

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Les 3 songes.                                                                                       

À cette période, René Descartes est en pleine quête de connaissance. Il vient de résoudre deux des trois pro­blèmes mathématiques – ce qu’aucun savant depuis l’Antiquité n’avait réussi à faire –, à savoir la duplication du cube et la trissection de l’angle. En mars 1619, il annonce à son ami Isaac Beeckman qu’il travaille à fon­der « une science toute nouvelle […] une méthode univer­selle qui va au-delà des mathématiques » et permet de résoudre toutes sortes de questions. Il ressent une exal­tante jubilation de l’esprit, tout heureux qu’il est d’avoir trouvé les fondements d’une science admirable. Il passe la journée du 9 novembre à méditer sur l’objet de sa quête. C’est alors que dans la nuit, près d’Ulm, il fait trois songes qui vont bouleverser son existence. Dans le pre­mier, il est poussé par un vent impétueux vers un mys­térieux collège où il rencontre un homme qui lui donne un melon. Il se réveille et, craignant que ce rêve ne soit l’oeuvre d’un mauvais génie, fait une prière. À peine se rendort-il qu’il fait un deuxième songe, suivi d’un troi­sième. Dans ces songes, on lui présente un dictionnaire et un recueil de poésies où la philosophie est jointe à la sagesse. En consultant ce recueil, il tombe sur ces mots : « Quel chemin suivrai-je dans la vie ? »

moregeometricoL’interprétation de ces trois songes a suscité de nom­breux commentaires. Comme l’ont constaté plusieurs auteurs, les événements qu’il vécut au cours de ces rêves ressemblent à plusieurs épisodes relatés dans Les Noces chymiques de Christian Rosenkreutz. René Descartes a conscience d’avoir vécu une expérience fondamentale et tente aussitôt de l’analyser.

Il juge ces songes si importants qu’il les retranscrit dans un recueil qu’il intitule Olympica (en fait un mot codé). Cette expérience lui apporte la confirmation qu’il est sur la bonne voie et que les mathématiques sont une clé essentielle pour comprendre les mystères de la Création. Descartes dira lui-même qu’il s’agit là de « l’affaire la plus importante de [sa] vie », et jusqu’à sa mort, il gardera tou­jours ce texte sur lui. Quatre ans plus tard, en 1623, il est de retour à Paris. C’est alors que son nom se trouve associé à la Rose-Croix.

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Le secret de René Descartes (1)

moregeometricoRené Descartes et la Fable du Monde. On connaissait ou croyait connaitre le philosophe mais c’était mal connaitre l’Homme qui a gardé plus d’un secret dont certains ne font que de nous parvenir aujourd’hui tant sa stature est immense. Si Fulcanelli devait avoir un prédécesseur nul doute que René Descartes assumerait parfaitement cette fonction, lui qui fut à la fois Philosophe, Géomètre, cosmologue et arpenteur de l’Art Royal. Bien loin de l’idée que l’on e fait de lui habituellement, sait-on seulement que son enseignement fut interdit en France pendant plus d’un siècle et qu’il faudra attendre 1824 pour que son nom réapparaisse ! .. Sur l’homme, sa vie, ses oeuvres on va de surprise en surprise, c’est que nous allons tenter d’expliquer.

Descartes et les R+C

Plusieurs historiens de l’ésotérisme ont voulu faire de René Descartes un Rose-Croix, au sens fort du terme. L’un des principaux responsables de cette position est l’évêque d’Avranches, Daniel Huet. En 1692, sous le pseudonyme de G. de l’A., il publia Nouveaux mémoires pour servir à l’histoire du cartésianisme, une satire qui prétend faire des révélations sur Descartes. On y apprend que celui-ci a importé la Rose-Croix en France et qu’il est l’un des inspecteurs de l’Ordre. Daniel Huet ajoute aussi que le philosophe n’est pas mort en 1650, car il est assuré de vivre cinq cents ans, et qu’il s’est retiré chez les Lapons où il dirige l’Ordre. Ce livre est à l’origine de nombreuses invraisemblances concernant la vie de Descartes. Plus près de nous, Charles Adam, dans son édition des Œuvres complètes de Descartes, tient lui aussi le philosophe pour un initié rosicrucien (1937).

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Finis Gloriae Mundi et le boson de Higgs

Finis Gloriae Mundi et le boson de Higgs

Tableau du Finis Gloriae Mundi : Nimas Nimenos : une simple question de masse manquante !.. ni trop, ni trop peu !.. où est passé le reste ?

Notre approche de plus de 40 ans de l’œuvre du Maître nous a permis de cerner et de comprendre les enjeux du fameux manuscrit partiellement disparu car redemandé par l’Adepte et aujourd’hui nous sommes en mesure de dire précisément pourquoi ces chapitres ne pouvaient être communiqués en l’état. Il s’agit d’un travail collectif mené par l’Adepte en commun avec deux autres scientifiques. Ce travail démontrait une irrégularité dans les constantes universelles que seule cette théorie – aujourd’hui en passe d’être démontrée – pouvait résoudre et expliquer. En réalité et malgré tout, il en est resté plusieurs (de ces chapitres perdus) que le disciple Eugène CANSELIET  (outrepassant les directives du Maître pour notre plus grande satisfaction)  à disséminé dans l’ensemble de l’oeuvre comme des bouteilles à la mer et nous en comprenons également les raisons profondes. Font donc partie du corpus disparu les chapitres sur la croix cyclique d’Hendaye, l’Atlantide, l’obélisque de Dammartin sur Tigeaux (et non sous Tigeaux !) et enfin du progrès illimité des sciences qui n’est autre qu’un discours déjà prononcé par notre savant sous la coupole !..  Vous pensez que c’est incroyable ? et vous avez raison … et c’est cette incroyable histoire qui sera racontée dans « à l’ombre des Chênes ». Nous réservons la teneur de notre analyse à nos fidèles lecteurs.

d’Edimbourg à Edinburgh : le cycle se referme enfin !.. lorsque le Maitre s’y rend à l’occasion d’un congrès d’électricité pour y recevoir un prix suprême,  il n’envisageait pas à l’époque faire cette découverte majeure, mais en réalité tous ses travaux y conduisaient inéluctablement. Sur la photo Peter Higgs avec le cadran solaire d’Holyrood (Queen Mary’s dial)  et son icosaèdre : mais c’est bien sûr !..   JK votre serviteur (FCH)

peter-higgs_Peter-Tuffy_The-University-of-Edinburgh

le boson de Higgs ou la particule de la 25ème heure

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