Il y a plus de 12.000 ans avant le déluge le passage et les migrations par le détroit de Gibraltar n’était pas un obstacle majeur.
C’est en 2001 que parut, sous la signature du géologue et préhistorien Jacques Collina-Girard, un article intitulé « L’Atlantide devant le détroit de Gibraltar ? Mythe et géologie ». L’auteur s’y étonnait de ce qu’on soit allé chercher l’Atlantide ailleurs qu’en face des colonnes d’Hercule, données par Platon comme point de repère pour situer l’Atlantide. Il estimait dès lors qu’un lien devait exister entre le récit platonicien et la présence d’un haut-fond immergé à l’ouest du détroit de Gibraltar.