Archives du mot-clé Uranium

Transmutation et isomérisme : une autre voie

à paraitre Mai 2019, 32 €, 450 pages

Dans l’ouvrage à paraitre nous révélons un dialogue oublié entre l’Adepte Fulcanelli et son inconditionnel admirateur et promoteur de l’Art Royal, Louis Figuier. Dans cet échange entre ces deux hommes qui s’appréciaient nous découvrons le chainon manquant entre l’œuvre ésotérique et adeptale et sa vie de scientifique. Les références avec l’œuvre posthume sont les mêmes et l’Adepte nous ouvre ainsi de nouvelles voies autour du concept de l’i’somérisme, voie qui réconcilie la science et le legs traditionnel.

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Voyages en Uranie

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Où il apparait que la conquête de l’atome par nos scientifiques ne s’est pas effectuée sans les arcanes de la Tradition et notamment de celles du Maître. Eugène Canseliet a souvent souligné les rapports étroits entretenus entre l’Adepte et ses jeunes élèves, Pierre et Marie;  nous soulevons à l’occasion du ce cinquième cahier un coin du voile et racontons le long et éprouvant périple en  terres rares. En uranie ? c’est au coeur des étoiles en formation, dans les forges de Vulcain que se forment nos composants atomiques qui ont pour nom : carbone, azote, oxygène, magnésium, fer, uranium… Les supernovae sont les moteurs de l’évolution chimique de la Galaxie mais c’est en étudiant l’activité électrique d’un métal peu connu à l’époque, l’uranium, et les hardiesses de pensée d’une Curie, d’un Einstein ou d’un Heisenberg – que nous pourrons plus tard découvrir et accéder à des conceptions aussi grandioses que celles des quasars, des magnétars, des fermions et des bosons.   Jamais le second surnom du Maître « Vulcain » n’a été aussi mérité.  …

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Marie Curie, née Sklodowski : de la Pechblende au Polonium

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Eugène Canseliet (voir entretien Feux du Soleil et articles)  a souvent affirmé que les liens entre Fulcanelli et le couple Curie était sinon proche du moins de type « interaction forte » !.. Ce que l’on sait moins et ce sera une pièce de notre dossier ce sont les arrières plans de la formation de la jeune fille dont nous livrons ici un bref aperçu. De son père, Władysław Skłodowski, issu de la petite noblesse polonaise,  on rapporte au mieux qu’il est physicien, professeur de mathématique à Varsovie. Ce que l’on sait moins c’est qu’il était  féru de techniques anciennes et initié à  la Philosophie Her­métique.

Le 7 novembre 1867, son épouse (Bronislawa Boguska) donna naissance à leur quatrième fille (5e et dernier enfant), qu’ils prénommèrent Maria. Elle leur ré­véla très tôt posséder un caractère curieux, tenace, ingénieux avec des prédisposi­tions certaines pour les sciences physico-chimiques – elle s’établit ainsi à Paris en 1891, pour mener des études supérieures et obtenir la licence de physique, puis de mathématiques et accomplir la prodigieuse carrière que l’on sait.

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