le deuxième Chat Noir, celui que fréquenta l’Adepte
A propos du chat, beaucoup d’entre nous se souviennent du fameux Chat-Noir, qui eut tant de vogue sous la tutelle de Rodolphe Salis ; mais combien savent quel centre ésotérique et politique s’y dissimulait, quelle maçonnerie internationale se cachait derrière l’enseigne du cabaret artistique ? Fulcanelli
Précédemment nous avions évoqué comment le magistère Royal pouvait être entendu à la lettre et non au figuré. A cet effet – et ce sera notre dernière concession à la vulgate -, nous pouvons révéler à ce stade (à suivre dans notre ouvrage) les liens Ô combien étroits entretenu par l’Adepte avec les institutions royales. Il peut donc être délivré ceci – à mettre en rapport avec les nombreuses références qui parsèment son oeuvre, aux différents ordres de chevalerie et à la famille Royale – qu’en son sein, la qualité éminente de Chevalier de l’Ordre de Saint Louis était acquise. Cet ordre électif entre tous avait été crée par Louis XIV le 5 avril 1693 pour récompenser ses officiers les plus valeureux et y être distingué ne relevait pas comme aujourd’hui de la légion d’honneur !… L’Adepte en était particulièrement fier comme des autres cercles qu’il animait parfois de sa bienveillante présence (Voir Louis d’Estissac).
Ordre royal et militaire de Saint-Louis
L’insigne était composée d’une croix de Malte blanche et or, portant des fleurs de lys aux angles. Au centre se trouvait un médaillon portant l’inscription « LUD(OVICUS) M(AGNUS) IN(STITUIT) 1693 » pour « Louis le Grand l’a institué en 1693 », entourant une représentation de Saint Louis. Selon certains, la couleur rouge du ruban de la Légion d’honneur serait un souvenir de l’ordre de Saint-Louis.
Rassemblées depuis plus de 30 ans ces pièces qui permettent à la fois de dresser une biographie exhaustive de l’Adepte et de comprendre le canevas qui a empêché à dessein que la vérité ne soit dévoilée prématurément afin que le temps fasse son travail d’épuration. Qu’il passe au crible les hypothèses farfelues et dénuées de tout fondement sauf l’imagination débridée de ses auteurs plus prompts à battre l’estrade qu’à argumenter.
« Le » Livre qui fera date ! 670 pages, plus de 2 kgs !
entièrement couleur, grand format 21 x 29 cm, sur papier couché mat 130 g, plus de 500 illustrations et tableaux. Par sa richesse : une multitude de références de textes, de courts extraits, de traductions, – largement commentés – pour la plupart inconnus du public ,couvrant les périodes du 16e au 20e siècle.
Un exercice éditorial, qui, à mon humble avis, n’a jamais été entrepris auparavant parmi les alchimistes contemporains, seul le français CHALYBE l’a fait.
Une très riche source de documentation, une publication originale, qui aiguisera la curiosité des Profanes comme des Chercheurs.
Sommaire
Avec cette TRILOGIE PHILOSOPHALE dont CHALYBE nous a charitablement gratifiés, les Curieux, les Disciples comme les plus Avancés en ALCHIMIE DIVINE ou ART et SCIENCE IMMÉMORIAUX, seront à même d’apprécier qu’ont été atteints et pleinement remplis les OBJECTIFS de RECTIFICATION et d’INITIATION dont notre FILIATION reçut, par due TRANSMISSION, la temporelle CHARGE, puisque :
SA PROTESTATION ADEPTALE DÉMONTRE AVEC CLARTÉ QUE L’ALCHIMIE MANIFESTEMENT D’EXPRESSION FRANCAISE, FAUTE DE S’ÊTRE VUE EXPURGÉE DE SES ÉTHIQUES TRADITIONNELLES ET PRATIQUES FILIATIVES, N’EST PLUS QU’UNE COQUILLE VIDE, MAINTENUE EN L’ÉTAT, ENTRAVÉE ET CADENASSÉE SCIEMMENT PAR DES SOPHISTES QUI PRÉTENDENT DÉTENIR LES CLEFS DES ARCANES DE L’ART ET QUE DANS DE TELLES CONDITIONS, NE SATISFAIT-ELLE, DÉSORMAIS, QU’UN DESSEIN OCCULTE D’HÉGÉMONIE DOUCE QUI, PAR SA NATURE, LES SPOLIE ET GARROTTE EUX-MÊMES ;
SA BRÈVE CONTRIBUTION POSE D’UNE FAÇON INÉDITE LES CRITÈRES D’OBJECTIVATION SCIENTIFIQUES ET RÈGLES CANONIQUES PAR LESQUELS SE PEUT CONCEVOIR UNE APPROCHE RÉELLE ET EFFICACE DES ŒUVRES DÉMONSTRATIFS DE CHRYSOPÉE ET D’ARGYROPÉE DES SAGES ET OUTRE, LES ENTREPRENDRE SOUS L’OBÉDIENCE PHILOSOPHALE RELEVANT DE LA SEULE ALCHIMIE DIVINE ;
SES RÉCITS DE TRANSMUTATIONS ÉVOQUENT LES CAS LES PLUS FLAGRANTS, ÉLOQUENTS, CERTIFIÉS PAR NOMBRE DE PRATICIENS HORS PAIR ET CONFIRMÉS PAR DES TÉMOINS OCULAIRES DIGNES DE FOI, D’ŒUVRES DE TRANSMUTATION DE LA MATIÈRE COMMUNE ET CONDENSÉE EN CORPS PARFAITS, PAR LES SEULES VOIES ALCHIMIQUE ET ARCHIMIQUE. (CERBERIUS)
Caractéristiques du Livre : 670 pages, Grand Format, entièrement couleur, avec plus de 500 illustrations, environ 2,5 kg.
LIVRE PREMIER : 197 PAGES EN 23 CHAPITRES dont Une impérieuse clarification, Art certain et véritable, réalité de l’Adeptat,Voies alchimiques, une source fort dérangeante, codex alchimiques….
LIVRE SECOND : 192 PAGES EN 11 CHAPITRES dont La Pierre des Anciens, Transmutation, architecture philosophale, pierre de projection, l’oeuvre talismanique de Philalèthe, l’oeuvre au noir du mercure et du soufre….
LIVRE TROISIEME : 262 PAGES EN 38 CHAPITRES de Récits et de Témoignages de transmutations connus et inconnus comme Raymond Lulle, Depaul, Dechern Delisle etc… allant du 16 ème au 18 ème siècle.
Introduction : les fours cités ou les foyers à feux sont nombreux dans l’œuvre du Maître, notamment dans les demeures philosophales et donnent prétextes à des développements restés célèbres : Louis d’Estissac, les caissons de Dampierre sur Boutonne, l’évocation du poêle de Winthertur etc …
La collaboration de l’Adepte avec son cadet Henri Moissan (1852 – 1907) fut longue et fructueuse puisqu’elle aboutit pour ce dernier à un prix Nobel de chimie. Mais c’est surtout dans l’élaboration d’un four à arc électrique que les deux hommes purent obtenir les plus hautes températures réalisables à l’époque soit 3500 degrés. Ne pouvant qu’évoquer ici un ensemble plus vaste, disons que les travaux engagés par ces scientifiques se retrouvent dans l’évocation du sel d’ammoniac et les commentaires de l’Adepte sur le Cosmopolite « note que tout sel bien préparé revient à la nature du sel armoniac« . Il ajoute également dans les demeures que le « X » est le symbole du sel d’ammoniac et symbole de la lumière, l’ammoniac étant le promoteur du Mercure.
On peut postuler que le but de l’alchimie dans son acception « scientifique ou pragmatique » est la synthèse des gemmes précieuses (sans doute des corindons colorés et des néso-silicates) et peut-être aussi d’autres minéraux (péridot, périclase, etc.). Il est clair que les grands alchimistes n’ont pas poursuivi un but mercantile de reproduction factice des pierres précieuses -qui constitue à nos yeux la véritable Spagyrie ou archimie mais qu’ils ont sincèrement essayé de retrouver dans leur creuset ou leur matras des processus naturels menant à la synthèse de ces minéraux ; le temps nécessaire à ces grands travaux était en effet réservé à des personnes très fortunées ou au XIXème siècle ceux qui comme les scientifiques (Berthelot, Chevreuil, Pasteur, Dumas, Jules Violle alias Fulcanelli, Henri Moissan) disposaient des laboratoires pendant des périodes soutenues nécessaires à l’expérimentation.
Alors qu’il cherchait comment dissoudre le carbone dans le fer et le succès de ses travaux sur le fluor il pensa que cet élément essentiellement minéralisateur faciliterait la transformation du carbone amorphe en carbone cristallisé. Il étudia donc les combinaisons du fluor avec le carbone et les soumit à de nombreuses réactions, mais il n’obtint jamais que du carbone amorphe. C’est après ces insuccès qu’il aborda méthodiquement la question. Estimant que nous sommes loin de posséder les moyens puissants que la nature a mis en œuvre dans la production des espèces minérales cristallisées, et en particulier du diamant, il pressentait que les diamants artificiels pourraient être très petits et qu’il faudrait suivre ces essais au microscope. Il lui apparut d’ailleurs comme vraisemblable que, dans les gisements de diamants, il devait exister également des diamants microscopiques. Il examina alors les sables diamantifères du Brésil et la terre bleue du Cap, et parvint en effet à y déceler la présence de très petits diamants naturels, qu’il considéra comme devant se rapprocher de ceux qu’il pouvait espérer produire. En même temps il rencontrait dans ces terres diamantifères, la variété de carbone graphite, variété de carbone qui se forme à une température relativement élevée, et il en déduisait une première indication sur la possibilité de produire le diamant à haute température.
Ce fut ensuite à l’analyse des cendres de diamant qu’il s’adressa pour en tirer de nouveaux renseignements. Il brûla dans l’oxygène un très grand nombre de diamants de provenances et de variétés diverses. Les analyses des cendres résultant de ces combustions lui révélèrent une impureté constante : le fer. C’était donc par l’étude de la solubilité du carbone dans ce métal qu’il devait commencer ses recherches …
Il étudia les combinaisons du fluor avec le carbone et les soumit à de nombreuses réactions, mais il n’obtint jamais que du carbone amorphe. C’est après ces insuccès qu’il aborda méthodiquement la question. Estimant que nous sommes loin de posséder les moyens puissants que la nature a mis en œuvre dans la production des espèces minérales cristallisées, et en particulier du diamant, il pressentait que les diamants artificiels pourraient être très petits et qu’il faudrait suivre ces essais au microscope. Il lui apparut d’ailleurs comme vraisemblable que, dans les gisements de diamants, il devait exister également des diamants microscopiques. Il examina alors les sables diamantifères du Brésil et la terre bleue du Cap, et parvint en effet à y déceler la présence de très petits diamants naturels, qu’il considéra comme devant se rapprocher de ceux qu’il pouvait espérer produire. En même temps il rencontrait dans ces terres diamantifères, la variété de carbone graphite, variété de carbone qui se forme à une température relativement élevée, et il en déduisait une première indication sur la possibilité de produire le diamant à haute température.
Cependant, un fait très curieux venait d’être observé par Friedel et quelques autres savants. Une météorite trouvée dans l’Arizona, au Cañon Diablo, renfermait d’une façon indiscutable une petite quantité de diamant noir. Cette météorite, sorte de ferronickel, était bien le milieu où le diamant observé avait pris naissance. On ne pouvait plus douter de la possibilité de réaliser la synthèse du diamant dans un milieu métallique.
Henri Moissan put se procurer un échantillon de la précieuse météorite, et il eut le bonheur de pouvoir examiner in situ un très petit diamant de la variété boort. Ce diamant avait résisté à l’action de la meule d’acier employée pour scier la météorite. Il formait un pointement enchâssé dans le métal, et il était entouré d’une gaine de carbone dans laquelle il avait été possible de caractériser le graphite.
En Heliopolis (1)
Malgré l’absolue conviction qu’il avait de la nécessité d’utiliser un dissolvant métallique du carbone, Henri Moissan ne pouvait rien attendre d’une nouvelle série d’essais sur la solubilité de ce métalloïde dans les métaux. Il paraissait bien établi que, seule, la variété de carbone graphite prenait naissance dans ces conditions. L’intervention d’un autre facteur devenait indispensable. Il se rappela que la densité du phosphore rouge augmentait lorsque sa cristallisation était faite sous pression. Il fallait donc réaliser la cristallisation du carbone au sein d’une masse liquide fortement comprimée. C’était là une expérience difficile à réaliser même sur la fonte, qui se présentait cependant comme l’un des dissolvants les plus fusibles du carbone. Ces difficultés étaient telles qu’elles pouvaient longtemps encore retarder la solution tant attendue, si Henri Moissan n’avait pensé à mettre en œuvre, pour réaliser une pression considérable, la propriété que possède la fonte saturée de carbone d’augmenter de volume au moment de sa solidification, à la façon de l’eau se changeant en glace. Le travail sur les hautes pressions et surfusions fut également la voie suivit par l’Adepte.
On sait qu’au moment de sa congélation, l’eau peut développer, quand on l’emprisonne dans un récipient clos à parois très résistantes, une pression considérable.Le refroidissement brusque de la fonte pouvait conduire à des résultats semblables, mais l’enveloppe résistante restait à trouver. C’est alors qu’il eut l’idée de la former par les premières couches refroidies résultant de la solidification rapide d’une masse de fonte liquide plongée dans l’eau. Les culots métalliques ainsi produits étaient souvent fissurés, paraissant avoir cédé à une forte pression interne, mais certains, au contraire, à surface plutôt lisse, semblaient avoir résisté. En traitant ces derniers par des réactifs appropriés permettant la dissolution de la masse métallique, et finalement la destruction du graphite, Henri Moissan put enfin recueillir un faible résidu formé de petits cristaux transparents qu’il identifiait par leurs propriétés physiques et chimiques avec le diamant naturel. Il eut même la bonne fortune de retrouver parmi ces produits artificiels les différentes variétés de diamant, depuis le diamant noir jusqu’au carbone transparent et cristallisé. Cette synthèse du diamant fut annoncée à l’Académie des Sciences dans la séance du 6 février 1893. Elle était en réalité le fruit d’une collaboration étroite entre deux hommes dont l’un choisit de rester volontairement dans l’ombre, étant alors engagée dans d’autres voies, notamment une voie requérant l’invisibilité (invisible parce qu’inconnu précise l’Adepte) … Ce faisant l’Adepte pouvait invoquer à juste titre la figure du comte de Saint Germain et nous enseigner à propos du Mercure des philosophes » le sel des métaux, car toute pierre est sel, et le sel de notre pierre, car la pierre des philosophes, qui est ce mercure dont nous parlons, est le sujet de la pierre philosophale« .
Les différentes études, cahiers et articles publiés depuis plus de 20 ans sont désormais réunis sous la forme d’une trilogie ordonnée et complète dont le premier volume sera disponible en janvier 2015. Documents inédits et rares révélés pour la première fois au public éclairé. Dans ces livres on découvrira la vérité d’un homme trop longtemps occultée. Pourtant son légataire avait prévenu et donné lui même les clés et on ne saurait donc le mettre en défaut sinon de sa propre indigence. Cette vérité désormais établie, il est permis de commenter et d’éclairer l’œuvre connue sous son nom d’Adepte mais le commentaire est double et en miroir : le Savant éclaire l’Adepte autant que sa réciproque !
Loin des alcôves et arrières salles obscures de boutiques ésotériques et dans la pleine lumière d’un établissement public, un évènement majeur s’est produit en la noble ville de Bourges au passé chargé de l’histoire de France. Franc succès du colloque qui s’est tenu à Bourges durant deux jours au Muséum d’Histoire Naturelle sous le maillet de son président Johan Dreue. Ce dernier, réitérant l’exploit de 1999 pour le centenaire du disciple Eugène Canseliet, divulgateur et commentateur éclairé de l’oeuvre de son maître Fulcanelli, a voulu placer ce colloque sous son auguste égide et en a profité pour dévoiler divers aspects de sa véritable personnalité et identité. Johan Dreue n’est pas un inconnu, outre le colloque organisé pour Eugène Canseliet au grand amphithéâtre de la Sorbonne, il fut aussi compagnon de route de l’association Atlantis, membre du comité de rédaction de Points De Vue Initiatique, ami de Robert Amadou avec qui il a eu une correspondance suivie et conseiller pendant plus de 12 ans pour les éditions Dervy. Derrière la personnalité de l’Adepte, homme de sciences de premier plan, il s’agissait de rétablir le dialogue interrompu avec la science et ses nouvelles avancées et dans cet esprit de réconciliation on a pu aborder autant les problèmes d’assation que celui des fluctuations du vide (énergie illimitée) ou encore des dimensions de densité de matière !… De belles exégèses symboliques ont également nourri la réflexion et d’un commun accord, en cela encouragé par l’ancien maire adjoint de Bourges, rendez vous a été donné pour l’année prochaine. Le prochain colloque sera placé cette fois sous le signe de l’Alchimie ou la médecine universelle (véra médicina). Le programme 2015 (oh combien passionnant vous sera dévoilé début janvier 2015)
Bernard Chauvière en entretien avec M. Roland Narboux
Le président concentré sur le nouveau livre de Bruno Tosi
Effet Casimir
Pierre Antoine Courouble
Expérience de fulgurance en direct : et ça marche !
PA Courouble avec JC Dumas
Pierre Alexandre Nicolas
M. Roland Narboux
La régie TV au travail
Johan Dreue, président du colloque
Assemblé attentive
à l’issue de cette première journée
La réplique de la Toison d’Or exposée en avant première mondiale à cette occasion
Les conférenciers de la première journée
Avant l’ouverture, les participants prennent place
Johan Dreue expliquant Jules Violle alias Fulcanelli avant une brillante ovation
Frédéric da Silva
Bruno Tosi
M. Roland Narboux, ancien maire adjoint de Bourges procède à l’ouverture du colloque
Pascal Bouchet lors de la visite du Palais Jacques Coeur
Pascal Bouchet
Charles Imbert et les 7 planètes alchimiques
Science et Alchimie : la presse en parle !
Le DVD du colloque sera prêt pour Janvier 2015 (3DVD avec des ajouts surprises)
Roland Narboux, ancien maire adjoint de la ville de Bourges
C’est dans dans cette cité berrichonne, silencieuse, recueillie et calme … déjà fière à juste titre d’une admirable cathédrale; que nous nous retrouvons à l’occasion de cette deuxième journée pour célébrer les adeptes qui ont servi l’Art Royal et le plus célèbre d’entre eux : Fulcanelli. Si les trois coeurs de Jacques Coeur symbolisent les 3 réitérations indispensables à la réalisation des deux magistères, ils en énoncent également les principes :
L’esprit universel (rayon de lumière)
la matière basique ouvrée (le fer)
les trois réitérations
On notera aussi les références à l’abbé Moureu et ce n’est pas sans raison ! reprise des travaux à 14 heures
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