
Il convient de distinguer l’or philosophique obtenu archimiquement par les voies sèches ou humides de la pierre philosophale. Le travail opéré n’a pas d’autre but que de le rendre pur ou le plus homogène possible, en éliminant les superfluités ou hétérogénéités adhérentes, les corps étrangers qui, par leur présence, sont responsables d’une Transmutation relativement médiocre, autant en quantité qu’en qualité. Lorsque cette Pierre de feu est donc obtenu selon les voies canoniques décrites ci-dessus elle procure une Pierre ou Teinture (dite Poudre de projection) qui transmute effectivement un métal commun, le plomb, l’étain ou le mercure , en Or à structure dendritique ou dit de fusion qui, dès sa naissance, dans le meilleur des cas est proche, en Titre de pureté, de 24 carats. Effectivement cet or obtenu archimiquement diffère de l’or natif qui se rencontre rarement avec une structure cristalline. Le plus souvent, on trouve cet or natif sous forme de pépites (plus ou moins massives, érodées en grains par le cours des rivières), en provenance de filons montagneux, de placer à graviers aurifères, d’anciens lits etc …
Lire la suite Considération basiliennes sur la Pierre de Feu
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