Archives pour la catégorie Feu du Soleil

Haroun Tazieff et le mystère de Palenque 1/4

Haroun Tazieff, l’homme qui parlait avec le feu

 

La prophétie de 1979 : les températures vont augmenter de 2 à  3 degrés .. et tout le monde a rit… Haroun Tazieff était connu pour ses prises de position hétérodoxes et n’avait pas la sympathie de la communauté scientifique ce qui est normal car c’était un visionnaire. Un seul autre homme avait connaissance de ses préoccupations : François Mitterrand.

Un européen avant tout. À l’âge de sept ans, Haroun Tazieff quitte sa Pologne natale avec sa mère pour la Belgique. Son père, de nationalité russe, est mort au front dès le début de la Première Guerre mondiale, peu de temps après la naissance de son fils. Haroun Tazieff passe son enfance et son adolescence à Bruxelles. Il poursuit ses études à la faculté de Gembloux et obtient un diplôme d’ingénieur agronome. Après avoir servi dans l’armée belge en 1939, puis dans la Résistance, il poursuit des études de géologie à Liège. En 1944, il décroche son diplôme d’ingénieur des mines et d’ingénieur géologue à l’université de Liège. L’année suivante, il part travailler dans les mines d’étain du Katanga (ex-Congo belge). C’est là qu’il peut étudier de près, à partir de 1948, l’éruption du volcan Kituro. Il n’hésite pas à descendre dans les cratères pour prélever des roches, des gaz et de la lave. Sa passion pour la volcanologie est née.

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L’Alchimiste de la République, nouvelle édition

Ils furent nombreux à l’avoir connu et à avoir témoigné de leur vivant au travers de leurs œuvres. Ce livre vous permettra de faire connaissance avec l’entourage artistique, littéraire et politique de l’adepte. Le théâtre d’ombres prend vie mais qui tire les ficelles ? Quelle est cette « haute et secrète diplomatie » évoquée par l’auteur du Mystère des Cathédrales ? Voilà bien de nombreuses questions auxquelles nous apportons des éléments de réponse car vous serez surpris d’apprendre qui appartenait à ce cercle très fermé dont le centre rayonnait à partir d’une butte à l’enseigne d’un chat posé sur un croissant de lune, le célèbre cabaret du Chat noir animé par Rodolphe Salis. La marche à l’étoile était au programme comme la Cabale solaire, celle aussi d’une Marianne portant le bonnet phrygien des initiés. Derrière ce Grand Jeu ce sont les coulisses de la République que nous décrivons. En effet, le mystère qui plane sur Fulcanelli est également celui qui enveloppe, à la façon d’un épais brouillard, toute la société française du XIXe siècle et les enjeux autour de la nouvelle Science atomique. Le Maître était reçu au plus haut des sphères du pouvoir de même que la plupart des Frères Chevaliers d’Héliopolis allant de Jules Verne à Ferdinand de Lesseps en passant par Anatole France, Jules Grévy, Grasset d’Orcet etc … un dossier complet qui apporte un éclairage nouveau étayé par de nombreuses archives inédites sur ce qui fut l’un des plus grands mystères de ce XXème siècle. Incluant un panorama alchimique de cette époque charnière et un dossier complet sur ces nouveaux magiciens qui prient la suite jusqu’à la fission de l’atome et accomplirent l’ultime rêve des alchimistes. Aujourd’hui la prophétie du disciple Eugène Canseliet selon laquelle la Science d’Hermes permettait à quiconque ayant atteint un certain stade, de pouvoir fabriquer une petite bombe atomique dans sa cuisine ne prête plus à rire car ce que l’Alchimiste avait réussi hier est aujourd’hui une réalité établie dans le cadre des nouveaux procédés de fusion nucléaire et mettre le soleil en bouteille est désormais à notre portée … 29 € avec en option un livret sur le Feu du Soleil

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Le feu du soleil : Jacques Bergier et André Helbronneur

L’alchimiste de la République en réédition

Le Feu fut l’essentiel de la quête alchimique de l’Adepte et le sens de ses travaux scientifiques. Il convient de distinguer entre le feu qui démembre (Voie métallique sèche) et le feu pris en tant qu’agent fermentateur (voie spagyrique ou voie végétale). L’Alchimie fait partie des arts du feu comme la poterie ou la fabrication du verre. La pharmacie représente l’autre branche, celle des ferments ou dissolvants.

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Quand Sel Y Est ou la véritable date du décès de Fulcanelli

Eugène Canseliet, le disciple autoproclamé de l’Adepte Fulcanelli a toujours su sceller (Scel)  à bon escient une vérité qui doit se mériter après un minimum d’effort et ne se dévoiler qu’à l’heureux élu. Il aime aussi la valse a trois temps : un pas en avant et deux en arrière, ce que nous pouvons démontrer sur ces deux extraits d’interview. Dans le premier il donne bien la date du décès de l’Adepte, soit 1923 et il le fait dans cet entretien du Figaro donné à Bernard Sueur en toute innocence le 13 Juin 1963. Il est vrai qu’à l’époque ce que que l’on appellera « l’affaire » ne passionne pas plus qu’une poignée de curieux. Par la suite il s’efforcera de brouiller les pistes et de faire diversion sur une vérité qui aurait du rester encore scellé à ses yeux.

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de la Croix cyclique d’Hendaye au four alchimique de Winterthur

Il y eut un âge d’or .. et puis en un jour et une nuit tout bascula, la mémoire hyperboréenne en garda le souvenir et ce fut le début de la tradition secrète.

L’Age d’Or

D’après Hésiode, «Pendant l’Age d’Or, la terre, sans être déchirée par la char­rue, produisait tout en abondance. Le Printemps régnait pendant toute l’année ; on voyait de toutes parts des ruisseaux de lait et le miel coulait du tronc des arbres. Les maladies et la triste vieillesse étaient inconnues aux hommes qui mouraient comme on s’endort. Dans l’Age d’Argent, qui vint ensuite, l’année, au lieu d’être un Printemps perpétuel, fut divisée en 4 saisons, et la terre pour produire eut besoin d’être cultivée».

De ce passage on peut déduire que :

pendant l’Age d’Or, perpétuel Printemps, l’axe de la Terre était «perpendicu­laire» à l’écliptique ; à partir de l’Age d’Argent, l’année, divisée en 4 saisons, correspond à un axe terrestre «incliné» sur l’écliptique. (la suite dans le livre)

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Considération basiliennes sur la Pierre de Feu

Saint Martin par Anton Van Dyck, 1618 .. de la toge pourpre du soufre se partageant en charité.

Il convient de distinguer l’or philosophique obtenu archimiquement par les voies sèches ou humides de la pierre philosophale. Le travail opéré n’a pas d’autre but que de le rendre pur ou le plus homogène possible, en éliminant les superfluités ou hétérogénéités adhérentes, les corps étrangers qui, par leur présence, sont responsables d’une Transmutation relativement médiocre, au­tant en quantité qu’en qualité. Lorsque cette Pierre de feu est donc obtenu selon les voies canoniques décrites ci-dessus elle procure une Pierre ou Teinture (dite Poudre de projection) qui transmute effectivement un métal commun, le plomb, l’étain ou le mercure , en Or à struc­ture dendritique ou dit de fusion qui, dès sa naissance, dans le meilleur des cas est proche, en Titre de pureté, de 24 carats. Effectivement cet or obtenu archimiquement diffère de l’or natif qui se rencontre rarement avec une structure cristalline. Le plus souvent, on trouve cet or natif  sous forme de pépites (plus ou moins massives, érodées en grains par le cours des rivières), en provenance de filons montagneux, de placer à graviers aurifères, d’anciens lits etc …

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In Ictu Oculi, les sources

In ictu oculi est une locution latine signifiant « en un clin d’œil ». Son origine peut se trouver dans un passage de la Bible : « In momento, in ictu oculi, in novissima tuba » (1 Cor. 15:52), qui est lui-même traduit du grec ἐν ἀτόμῳ, ἐν ῥιπῇ ὀφθαλμοῦ, ἐν τῇ ἐσχάτῃ σάλπιγγι, que l’on traduit  par « en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette ».

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La trace hélicoïdale du Soleil : In ictu Oculi

Valdes_Leal in ictu oculi
Valdes Léal In ictu oculi Juan Valdès Leal est un peintre baroque qui va illustrer la vie d’Ignace de Loyola entre 1674 et 1676, et qui est aussi connu par ses tableaux macabres représentant la Mort à l’œuvre dans le monde, Finis Gloriae Mundi (Fin de la Gloire terrestre) et In ictu oculi (En un clin d’oeil). Il s’agit d’un vaste programme iconographique réalisé pour l’Hôpital de la Charité de Séville, fondé par Miguel de Manara, auquel vont participer trois artistes, les peintres Leal et Murillo, et le sculpteur, Pedro Roldan. Le thème global est celui de la voie du salut par la charité chrétienne. L’intention théologique est de montrer, dans ce courant de la Contre Réforme, l’importance du salut par les œuvres. Pour notre Adepte ce salut passant par la voie adeptale.

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