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Colloque de Bourges : voyage au centre de la terre avec Fréderic Quintana da Silva

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Colloque de Bourges 9-10 Novembre 2014

Voyage au centre de la Terre avec Frédéric Da Silva Quintana, spécialiste des très hautes énergies

Après avoir longuement enquêté sur les températures et l’activité soliare, l’Adepte après sa rencontre avec Nikola Tesla avait oriénté ses recherches sur ce second Soleil cette fois interne à la Terre. Un livre lui était dédié sous le titre de « Finis Gloriae Mundi », il y exposait ses théories scientifiques qui étaient très novatrices pour l’époque mais en conclusion déclarait que le feu interne à la Terre était comparable à celui du Soleil. Pour la première fois aussi il développait et expliquait la nature géomagnétique de son coeur constitué de fer sous une pression colossale (le noyau ou graine).

Les densités et les dimensions dans l’Univers
Les densités sont prises ici au sens des densités dimensionnelles, des mondes parallèles coïncidant géométriquement avec le nôtre. Il s’agit des densités où habiteraient les fées et le petit peuple, mais également les anges et les démons. On les appellera les densités dimensionnelles (on les appelle dans la littérature habituelle les dimensions parallèles).
Les dimensions sont ici prises en deux sens. Le premier concerne la longueur des objets avec leurs contractions ou allongements en fonction de la vitesse relative (contraction de Lorentz) ou de la présence de champs (contraction en présence de champs selon Konstantin Meyl). Le deuxième est le sens habituel considéré en mathématiques. On parlera, respectivement de contractions et de dimensions.

Densités, contractions et dimensions interviennent dans la physique des transmutations.
Pour les examiner selon un nouveau point de vue, il vous est proposé de voyager d’abord dans une théorie où tout part du champ électromagnétique, les particules comme les autres forces de la physique moderne. La relativité est remplacée par l’objectivité par transfert dans un nouveau monde où le temps est absolu (pour une densité donnée) et où les contractions des longueurs sont fonction de l’intensité des champs présents.
Au cours de ce premier voyage, on se trouve déjà dans un monde étrange où lorsque l’on s’enfonce dans la surface terrestre l’on retrouve davantage de place. En plongeant dans la croûte terrestre, on va trouver de plus en plus de place, ce qui est paradoxal, mais expérimentalement prouvé.
Le deuxième voyage est la suite du premier, c’est le voyage vers une Terre creuse, vers le centre de la Terre en suivant Jules Verne. Comme il y a davantage de place vers le centre, il doit y avoir une limite et cette limite est une surface à l’intérieur de la Terre. Curieusement, beaucoup d’autres se sont joints à Jules Verne pour parler d’un monde à l’intérieur de la Terre, et des témoignages sérieux se sont ajoutés pour contrecarrer l’impossibilité physique théorique d’une telle structure planétaire.

Le théorème de Gauss appliqué à l’intérieur de la Terre creuse en prouve l’impossibilité dans le cadre de la physique habituelle. Il faut recourir aux théories de J.P.Petit des mondes gémellaires et y adjoindre les concepts de densité parallèles (ou de multivers ou multiunivers) pour que la construction d’une Terre Creuse devienne possible. Cette construction affinée avec les idées de Konstantin Meyl aboutit à un monde intérieur possible et doté de propriétés curieuses.
Cependant, la construction précédente ne résout pas la question de l’existence de l’étoile interne, ou les étoiles internes à la planète, citées par beaucoup de témoins et de documents. Mais une nouvelle discussion concernant la nature de la gravité en rapport avec certaines théories physiques actuelles nous permet de rêver d’une fenêtre vers d’autres mondes signalés par l’étoile ou les étoiles internes. Pour cela, il faudra considérer de nouvelles dimensions.

Dans son intervention le professeur Frédéric Da Silva Quintana évoquera les points suivants :

  1. Introduction à la théorie des mondes multidimensionnels imbriqués
  2. Bases pour une approche physique
  3. Remarques initiales

Les théories synthétisées par J. P. Petit, émanant de Sahkarov, ou en collaboration avec d’autres physiciens, concernant l’espace gémellaire et la variation des constantes universelles avec le temps semblent précieuses et devraient être prises en compte, comme point de départ. On y résout de façon élégante beaucoup de phénomènes, expliqués dans les théories officielles par des artifices pas clairs (énergie sombre, matière noire et autres).
On y parle un peu de mondes parallèles et des dimensions parallèles.
Un point intéressant est que la gravité est la « seule » interaction qui relie univers et anti-univers. Notre idée concernant la gravité comme interagissant entre tous les mondes et anti-monde parallèles n’en est qu’une généralisation.

Introduction à l’exposé qui sera donné par le professeur Da Silva : la théorie du professeur Konstantin Meyl : des ondes scalaires au générateur de champ (en photo Konstantin Meyl)

1 – Définition d’une onde scalaire

Konstantin MeylC’est une onde de nature longitudinale, qu’elle soit mécanique (sons) ou bien électrique, magnétique, ou encore mentale (champ de torsion de la conscience) qui se propage à vitesse variable, en vortex, alors que les ondes classiquement connues, de type électromagnétique comme la lumière visible ou les ondes radio, sont de nature transversale, et progressent à vitesse fixe (= C vitesse lumière) en sinusoïdes.

2 – Importance des ondes scalaires

Les mouvements de l’eau et de l’air dans l’environnement, puis ceux des liquides corporels (sang, lymphe) se font en permanence sous la forme de vortex.
Il en est de même pour les ondes ! Les ondes scalaires sont les plus abondantes dans l’univers et sur la terre, mais invisibles, elles se laissent difficilement mesurer !

Nikola Tesla, au début du XXè siècle, a démontré l’existence de ce rayonnement, qui passe les cages de Faraday et qui progresse parfois plus vite que la lumière ! Le Pr allemand Konstantin Meyl a suggéré que les neutrinos que nous recevons du soleil/cosmos constituaient une grande part des ondes scalaires : mais elles existent aussi partout à la surface de la terre, émises par les roches, les plantes, les arbres et tout être vivant : elles forment un bruit de fond aussi constant que vital !

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Fulcanelli, Tesla, Energie libre et rayons X

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« Dans l’espace, il existe une forme d’énergie libre, infinie qui permettra à l’humanité de mettre en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. Cette découverte n’est qu’une question de temps. » Nicolas Tesla (1856-1943)

Aujourd’hui par mes archives consignées dans les cahiers Fulcanelli, nous savons que Nikola Tesla et Fulcanelli se sont rencontrés en 1890 non loin des chutes de Niagara. Les discussions se poursuivirent à Chicago et l’influence de l’Adepte fut déterminante dans l’évolution intellectuelle du jeune électricien. Tesla avait posé les pieds sur le sol américain en 1884 et il avait déjà fait son chemin auprès de Thomas Edison. En 1886 il avait crée sa propre entreprise et c’est celle ci qu’il eut l’honneur de montrer en 1890 à l’Adepte venu lui rendre visite.

Pour comprendre les origines de la découverte de Tesla sur l’énergie libre et son origine, il faut revenir à son obsession première qui est celle du transport de l’électricité sur de longues distances. Un premier pas révolutionnaire avait déjà été accomplit avec l’invention du courant alternatif, mais Tesla voyait plus loin encore ..

Au cours de la même année que celle de l’inauguration de la centrale des chutes du Niagara, Tesla, qui était capable de travailler simultanément sur plusieurs projets, aussi bien théoriques que pratiques, annonça avoir découvert les rayons cosmiques, ainsi qu’un système technologique pour en exploiter l’énergie. La très grande inventivité de Tesla et sa capacité de travailler sur plusieurs projets à la fois commencèrent à exciter la jalousie de ses collègues comme Edison et des universitaires de l’époque, au point que quelqu’un commença même à le taxer de folie, de mégalomanie, voire de vantardise. Bien des années plus tard, Tesla déclara à ce propos :

Ils me traitèrent de fou en 1896 lorsque j’annonçai la découverte des rayons cosmiques. Ils n’eurent de cesse de se moquer de moi, puis, des années après, ils purent vérifier que j’avais raison. À présent, je présume que l’histoire se répètera quand j’affirmerai avoir découvert une source d’énergie jusqu’ici inconnue, une énergie sans limites et qu’il est possible de canaliser… J’ai commencé à travailler pour endiguer l’énergie des rayons cosmiques et je peux à présent affirmer avec certitude être parvenu à faire fonctionner un appareil motorisé qui marche par leur intermédiaire. Je peux vous dire que, généralement parlant, les rayons cosmiques ionisent l’air en libérant de nombreuses particules libres comme les ions et les électrons. Ces charges sont emmagasinées dans un condensateur qui fait office de système d’échappement pour le circuit du moteur. J’espérais construire mon moteur à grande échelle, mais les circonstances n’ont malheureusement pas été favorables.

En 1901, ces concepts, qui se basaient sur son expérience technologique acquise avec les courants alternatifs, se concrétisèrent dans l’obtention d’un brevet pour la production d’« énergie libre ». Le brevet s’intitulait « Dispositif pour l’utilisation d’énergie rayonnante ». Les sources principales d’« énergie libre » auxquelles Tesla se référait étaient le soleil, la magnétosphère et leur interaction mutuelle, la Terre et les rayons cosmiques. En résumé, le but principal de Tesla était de condenser l’énergie piégée entre la Terre et la haute atmosphère pour la transformer en courant électrique. Il visualisa le soleil comme une immense boule faite d’électricité et chargée positivement avec un potentiel de plus de 200 milliards de volts, et la Terre, comme un corps chargé négativement. L’énorme force électrique qui jaillit entre ces deux corps constituait, du moins en partie, ce qu’il appelait aussi « énergie cosmique ». Cette énergie varie entre le jour et la nuit et d’une saison à l’autre, mais elle est toujours présente. Tesla se rendit compte le premier de l’existence, dans notre environnement naturel, d’un système spontané de conduction électrique parce que le soleil crée des particules ionisées qu’on peut canaliser aussi bien par le sol que par l’ionosphère (à 70 km de hauteur) comme des moyens de conduction électrique. En raison des propriétés conductrices de ces deux éléments, il est possible d’émettre des ondes radioélectriques de basse fréquence qui s’assemblent dans le canal sol/ionosphère, puis se propagent dans un « guide d’ondes ».

Sur la base de ce processus, les particules positives sont bloquées au niveau de l’ionosphère, et entre cette dernière et les charges négatives du terrain – soit une distance de 70 km – il existe une différence de potentiel de l’ordre de 360 000 volts. Avec les gaz de l’atmosphère, qui agissent comme des couches isolantes placées au milieu de ces deux charges électriques opposées, la région située entre le terrain et le début de l’espace est en mesure de piéger une grande quantité d’énergie. Malgré ses grandes dimensions, la planète se comporte électriquement comme un condensateur qui sépare les charges positives des charges négatives en utilisant du matériel non conductible en guise d’isolant. (à suivre)

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De nos jours de jeunes chercheurs ont repris les recherches, notamment Jean-Christophe Dumas avec son « résonateur ». Durant plusieurs années, un chercheur ardéchois indépendant, Jean-Christophe Dumas, explore « l’effet Casimir » en relation avec la résonance de l’eau. Il découvre un procédé générateur spontané de vapeur aux caractéristiques singulières. « L’effet Dumas » est expertisé à Nice par un laboratoire indépendant le 14 septembre 2013. Les conclusions du rapport sont édifiantes : à l’instar de l’effet Casimir, l’effet Dumas génère un rendement de 116% d’énergie.
Pour la première fois un procédé simple, facile à concevoir et très peu coûteux, permet à tous, un accès à l’énergie libre. Avec son ami Pierre Antoine Courouble , il sera présent le dimanche 9 Novembre au colloque sur « les nouveaux alchimistes  » à Bourges

PAC & JCD 2Pierre Antoine Courouble et Jean-Christophe Dumas : des militants pour une technologie bienveillante

Voir le supplément Tesla Fulcanelli

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Quand Fulcanelli rencontre Nikola Tesla

nikoka_tesla_jules_violleA l’occasion de son voyages aux Etats Unis pour l’exposition internationale de Chicago (1893), le premier souci de Jules Violle alias Fulcanelli  fut de se rendre aux chutes de Niagara afin de visiter la nouvelle installation de Westinghouse, l’intérêt touristique passant au second plan devant la prouesse technique. A son retour il entama une série de conférences destinées à faire connaitre les inventions de son homologue, l’électricien Nikola Tesla ! Il est tout de même étonnant que bien avant les autres Fulcanelli fut le premier à reconnaitre le génie de son homologue américain !

Dans un de ses nombreux entretiens, son disciple Eugène Canseliet avait souligné comment le Maître ne ratait aucune des grandes manifestations sur l’électricité ! (congrès et exposition internationale) et à la fois souligné l’importance des ondes célestes, ces eaux supérieures sans lequel il n’est pas de labourage céleste qui puisse descendre les 9 barreaux de l’échelle.

A la suite de son Maitre il avait aussi souligné en précurseur sur les dangers à rompre l’équilibre naturel des ondes célestes que la production industrielle moderne engendre, tel cet extrait d’un entretien avec Robert Amadou dans « le Feu du Soleil ».

« E. C.

Ah ça, c’est difficile! Beaucoup se trompent et disent n’importe quoi. Moi, je parle de ce que je sais, de ce que l’expérience révèle au laboratoire. Ainsi, dans l’Alchimie expliquée, je n’ai rien dit dont je ne sois sûr.

Or, l’esprit universel des alchimistes anciens, cet esprit qui existe toujours, c’est un rayonnement, et un rayonnement cosmique. Mais il faut diffé­rencier et je n’aime pas entrer sur ce terrain glis­sant. On risque de vous prendre sur les mots. C’est difficile. L’alchimiste voit la vérité, tellement simple au fond. La nature est simple. C’est l’homme qui est compliqué.

R. A.

Certes; et les alchimistes, quels hommes !

E. C.

Ce rayonnement descend. Nous avons le mer­cure, qu’on a appelé la magnésie, mais ce n’est pas un oxyde de magnésium. « Magnésie » vient de magnes, l’aimant.

R. A.

Le mercure symbolise, il incarne l’étincelle divine; principe actif, et de mobilité. Tantôt mâle et tantôt femelle dans ses manifestations, parce qu’il est hermaphrodite, en lui les contraires se résolvent. »

et puis plus loin :

« La gestation a besoin d ‘un milieu obscur et humide. Il faut travailler la nuit car c’est la nuit que l’esprit descend et que la lune vous envoie les puissances et les forces. Or, maintenant les cieux sont fréquemment couverts. Pourquoi ? parce que les ondes sont désormais en folie … Vous savez, les ondes n’étaient pas faites pour que les hommes jouent avec. Elles avaient un rôle : les ondes font les météores. »

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Niagara Falls

En 1893, Tesla est choisi pour illuminer l’Exposition colombienne commémorant la découverte de l’Amérique qui se tient à Chicago. Le stand Tesla Westinghouse présente toute une installation destinée à démontrer l’efficacité et la sécurité du courant alternatif alors que le courant électrique continu nécessite des câbles de dimension exagérée qui surchauffent. Si jamais un court circuit survient, les câbles fondent jusqu’à la source du courant. Tandis qu’en utilisant les transformateurs inventés par Tesla, il devient très facile d’augmenter la tension et de garder un courant faible dans les réseaux de distribution. Le système de courant alternatif proposé par Tesla est avantageux, énergétiquement et économiquement.

La première conséquence est la construction de la centrale électrique de Niagara Falls, qui allait être la plus grande centrale électrique. Buffalo est la première ville à être alimentée en courant alternatif dès 1896.

Le courant alternatif , cette toute nouvelle invention de Nikola Tesla, ne peut qu’intéresser le futur Adepte car de fait, à la différence du courant continu et en jouant sur les lois de l’intensité avec la tension, ce sont des milliers de volt qui peuvent sans dommage transiter par les fils : des perspectives insoupçonnées jusqu’alors s’ouvrent aux hommes de sciences. Jamais électricité ne fut aussi proche des préoccupations de l’alchimiste qui venait de trouver sa fontaine de magnésie !…

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