Archives du mot-clé Alchimie
Le Feu du soleil ou le matin des magiciens
Hommage au réalisme fantastique et son inventeur Jacques Bergier
En arrière plan, la « Z » Machine; Il s’agit d’un générateur de rayon X qui réalise le vieux rêve de nos alchimistes. La Z machine ouvre de fantastiques perspectives dans l’étude de la fusion nucléaire (et non de la fission nucléaire) en créant des températures de plusieurs milliards de degrés nécessaires à la fusion d’éléments atomiques présents en quantité sur terre.
Le Feu du soleil, un entretien héliotropique (2)
Le Feu du soleil, un entretien héliotropique (1)
Le feu du Soleil, entretien entre Eugène Canseliet et Robert Amadou (1978)
« Il s’agit ici d’un entretien réel avec un alchimiste praticien sur une alchimie véritable. La ligne du dialogue, assez ondulée, parfois rebroussée, et l’enchaînement, souvent libre, des questions, des réponses et des répliques n’ont pas été modifiés. C’était le seul moyen d’insinuer le visage de l’artiste ainsi que celui de son maître Fulcanelli, et la nature d’un Art, énigmatiques celui-ci par définition et ceux là par construction, dont il semble que tant ne fut jamais dit si simplement «
Robert Amadou
Cet entretien qui fait par ailleurs référence au travers de son titre même aux plus hauts travaux du Maître donne quelques clés bien que tout au long de celui-ci et selon l’expression de « rebroussée » employé par l’interviewer, Eugène Canseliet se montre au final fuyant dès que les questions se font plus précises pour au final brouiller les pistes après plusieurs contradictions.
Nous livrons aux lecteurs de nos cahiers une compilation des principaux passages relatifs à l’identité de Fulcanelli. Nous avions bien connu Robert Amadou et avions d’ailleurs échangé une correspondance peu avant sa disparition. Une grande figure de la Tradition ! JK
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Finis Gloriae Mundi : les cinq plaies du Christ
Recomposition en vue d’artiste du retable d’Issenheim de Maître Matthis, dit Grünewald
La photographie sigillée D4 provient de Photo Postcard by Hawke, Helston. Commentaire de Fulcanelli : Cinq hémisphères — Cinq plaies du Christ.
Nous ne reviendrons pas sur les raisons de ce retable car nos lecteurs trouveront par ailleurs d’amples explications sur les maladies engendrées par l’ergot de seigle. Vivant dans l’intimité de la pensée du Maître, nous nous sommes longtemps demandé en quoi ce retable devait figurer ou figurait pour ses derniers écrits. L’explication fut de suite trouvée si nous nous mettons dans la logique de son raisonnement, il s’agit effectivement par transposition symbolique des plaies susceptibles d’affecter notre planète. Aujourd’hui, connaissant la nature de ses derniers travaux, la raison en parait assez simple sinon claire. Nous en rappelons les données grâce aux notes de Laplace (les mêmes que nous avions publiées il y a plus de 12 ans et retrouvées par hasard sur un forum !.. il s’agissait d’un site à l’époque connu sous le nom de prismeshebdo ). Sur cette composition nous retrouvons les consignes données à Julien Champagne : CHTHES et AYRION … Au feu des ardents ou mal des ardents aussi appelé feu persique, qui brulait les corps en creusant des tâches sombres, l’Adepte substituait un autre feu non moins apocalyptique. Le retable signifie le triomphe de l’espoir sur la mort et celui de l’esprit qui régénère tout. à noter enfin que l’Ordre de Saint Antoine possédait une commanderie au débouché de l’Isère que le Maître connaissait bien – et même très bien ! – à la fois pour des raisons professionnelles et à la fois pour des raisons personnelles liées à son entourage proche et que seules les archives nous ont permis de découvrir. JK (FCH)
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Finis Gloriae Mundi : Sol Invictus
Nos illustrations sont disponibles sous format poster en différentes tailles, nous contacter pour avoir un devis
Après avoir résolu les différents points concernant la biographie du Maître, il restait une dernière étape. Sans doute est ce là « le Don de Dieu » ou bien sa main tutélaire qui nous guidait mais quelle ne fut pas notre surprise en classant ses notes de découvrir la formule même qui devait résumer l’ensemble des travaux résumés sous le titre de Finis Gloriae Mundi. En fait et contrairement à ce que d’aucun pensent, la quasi totalité des chapitres a été préservée et disséminée dans le corpus général (comme nous avons déjà eu l’occasion de le dire). Sauf un chapitre sur lequel nous aurons d’ailleurs à nous expliquer (facilement) concernant le retable d’Issenheim attribué à Grünewald, en réalité Maître Mathis. Pour le reste aujourd’hui je peux affirmer sans l’ombre d’un doute que les questions générales autour du Finis Gloriae Mundi ont toutes trouvées leur réponse, pour autant que l’on ne sorte pas d’un cadre rationnel évidemment. Nous ne donnerons donc pas de crédit aux extravagantes rumeurs sur le séjour à Séville et autres fadaises du même tonneau que le disciple auto proclamé avait laissé entendre dans son célèbre entretien avec Robert Amadou. Bien des points restent encore dans l’ombre mais cela est dû au génie même du Maître tant sa profondeur de vue était immense. Imagine t’ont aujourd’hui Marcelin Berthelot sans ses importantes contributions à l’histoire de l’Alchimie, de même pour Chevreul et la création d’une importante bibliothèque au musée du jardin des plantes, que dire encore de Camille Flammarion etc .. Il convient de restituer à l’un ce qui appartient à l’autre afin que deux ne fassent plus qu’un et c’est à cette tâche austère que nous nous sommes dévoués depuis maintenant près de 30 ans !.. JK
Le Sundial d’Holyrood : à l’ombre d’une fleur (2)
« Trois espèces de très belles fleurs doivent être cherchées et trouvées au fond de ce jardin des philosophes : des violettes rouge vif, un lys blanc et l »amarante pourpre et immortelle. » Œuvre secret, chap. 53
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Le Sundial d’Holyrood : à l’ombre d’une fleur (1)
De tous les monuments signalés par le Maître, un seul se situe à l’étranger et c’est en Ecosse. Bien entendu, si ce dernier porte son attention sur ce monument que l’on nomme « le cadran solaire d’Holyrood » – en réalité un Gnomon, ce n’est pas sans raison et comme pour tous les autres, le lien est à la fois biographique et scientifique. Une fois de plus nous devons constater l’indigence dans la lecture de l’Oeuvre y compris de ceux qui se targuent pourtant de tout savoir et de pouvoir lire entre les lignes. Nous partons donc à la recherche d’une petite fleur des sous bois à la fois délicate et fragile.
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