Archives du mot-clé géodésie

de la Croix cyclique d’Hendaye au four alchimique de Winterthur

Il y eut un âge d’or .. et puis en un jour et une nuit tout bascula, la mémoire hyperboréenne en garda le souvenir et ce fut le début de la tradition secrète.

L’Age d’Or

D’après Hésiode, «Pendant l’Age d’Or, la terre, sans être déchirée par la char­rue, produisait tout en abondance. Le Printemps régnait pendant toute l’année ; on voyait de toutes parts des ruisseaux de lait et le miel coulait du tronc des arbres. Les maladies et la triste vieillesse étaient inconnues aux hommes qui mouraient comme on s’endort. Dans l’Age d’Argent, qui vint ensuite, l’année, au lieu d’être un Printemps perpétuel, fut divisée en 4 saisons, et la terre pour produire eut besoin d’être cultivée».

De ce passage on peut déduire que :

pendant l’Age d’Or, perpétuel Printemps, l’axe de la Terre était «perpendicu­laire» à l’écliptique ; à partir de l’Age d’Argent, l’année, divisée en 4 saisons, correspond à un axe terrestre «incliné» sur l’écliptique. (la suite dans le livre)

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La révélation de Karnak et le mètre étalon

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« Les Egyptiens connaissaient le mètre, ce qui est fréquemment démontré. Deux lignes peintes sur un édifice de la 3e dynastie sont espacées d’un mètre. Cette utilisation du mètre n’est pas un cas isolé, on peut la rencontrer dans des milliers de cas. » Schwaller de Lubicz

En France le dernier gardien du mètre n’était autre que Fulcanelli (Président de la commission des poids et mesures – BIPM, voir tome 1 « Portrait d’un adepte du XXème siècle » ) et c’est en rapport avec celui-ci et ses travaux de géodésie (dont il était l’un des pionniers) qu’il prépara son dernier ouvrage »Finis Gloriae Mundi »  jamais publié et dont il ne reste que des bribes éparses. Son aventure avec le mètre reste particulièrement exemplaire et il en fera discrètement référence dans les ouvrages connus comme les Demeures Philosophales. La question qui se pose alors est : pourquoi le mètre étalon est-il si important  et quel importants secrets recèle t-il ?

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Le mètre en platine iridié. Le mètre fut officiellement défini pour la première fois le 26 mars 1791 par l’Académie des sciences comme étant la dix-millionième partie d’un quart de méridien terrestre. En juin 1792, Jean-Baptiste Joseph Delambre fut chargé de mesurer la distance entre Dunkerque et Rodez pendant que Pierre Méchain mesura celle de Barcelone à Rodez. Ils devaient se retrouver à Rodez. Cela permit d’établir précisément la valeur du mètre. Le dernier gardien du mètre n’était autre que Fulcanelli.

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Les géomètres du Néolithique : les boules gravées d’Ecosse

« La géométrie est en Dieu et non en dehors de Dieu, et Dieu lui-même est géométrie. »
Johannes Kepler.

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L’une des plus belles boules néolithiques gravées d’Écosse, décorées de spirales sur la base de la symétrie du tétraèdre

La stéréométrie, la géométrie dans l’espace, aurait-elle déjà été découverte par l’humanité préhistorique ?

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Fulcanelli à Yellowstone : d’Hélios à Vulcain

vulcainLe dernier voyage de l’Adepte. C’est sans doute à l’occasion de ce denier voyage que l’Adepte reçu son deuxième nom de baptême sous l’invocation de Vulcain, le maître des forges de la terre.

Les abonnés à nos cahiers Fulcanelli recevront donc sous peu la retranscription de ce voyage exceptionnel (surtout) en son temps qui lui permis de rencontrer Tesla et tant d’autres scientifiques de renom. L’objet étant l’étude des mécanismes de la terre et de son manteau rocheux, ce voyage correspond grosso modo aux préoccupations qu’il livra dans ses notes inachevées du Finis Gloriae Mundi. Son but était aussi technique et l’étude des machines hydrauliques en faisait partie (tout comme pour Farah Dina, ingénieur hydraulicien) . Nous en donnons le récit complet avec les commentaires explicatifs et les références en parallèle avec l’oeuvre publiée sous son pseudonyme.

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Finis Gloriae Mundi : l’heure de la vérité

Finis Gloria Mundi : En 1923, Fulcanelli confie à son unique disciple, Eugène Canseliet, trois paquets scellés à la cire avec trois titres : Le Mystère des Cathédrales, Les Demeures Philosophales et Finis Gloriae Mundi avec mission de parachever la rédaction des notes importantes de ces ouvrages et de les publier.
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Si Le Mystère des Cathédrales voit le jour en 1926 et Les Demeures Philosphales en 1930, le Maître exige le rendu de son troisième ouvrage. Finis Gloriae Mundi ne doit pas paraître. Aux trois paquets scellés de cire, le Finis Gloriae Mundi entendait lui briser les 7 sceaux du livre de l’Apocalypse.

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Finis Gloriae Mundi : les cinq plaies du Christ

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Recomposition en vue d’artiste du retable d’Issenheim de Maître Matthis, dit Grünewald

La photographie sigillée D4 provient de Photo Postcard by Haw­ke, Helston. Commentaire de Fulcanelli : Cinq hémisphères — Cinq plaies du Christ.

Nous ne reviendrons pas sur les raisons de ce retable car nos lecteurs trouveront par ailleurs d’amples explications sur les maladies engendrées par l’ergot de seigle. Vivant dans l’intimité de la pensée du Maître, nous nous sommes longtemps demandé en quoi ce retable devait figurer ou figurait pour ses derniers écrits. L’explication fut de suite trouvée si nous nous mettons dans la logique de son raisonnement, il s’agit effectivement par transposition symbolique des plaies susceptibles d’affecter notre planète. Aujourd’hui, connaissant la nature de ses derniers travaux, la raison en parait assez simple sinon claire. Nous en rappelons les données grâce aux notes de Laplace (les mêmes que nous avions publiées il y a plus de 12 ans et retrouvées par hasard sur un forum !.. il s’agissait d’un site à l’époque connu sous le nom de prismeshebdo ). Sur cette composition nous retrouvons les consignes données à Julien Champagne : CHTHES et AYRION …  Au feu des ardents ou mal des ardents aussi appelé feu persique, qui brulait les corps en creusant des tâches sombres, l’Adepte substituait un autre feu non moins apocalyptique. Le retable signifie le triomphe de l’espoir sur la mort et celui de l’esprit qui régénère tout. à noter enfin que l’Ordre de Saint Antoine possédait une commanderie au débouché de l’Isère que le Maître connaissait bien – et même très bien ! – à la fois pour des raisons professionnelles et à la fois pour des raisons personnelles liées à son entourage proche et que seules les archives nous ont permis de découvrir. JK (FCH)

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Son nom, il le signe d’un XP qui signifie CHRISTOS…

WebXP se prononce Ki Ro, car le P est en réalité un « R » !..

 Un peu d’histoire : l’Empire romain est, à cette époque, divisé en deux territoires – l’Orient et l’Occident – et dirigé par une tétrarchie. Concrètement, deux Augustes, secondés par deux Césars logiquement appelés à leur succéder, règnent chacun sur une partie de l’Empire. Mais la tétrarchie, qui semble une bonne idée en théorie, ne survivra pas longtemps dans les faits… En 311, après d’interminables conflits et écharpages en règle, la situation est la suivante :

  • En Orient, Galère est Auguste et Maximin II Daia est César ;
  • En Occident, Licinius est Auguste et Constantin est César ;
  • Maxence, le beau-frère de Constantin, déclaré ennemi public, domine l’Italie et l’Afrique du Nord sans aucune légitimité.

A la mort de Galère (311), Maximin II devient donc Auguste d’Orient. Pendant ce temps, Constantin  attaque Maxence en Italie, et les deux hommes s’affrontent lors de la bataille du Pont Milvius, près de Turin, ce fameux 28 Octobre 312.  Et c’est alors que…

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Le secret de Saint Vincent de Paul et Fulcanelli

NINEVERSE

Histoire d’un « N » inversé ou

introduction aux mystères du Chi-Rô

 

D’une inversion de lettre, le « N » inversé, le « A » isolé et le « S » serpentin

On a pu remarquer le A isolé qui possède le sens d’unité (de pôles terrestres Arctique et Antarctique). Il va donc être question des pôles et la lettre S exprimera de ce fait un phénomène solaire (cab. = polaire) hélicoïdal qui précipitera le Pôle nord Arctique (A) vers le Pôle sud (S).

Ce Pôle Sud s’abrège par les initiales PS qui ne sont pas l’abréviation de post scriptum mais indiquent bel et bien le basculement du nord vers le sud.

C’est la raison pour laquelle ces deux lettres furent gravées par des initiés (de l’inversion du N ou du nord) sur certaines dalles en étroite relation avec l’énigme du boule-versement annoncé.

Cette tradition s’est traduite, au XIXe siècle par l’inverse de la lettre N ou И. C’est la raison pour laquelle on trouve ce caractère inversé sur la croix (IИRI) surmontant la pierre tombale du curé de Rennes le château, (village d’où l’on voit les sommets des Pyrénées). Elle figure aussi dans certaines inscriptions normales, montrant sur un linteau de porte par exemple, la présence d’un initié à la Gnose (= connaissance).

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