La gravure 104 de l’ouvrage allégorique « les trois livres de l’Art du Potier » du cavalier Cyprian Piccolpassi montre un arbre chargé de feuilles et de fruits, tirant sa vitalité extraordinaire d’un rocher, apparemment stérile, puisque privé de terre. Un phylactère, en arc de cercle, surmonte l’image et présente trois mots latins qui constatent le phénomène. Eugène Canseliet que l’Adepte avait de sa main annoté cette planche rapportant au texte de l’arbre miraculeux, la voici :
« C’est l’arbre qui parle :
Métaure : Meta = limites, bornes
Auro = or
Chiere tere = Qui recherche la terre cultivable. »
d’autres notes ont pu être sauvegardées … mais la plus importante nous est rapportée par Jean Laplace lui même. Elle a trait à la légende des chevaliers de la Table Ronde.
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