Jules Violle alias Fulcanelli. Jules Violle, l’alchimiste de la lumière par Johan Dreue. 31,50 €
Fulcanelli : en 2013, après plus de 90 ans de silence et d’omerta une porte s’ouvre sur une vérité en marche.
Des personnes sans vergogne et au talent médiocre avaient profité du vide documentaire pour laisser libre cours à une imagination aussi débridée que dérisoire sans relever le véritable défi que constituait une sérieuse enquête sur la personnalité du Maître et les motivations profondes de son engagement dans l’Art d’Hermès. Il s’agit également de relever un défi qui a pour nom « l’intertextualité » ! tâche ardue car elle relève de l’analyse des textes et de l’herméneutique. Plus tard nous dresserons le tableau de la totalité des référence croisées (cross reference) entre l’un et l’autre, entre l’homme de Tradition et l’homme de science dont la vie fut aussi mouvementée et extra-ordinaire que les exploits de l’Adepte. Après avoir organisé le colloque en 1999 en l’honneur de la mémoire de son disciple, Eugène Canseliet, nous ne nous sentions pas prêt à affronter les affairistes qui sévissent dans les parages du nom du Maître, mais aujourd’hui avec l’accord de la famille nous allons rendre publique les archives en notre possession afin que cesse définitivement les polémiques qui brouillent son message et faire justice sur un malentendu qui n’a que trop duré. En conséquence, nous allons vous ouvrir la porte du 89 Boulevard Saint-Michel et révéler ce qui avait été consigné depuis plus de 90 ans !… des photos rares et inédites, une série de manifestation prévue en 2013 pour célébrer le Maître avec des personnalités inattendues … et attendues ! Un dernier point et comme disent les anglais « at last but not least », il est tout de même amusant de songer que les plus hautes autorités de l’Etat comme de ses hôtes de prestige ont défilé sans le remarquer sous les trois blasons du Maitre et ce pendant plus d’un siècle ! L’histoire sait nous jouer parfois des tours…
Jules (Louis Jules Gabriel) Violle (1841-1923) Physicien français né à Langres (Haute-Marne) le 16 novembre 1841 et mort à Fixin (Côte-d’or), près de Dijon, le 12 septembre 1923. Il naît dans une famille où le père et le grand père était mathématicien. En 1861, il est admis simultanément à l’École polytechnique et à l’École normale supérieure. C’est cette deuxième qu’il choisit finalement d’intégrer. Il y côtoiera Édouard Branly avec qui il sera très lié. Il réussit le concours d’agrégation de physique en 1865. Il est nommé à Besançon puis à Dijon et revient à Paris au lycée Saint-Louis.
Durant son séjour à Dijon, Louis Pasteur qui l’avait connu et apprécié à l’ENS lui offre de venir travailler dans son laboratoire. Il lui trouve une place de préparateur chez Henri de Lacaze-Duthiers au Muséum national d’histoire naturelle puis un an après, au laboratoire de l’École normale supérieure. Il passe sa thèse de docteur ès Sciences en 1870. Son mémoire comporte deux thèses « Sur l’équivalent mécanique de la chaleur » et « Travaux de M. Pasteur sur les fermentations ». En 1872 ou 1875, il est nommé professeur de physique à la faculté des sciences de Grenoble. (…) à dans nos cahiers en attendant le livre.
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