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Fulcanelli, Newton et Albert Einstein : la leçon du Maître (2)

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La Force

Pour ne pas lasser inutilement nos lecteurs, nous n’abordons pas ici la suite du précédent article car celle-ci le sera de façon plus complète dans notre ouvrage à paraitre. On y trouvera en particulier les thèmes suivants : Principe d’inertie et principe des mouvements relatifs,  déduction du second principe de Newton,  Synthèse du système Violle en matière de physique et différentes considérations sur ses apports épistémologiques à la Science, mais en voici la principale conclusion.

Les origines de la théorie de la relativité restreinte : il existe une interprétation habituelle sur les origines de cette théorie : elle fait déduire l’élaboration d’Einstein du problème –  ainsi que le dit Stachel  –  « de l’échec des expériences faites pour découvrir le mouvement de la Terre dans l’éther ». Cette interprétation veut que la révolution de la physique attribuée à la relativité restreinte, soit née comme un fruit de génie apparu dans la pensée d’un grand scientifique, sollicité par des expériences précises.

En réalité Einstein ne s’était pas posé le problème de l’existence l’éther comme système de référence absolu. Ceci est affirmé par G. Holton : ce n’est pas l’échec de l’expérience de Michelson-Morley qui est à l’origine de la relativité restreinte. D’autre part Einstein lui-même rappellera qu’il désespérait « de la possibilité de découvrir les vrais lois au moyen de tentatives basées sur des faits connus », parmi lesquels il faut compter l’échec de l’expérience de Michelson-Morley.

Si l’origine de la théorie ne se trouve pas dans des faits expérimentaux nouveaux, c’est évidemment que le milieu culturel dans lequel vivait Einstein a eu un rôle déterminant. A ce propos, nous savons que, plusieurs fois, Einstein a affirmé que pour lui le livre de E.Mach avait été très important. Ce livre date de la même époque (1883) que l’édition française du livre de Violle. Pourquoi Einstein ne cite-t-il jamais ce dernier ?

Remarquons que Mach était très connu ; son livre a inauguré l’histoire critique de la physique. On notera que Mach critiquait les concepts fondamentaux de la mécanique newtonienne, espace absolu et temps absolu, et voulait les éliminer pour proposer un autre fondement.

Au contraire,  le livre de Violle est un texte didactique qui ne s’étendait pas trop sur la critique des fondements. C’est peut-être à cause des carences du texte de Violle, qui était de plus beaucoup moins connu que Mach, qu’Einstein ne le cite jamais ; ou peut-être parce que de la lecture de Violle il était passé aussitôt à celle de Mach qui lui est resté plus présent à la mémoire, parce que ce livre était plus étendu et plus souvent cité dans les débats.

Toutefois on remarquera que, sur les fondements de la mécanique, Violle a un point de vue différent de Mach. Tous les deux considèrent l’équation F = ma comme une identité et sont contraires à l’espace et au temps absolus. Mais Mach, en cherchant une nouvelle formulation de la mécanique, ne travaille pas techniquement avec les systèmes de référence, alors qu’au contraire ce type de travail caractérise le fondement de Violle – c’est apparemment un cas unique parmi tous les textes de l’époque – (une autre différence profonde entre les deux auteurs est que Mach utilise le 3° principe pour définir la masse, alors qu’au contraire  Violle utilise le principe d’inertie pour définir la force).

On peut donc émettre l’hypothèse que c’est seulement du livre de Violle (et non de Mach) qu’Einstein a tiré (consciemment ou non) une formulation technique des systèmes de référence en mécanique, entendue comme une théorie qui peut être fondée sur le principe de la relativité. Autrement dit, le fait qu’Einstein ne mentionne jamais le livre de Violle signifie que, ou bien Einstein n’a pas pris conscience de l’importance et de la nouveauté de la formulation de Violle par rapport à la tradition newtonienne et aussi par rapport à Mach, ou bien qu’il a fait le silence sur un événement important de sa formation culturelle, et en conséquence aussi sur un passage décisif de la genèse de sa théorie de la relativité restreinte. On ne saurait comprendre autrement, sur quelle tradition physique (et non épistémologique) s’appuie Einstein, quand il affirme la relativité des mouvements, dans son article de 1905.

Voici donc le déroulement et la genèse de cette idée  : la formulation de la mécanique de Violle a donné à Einstein les éléments initiaux pour sa profonde critique des concepts basilaires de la mécanique classique et surtout lui a indiqué une voie pour résoudre les « asymétries [de l’électrodynamique de Maxwell] qui semblaient ne pas être cohérentes avec les phénomènes », parce que celles-ci ne respectaient pas la relativité des mouvements.

Cette hypothèse semble être confirmée par la façon dont il rédigea son fameux article de 1905. Puisqu’il avait appris du livre de Violle que le principe de relativité concernait les lois mécaniques pour les systèmes de référence dans les mouvement relatifs, il était naturel pour lui de se demander s’il était valable aussi pour les phénomènes électrodynamiques. Cette demande peut avoir motivé Einstein à enquêter sur les « asymétries » de l’électrodynamique, concernant précisément le mouvement relatif des objets. (Ou bien, au moment où Einstein s’est trouvé devant ces anomalies, il s’est tourné tout de suite vers le principe de relativité qui lui était connu par le livre de Violle.)

Einstein en fait est incité à étendre le principe de relativité, énoncé par Violle dans le cadre seulement de la mécanique, à toute la physique théorique. De fait il se demande – toujours dans l’article de 1905 – si « pour tous les systèmes de coordonnées pour lesquels sont valables les équations de la mécanique, doivent valoir aussi les mêmes lois électrodynamiques et optiques ». Enfin cela semble être l’intention de son écrit, car il dit lui-même: « Nous voulons élever cette hypothèse (le contenu de laquelle sera dit « Principe de la Relativité ») au rang de présupposé fondamental ».

Dans ces paroles il est évident que pour Einstein la théorie fondée sur le principe de la relativité était la mécanique (bien entendu classique). Pour lui ce seul fait était certain. Et ce fait il ne pouvait l’avoir appris que de Jules Violle.

Fulcanelli, Newton et Albert Einstein : la leçon du Maître

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Le feu Mercuriel. On a souvent opposé Henri Poincaré à Albert Einstein dans le genèse de son système ayant aboutit à la formule graalique que tout le monde connait, mais il serait plus juste et plus sûr de citer son prestigieux prédécesseur sans lequel il n’aurait pas élaboré son concept de relativité restreinte, à savoir Jules Violle alias Fulcanelli. C’est ce que nous allons aborder ici de façon introductive.

Introduction : on a beaucoup discuté sur le problème de la genèse de la théorie de la relativité restreinte. Nous avons l’intention de proposer ici un  autre parcours sur les éventuels apports  qui ont porté Einstein à modifier radicalement les lois traditionnelles de la mécanique.

Cette hypothèse est née d’une remarque de J. Stachel : en 1895 Einstein, à l’age de 16 ans, s’était préparé pour l’examen d’admission à l’ETH (Ecole Polytechnique de Zurich) en étudiant la mécanique sur l’édition allemande (1892) du livre du français J.Violle.

Stachel également a remarqué l’importance de ce livre : « Violle fonde son traité de mécanique sur le principe des mouvements relatifs en même temps que sur le principe d’inertie » (p.2.59). Pour cette raison selon Stachel « le principe de la relativité en mécanique classique était très probablement familier à Einstein » (p.258). Einstein lui-même précisément l’a noté en marge de la page 90 qui correspond aux pp. 99-100 de l’édition française (définition de la masse et énoncé du principe F = ma). Cependant ni Stachel, ni aucun autre ne semblent avoir prêté plus d’attention à ces faits.

Selon la plupart des gens le travail d’Einstein en 1905 est considéré comme celui qui a marqué la naissance des symétries en physique théorique. C’est seulement après Einstein, quand les principes d’invariance se sont imposés au premier plan de la scène, qu’on s’est intéressé au rôle du principe de la relativité en mécanique classique, en en faisant les prémisses de la première loi de Newton. Ce prétendu primat d’Einstein vient confirmer la grande importance que le texte de Violle a eu sur lui, en ce sens que celui-ci semble avoir aidé Einstein à concevoir la théorie de la relativité restreinte.

Le cours « Violle » présente un certain nombre de nouveautés dont il convient de faire une brève synthèse des principes et théorèmes fondamentaux sur lesquels Violle base la formulation de la mécanique. Nous pourrons ainsi mettre en relief les traits saillants des innovations de ce texte par rapport à la solide tradition newtonienne qui a dominé la mentalité des physiciens jusqu’à la fin du XIX° siècle. De fait ce livre, en lui-même, constitue une intéressante proposition alternative à la façon dont Newton a formulé les principes et concepts fondamentaux de la mécanique. En outre nous verrons ce en quoi il a pu contribué à la genèse de la relativité restreinte dans la pensée d’Einstein.

La statique selon J.Violle.

Le premier chapitre du livre est intitulé Mécanique ; dans ce chapitre sont traités, selon la succession habituelle, la Cinématique, la Statique et la Dynamique.

Donnons quelques définitions de Cinématique et de Statique pour mettre en évidence les relations que Violle pose entre ces deux dernières et la Dynamique ; ceci nous permettra de remarquer son degré d’approfondissement des fondements de la mécanique selon une école de pensée différente de celle de Newton.

« 18. Définition de la cinématique. La cinématique (mouvement) ou science du mouvement considéré en lui-même, indépendamment de ses causes, est une branche purement rationnelle de la mécanique, […]. A l’idée d’espace, seule base de la géométrie, celle-ci ajoute uniquement l’idée de temps, et de la combinaison de ces deux idées fondamentales celle-ci en tire les lois nécessaires du mouvement ». (p.32).

à suivre dans la seconde partie

Jules Violle alias Fulcanelli parmi les siens

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L’histoire a été injuste avec Jules Violle mais trop généreuse avec le mirifique Fulcanelli, pourtant l’un et l’autre ne font qu’un ! Sur cette photo on reconnait l’Adepte entouré des siens avec sa femme Anna qui se tourne vers le photographe. Moment de détente du savant dans sa demeure vers 1910. La petite fille se prénomme Lucie  et ce sera grâce à elle que le flambeau va se transmettre. Dans ce cahier sont regroupés les différents voyages du savant ainsi que des anecdotes recueillies par ses élèves ou amis et condisciples. Il est temps de mettre fin aux élucubrations qui ont eut lieu ici et là  et d’organiser la seconde partie de ce travail pour lequel j’en appelle aux bonnes volontés (s’il en existe !) car il reste de nombreuses archives à dépouiller, la question n’étant plus de savoir « Qui » mais « Comment » et « Pourquoi ». Pour 2015  je compte donc créer un groupe de recherche à qui je pourrai transmettre mes archives afin que le travail engagé depuis 20 ans puisse se poursuivre. JK

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Offre spéciale à l’occasion du colloque : le livre + les actes (Mars 2015)

Fulcanelli et la photographie : Amilec ou la graine d’hommes

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Joseph Nicéphore Niépce (1765-1833) ou la permutation des formes par la lumière (Fulcanelli)

Les références à la photographie dans l’œuvre de l’Adepte sont nombreuses et récurrentes jusqu’aux procédés chimiques relatifs aux fameux sels d’argent. On s’étonnera moins de ces obsessions si l’on apprend que Fulcanelli-Violle n’était autre que le Président de la première société de photographie française ! De fait et responsable de l’inventaire de la plupart des monuments français il avait a sa disposition une documentation de premier plan et en avant première. Ce point éclairci on s’explique (outre les références à la photographie) les liens qu’il a pu entretenir également avec le cinéma naissant (Voyage en Kaleidoscope par exemple) .

Au début du XIXe siècle Joseph Nicéphore Niépce (1765-1833) réussit à obtenir et conserver une image due à l’action de la lumière. Dès 1812, il parvint à obtenir en lithographie des négatifs (grâce au chlorure d’argent) et des positifs (avec du bitume de Judée), mais ces images ne sont pas stables. Il utilise pour cela du sel d’argent placé au fond d’une chambre noire, mais le sel d’argent continue de noircir après l’exposition et l’image finit par disparaître.

En 1819, John Herschel décrit les propriétés de l’hyposulfite de sodium qui deviendra le fixateur de Mijus.

photancNiépce se rend compte que l’important est d’interrompre l’action du produit après une période d’exposition à la lumière. Après avoir tenté des produits qui éclaircissent à la lumière au lieu de noircir avec toujours le même problème de stabilité, il s’intéresse à différents acides qui agiraient sur une plaque de métal ou de calcaire et seraient lavés ensuite. Mais l’acide ne réagit pas à la lumière. Il comprend grâce à cette expérience que l’action de la lumière n’a pas besoin d’être visible immédiatement, mais peut être révélée ensuite. Il tente d’utiliser la résine de Gaïac, sensible aux ultra-violets qui perd sa solubilité dans l’alcool (dont le procédé peut donc être interrompu). Possible en plein soleil, l’opération est un échec en chambre noire, car les ultraviolets (inconnus de Niépce) sont filtrés.

Après différents déboires et voulant affiner sa méthode, Niépce s’est associé, en 1829, à un entrepreneur dynamique nommé Louis Jacques Mandé Daguerre (1787-1851). À partir de 1829, Daguerre a commencé véritablement ses travaux en chimie en utilisant l’iode découverte par Bernard Courtois. Daguerre a accompli des progrès importants dans les années qui ont suivi la mort de Niépce, survenue en 1833. Les vapeurs d’iode sont utilisées comme agent sensibilisateur sur une plaque de cuivre recouverte d’une couche d’argent polie. La réaction entre l’iode et l’argent produit de l’iodure d’argent, une substance qui s’est révélée être plus sensible à la lumière que le bitume. Par hasard, il a découvert que si une plaque qui avait été exposée était traitée aux vapeurs de mercure, l’image latente apparaissait nettement.

Amilec ou la crème d’hommes (d’AUM) : à découvrir le négatif  !

Avec cette référence dans les demeures philosophales (chapitre VI) le savant et adepte montre à la fois ses préoccupations scientifiques du moment (il a contribué à améliorer différents procédés d’émulsion lors de sa présidence) et le regard hermétique qu’il porte sur l’œuvre (peu connue à l’époque) de Tiphaigne de la Roche.

La filiation alchimique de Tiphaigne de la Roche est abordée dans Les Demeures philosophales au chapitre VI. Selon Jules Violle alias Fulcanelli Le titre de l’ouvrage Amilec ou la graine d’hommes devrait ainsi être lu comme Alcmie ou la crème d’Aum, selon la règle de décryptage cabalistique exposée par cet adepte du XXe siècle. À l’appui de cette théorie, Tiphaigne de la Roche dissimula de façon similaire l’anagramme de son nom dans le titre d’un autre de ses ouvrages, écrit anonymement : Giphantie = Tiphaigne, où il dévoile le procédé photographique presque 80 ans avant sa découverte.

Amilec révèlerait donc, à qui serait capable de le décrypter, un point de science alchimique : « l’extraction de l’esprit enclos dans la matière première » (où « esprit » et « Materia Prima » s’entendent au sens alchimique), appelé encore, pour reprendre le vocabulaire alchimique, « Vierge philosophique », correspondant donc au AVM, monogramme traditionnel renvoyant à l’Ave Maria et donc à la Vierge. Ce procédé serait analogue à celui qui permet de séparer la crème qui surnage à la surface du lait, et qui serait illustré par les cinquièmes et septièmes planches de l’ouvrage alchimique Mutus Liber, Le Livre Muet, où l’on voit les protagonistes récupérer au moyen d’un spatule des éléments qui sont issus de la coction dans un athanor. En clair, le titre signifierait donc Alchimie, ou (l’extraction de) la crème du lait de vierge.

Ainsi, dans un article publié en l’an 2000, le photographe professionnel Jean Lauzon écrit que « la description de l’alchimiste Tiphaigne de La Roche contient tous les éléments permettant de reconnaître l’idée de la photographie » et que « Les opérations alchimiques fondamentales, sublimation, filtrage et cuisson, peuvent se comparer au point de s’y identifier aux trois principales étapes de l’apparition d’une image photographique : latence, révélation, fixation ».

Au-delà des liens de filiation chimique et opératoire entre l’alchimie et la photographie, la naissance du procédé s’entoure du même secret que la quête alchimique : dans leur correspondance, les deux inventeurs de la photographie, Nicéphore Niépce et Jacques Daguerre utilisent un codage : les produits chimiques et les termes techniques sont remplacés par des numéros de 1 à 79. D’une manière similaire, les auteurs alchimistes dissimulaient le sens de leurs ouvrages en utilisant des termes dans un sens spécifique connu d’eux seuls (soleil, lune, lait de vierge, lion vert, tête de corbeau, etc.) S’il est certain que de nombreuses idées abordées dans l’œuvre de Tiphaigne de la Roche s’inscrivent dans la perspective plus large de la pensée hermétique, la question de sa pratique opératoire de l’alchimie reste ouverte de même que le double sens de ses écrits, mais l’on voit « peut-être poindre cette idée que la photographie a finalement dévoilé le projet alchimiste au-delà de la seule métaphore ». Seul un président de la société française de photographie pouvait également en faire le constat et s’émerveiller d’une pareille pré-science.

Jules Violle alias Fulcanelli succéda au Colonel Aimé Laussedat (un ami et collègue au travail et nous verrons pourquoi)  et fut Président de la société française de photographie de 1906 à 1908. Il sera remplacé par Jules Carpentier, (le grand père du célèbre producteur de télévision Gilbert Carpentier) l’inventeur précisément du cinématographe et de la pellicule à perforation !..  On peut avancer l’hypothèse que l’artiste Julien Champagne n’eut pas besoin de se déplacer plus que nécessaire car Jules Violle était à la tête d’une importante collection de photos qu’il pouvait confier à l’illustrateur.

Voyages et récits

Voyageur infatigable, Fulcanelli a parcouru le monde et n’hésita pas à traverser l’océan pour se rendre aux Etats Unis, d’autres voyages non moins extraordinaire pour l’époque sont rassemblés ici avec des anecdotes sur ses dernières réalisations et sa vie en famille auprès des siens. Nous produirons ensuite une table croisée des principales références entre la vie du scientifique et sa production littéraire connue sous le nom du « Mystère des cathédrales  » et des « Demeures Philosophales ».

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Autres articles :

  1. Voyages en Kaleidoscope (1)
  2. Voyages en Kaleidoscope (2) ou l’alphabet de la lumière
  3. Voyages en Kaleidoscope (3) le lessivage des sels

Présence de Fulcanelli ou le Vulcain Lunatique

couv_cahierno5Cahier no 5 Dans ce cahier, nous aborderons quelques aspects de la vie parisienne et des acteurs ayant fréquenté le Maître. Ainsi d’O. V. Milosz, un amateur de la langue des oiseaux, de la famille des de Lesseps,  d’Irène Hillel-Erlanger, de la mouvance napoléonienne, et des synarchistes représentés par le groupe des Veilleurs.

Le chevalier mystique ou le passage du blanc au rouge :  Fulcanelli dans un chapitre des Demeures philosophales  a évoqué ce chevalier de l’apocalypse (« L’embrasement »)  qui arrête le Soleil dans sa course. Nous aurons l’occasion d’y revenir dans une autre partie (Le feu du Soleil) mais pour l’instant notre attention se portera sur le symbolisme de cet étalon.

Le Cheval Blanc est la monture universelle des Héros, des Saints et des conquérants spirituels. En Inde, Kalki, l’avatar futur,cheval lui-même,est attendu revenant sur un cheval blanc. Il en va de même pour Mohammed, à son nouvel avènement. Le cheval blanc est également la monture dû Bouddha pour le Grand Départ. Il est aussi le véhicule du Christ de l’Apocalypse.  Sur le plan héraldique,le Blanc et l’Argent ou auber se valent et on ne pourra s’empêcher de faire le rapprochement entre cheval blanc et hippocampe d’argent.

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Fulcanelli à Yellowstone : d’Hélios à Vulcain

vulcainLe dernier voyage de l’Adepte. C’est sans doute à l’occasion de ce denier voyage que l’Adepte reçu son deuxième nom de baptême sous l’invocation de Vulcain, le maître des forges de la terre.

Les abonnés à nos cahiers Fulcanelli recevront donc sous peu la retranscription de ce voyage exceptionnel (surtout) en son temps qui lui permis de rencontrer Tesla et tant d’autres scientifiques de renom. L’objet étant l’étude des mécanismes de la terre et de son manteau rocheux, ce voyage correspond grosso modo aux préoccupations qu’il livra dans ses notes inachevées du Finis Gloriae Mundi. Son but était aussi technique et l’étude des machines hydrauliques en faisait partie (tout comme pour Farah Dina, ingénieur hydraulicien) . Nous en donnons le récit complet avec les commentaires explicatifs et les références en parallèle avec l’oeuvre publiée sous son pseudonyme.

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Fulcanelli : Mystère des cathédrales plus médaille de commémoration

La médaille est prête et nous vous en communiquons les premières photos. Offre couplée avec la réédition du Mystère des Cathédrales dans la version originale. Tirage limité pour l’un et l’autre. Ne reste que deux médailles. Médaille bronze, 65 mm de diamètre, deux faces.  Création exclusive ARL avec un orfèvre franc-comtois.

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