Le dernier voyage de l’Adepte. C’est sans doute à l’occasion de ce denier voyage que l’Adepte reçu son deuxième nom de baptême sous l’invocation de Vulcain, le maître des forges de la terre.
Les abonnés à nos cahiers Fulcanelli recevront donc sous peu la retranscription de ce voyage exceptionnel (surtout) en son temps qui lui permis de rencontrer Tesla et tant d’autres scientifiques de renom. L’objet étant l’étude des mécanismes de la terre et de son manteau rocheux, ce voyage correspond grosso modo aux préoccupations qu’il livra dans ses notes inachevées du Finis Gloriae Mundi. Son but était aussi technique et l’étude des machines hydrauliques en faisait partie (tout comme pour Farah Dina, ingénieur hydraulicien) . Nous en donnons le récit complet avec les commentaires explicatifs et les références en parallèle avec l’oeuvre publiée sous son pseudonyme.
Diverses préoccupations qui nous sont habituelles puisque dans la fréquentation du Maître étalon, voir l’extrait ci-joint :
« Durant ces dernières années, un ex-officier de la marine des Etats-Unis, M. Michelson, déjà célèbre par ses travaux en optique, venait poursuivre chez nous d’importantes recherches, ayant pour objet de rapporter l’étalon de longueur à la vibration lumineuse. Grâce aux précieuses ressources et à l’obligeant concours qu’il trouva auprès de M. Benoît, au pavillon de Breteuil, le jeune physicien américain réussit à évaluer le nombre de longueurs d’onde qui sont comprises dans un mètre, pour une radiation donnée. Le mètre est défini par une règle de platine déposée aux Archives. Sur cet étalon, on en a établi d’autres avec la précision la plus scrupuleuse. Mais rien ne garantit la fixité de ces objets matériels. La longueur d’onde afférente à une radiation déterminée, à la raie D du sodium, par exemple, est au contraire une chose immuable, la seule peut-être. Voilà donc où il faut chercher la véritable unité de longueur, ainsi que l’avait indiqué M. Fizeau, celle qui reste à l’abri des accidents terrestres. Expérimentalement, les difficultés sont extrêmes ; car cette unité de longueur par excellence ne vaut guère qu’un demi-millième de millimètre. Comment l’utiliser pratiquement en y rattachant notre mètre, presque deux millions de fois plus grand ? Comment mesurer avec exactitude le rapport de deux quantités si différentes ? » écrivait Fulcanelli à l’occasion de cette ultime escapade !
Fulcanelli à Yellowstone, étude des geysers (Archive)
le récit est intégré au premier volume : Portriat d’un Adepte du XXème siècle
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