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In Ictu Oculi, les sources

In ictu oculi est une locution latine signifiant « en un clin d’œil ». Son origine peut se trouver dans un passage de la Bible : « In momento, in ictu oculi, in novissima tuba » (1 Cor. 15:52), qui est lui-même traduit du grec ἐν ἀτόμῳ, ἐν ῥιπῇ ὀφθαλμοῦ, ἐν τῇ ἐσχάτῃ σάλπιγγι, que l’on traduit  par « en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette ».

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La trace hélicoïdale du Soleil : In ictu Oculi

Valdes_Leal in ictu oculi
Valdes Léal In ictu oculi Juan Valdès Leal est un peintre baroque qui va illustrer la vie d’Ignace de Loyola entre 1674 et 1676, et qui est aussi connu par ses tableaux macabres représentant la Mort à l’œuvre dans le monde, Finis Gloriae Mundi (Fin de la Gloire terrestre) et In ictu oculi (En un clin d’oeil). Il s’agit d’un vaste programme iconographique réalisé pour l’Hôpital de la Charité de Séville, fondé par Miguel de Manara, auquel vont participer trois artistes, les peintres Leal et Murillo, et le sculpteur, Pedro Roldan. Le thème global est celui de la voie du salut par la charité chrétienne. L’intention théologique est de montrer, dans ce courant de la Contre Réforme, l’importance du salut par les œuvres. Pour notre Adepte ce salut passant par la voie adeptale.

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Fulcanelli à Yellowstone : d’Hélios à Vulcain

vulcainLe dernier voyage de l’Adepte. C’est sans doute à l’occasion de ce denier voyage que l’Adepte reçu son deuxième nom de baptême sous l’invocation de Vulcain, le maître des forges de la terre.

Les abonnés à nos cahiers Fulcanelli recevront donc sous peu la retranscription de ce voyage exceptionnel (surtout) en son temps qui lui permis de rencontrer Tesla et tant d’autres scientifiques de renom. L’objet étant l’étude des mécanismes de la terre et de son manteau rocheux, ce voyage correspond grosso modo aux préoccupations qu’il livra dans ses notes inachevées du Finis Gloriae Mundi. Son but était aussi technique et l’étude des machines hydrauliques en faisait partie (tout comme pour Farah Dina, ingénieur hydraulicien) . Nous en donnons le récit complet avec les commentaires explicatifs et les références en parallèle avec l’oeuvre publiée sous son pseudonyme.

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Finis Gloriae Mundi : l’heure de la vérité

Finis Gloria Mundi : En 1923, Fulcanelli confie à son unique disciple, Eugène Canseliet, trois paquets scellés à la cire avec trois titres : Le Mystère des Cathédrales, Les Demeures Philosophales et Finis Gloriae Mundi avec mission de parachever la rédaction des notes importantes de ces ouvrages et de les publier.
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Si Le Mystère des Cathédrales voit le jour en 1926 et Les Demeures Philosphales en 1930, le Maître exige le rendu de son troisième ouvrage. Finis Gloriae Mundi ne doit pas paraître. Aux trois paquets scellés de cire, le Finis Gloriae Mundi entendait lui briser les 7 sceaux du livre de l’Apocalypse.

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