Archives du mot-clé Lotharingie

L’Axe majeur et le dernier testament de François Mitterrand

deuxcolonnecergy«  Cependant, si, dans les hauteurs, l’Axe Majeur sait parfois apparaître, au bénéfice de certains voyants, comme un Dragon de Feu, dans les profondeurs de la terre l’Axe Majeur n’est-il pas un immense Serpent de Mercure courant dans les gouffres à couvert du Grand Continent ? Avouons-le, depuis longtemps on s’en doutait : dans les ultimes profondeurs telluriques du Val d’Oise il y a veille, et veille très puissante, très active et très grande, il y a des embrasements indicibles et des rivières de braises glaciales, décisives. » J. Parvulesco

L’azimut de l’Axe Majeur de Cergy-Pontoise est 144°/364°, et l’azimut 144° conduit tout droit à Solutré près de Mâcon, en Saône et Loire.

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La constellation du Bouvier est associée à l’Axe Majeur, nous en donnons l’explication dans notre cahier (voir plus loin)

C’est ici que s’acheva le projet pharaonique du président sphinx que fut et restera François Mitterrand, grand bâtisseur initié devant l’éternel. C’est ici aussi qu’à partir du rayon vert est donné la clé des autres monuments, clé tonale et diapason donnant le « la » sur lequel les autres monuments phares s’accordent : la grande pyramide du Louvre, l’arche de la Défense et le tout sous l’égide du grand calendrier aztèque qui trône sur le parvis du palais royal plus connu aussi comme les colonnes de Buren. Beaucoup a été dit sur les autre monuments et bien peu sur celui-là, l’un des plus importants. Il fut inauguré pouratnt en grande pompe en 1989 avec plus de 1000 choristes venus célébrer le bi-centenaire de la révolution française. Une pierre en porte la dédicace.

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Ducatus Lotharingie : le Westrich et les hommes libres

cahier_westrichLe Westrich ou l’impossible Far Ouest lotharingien. Une brève histoire des confins occidentaux.

Plusieurs dossiers indispensables pour une bonne compréhension de la Lotharingie d’hier à aujourd’hui : Etude de la Carte VASTUM REGNUM suivi de « Le Westrich, esquisse d’une explication ( A. Eiselé), Les Seigneurs du Weestrich et le rôle des forestiers de Charlemagne jusqu’au XVème siècle, sans doute les premiers hommes libres surnommés les « semper freye » … Une origine possible des rites forestiers qui surgiront quelques siècles plus tard avec les Carbonari.

Pour ceux qui le souhaitent la carte Vastum Regnum peut être expédiée en sus (sur papier vergé prêt à l’encadrement)

Pièce essentielle de la Lotharingie et véritable archive vivante jusqu’à aujourd’hui l’impossible Westrich aura donc survécu aux démembrement des territoires au cours des siècles.

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Chroniques Lotharingiennes : Vastum Regnum

cahier_vastum_regnumDossier spécial sur le Westrich (West Reichen). Les bibliophiles lorrains connaissent de longue date la «Geographia » de Ptolémée, important atlas édité en 1513 à Strasbourg par Jean Schott.
Il est l’œuvre du groupe de géographes de Saint-Dié protégés par le duc René II de Lorraine (1473 à 1508) que leurs travaux de recherche scientifique, leurs publications ainsi que leurs innovations techniques avaient placés au premier rang des géographes et des cartographes de leur temps .
C’est à Saint-Dié que , pour la première fois , on imagina de graver sur une tablette de bois une carte du monde divisée en fuseaux horaires pour en effectuer un tirage destiné à former des garnitures de globe ; à Saint-Dié aussi que l’on commença à imprimer des lettres et des mots au moyen de caractères mobiles sur une carte muette gravée sur bois ; àn Saint-Dié surtout qu’on « baptisa » le Nouveau Monde en imprimant pour la première fois le nom d’« America » sur une carte en figurant la partie méridionale) .
A la fin de la « Geographia » se trouve une carte d’une demi-feuille (0,36 x 0,26 rn) représentant l’espace lorrain, plus exactement le duché de Lorraine (« Lotharingia ») et le Westrich (appelé « Vastum Regnum »), pour partie entourée de blasons et suivie de la mention :  » Secunde partis Ptolemaei finis : opera Joannis Schotti Argentinen  » .

ANNO CHRISTI OPT. MAX. 1513 ».

Cahier imprimé à la demande uniquement : délais 2 semaines

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Chroniques Lotharingiennes : cahier no 1

chroniques_1Parution sur abonnement ou à l’unité du premier cahier des « Chroniques Lotharingiennes ». L’objectif de ces chroniques est de donner des outils pour repenser l’histoire de cet axe névralgique qui fut à l’origine de l’Europe et reste encore son épine dorsale. 50 pages chaque

au sommaire de ce premier cahier :

  1. Geodefroy de Bouillon ou l’impossible rêve lotharingien.
  2. Le traité de Verdun et ses avatars
  3. La Lotharingie entre nécessité et utopies
  4. Projet d’un état espérantiste entre l’Allemagne et la Belgique
  5. 10 leçons pour construire une nation, l’exemple du Luxembourg
  6. L’espoir européen coule dans la Sarre
  7. Ni Allemands ni Français : quand les cigognes voient rouges !
  8. L’internationalisme de Trieste
  9. Fiume et le message de Gabrielle d’Annunzio
  10. Les origines de la famille carolingienne
  11. Richard Coudenhove-Kalergi : quand une autre Europe était possible

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Chroniques Lotharingiennes

chroniques_lothLancement des « chroniques lotharingiennes » en Janvier 2017 avec au sommaire :

Dossier sur la légende du chevalier au cygne, origines  romaines de la famille carolingienne, la Lotharingie et les utopies d’après guerre à l’ombre de la SDN (Société des Nations), figures lotharingiennes méconnues, étude de la légende du chevalier au cygne …

Pour commander : suivre ce lien

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Bruges la belle

Phillipe_le_bonC’est à Bruges, le 10 janvier 1430, à l’occasion des festivités marquant son troisième mariage, avec Isabelle de Portugal, que Philippe le Bon institue le plus glorieux et le plus illustre des ordres de chevalerie, l’ordre de chevalerie de la Toison d’or, donnant comme nouveau modèle à l’élite chevaleresque de son temps, la figure mythique de Jason. Le fabuleux périple de Jason et des argonautes, partis en Colchide, aux confins de la mer Noire, afin de conquérir la toison d’or d’un bélier merveilleux, gardé par un dragon dans le royaume d’Aiétès. Sous le patronage de Jason, exemple de courage et de vaillance, Philippe le Bon crée donc une confrérie militaire chrétienne, rassemblant sous son autorité 24 chevaliers, prestigieux représentants des plus hauts lignages de ses principautés bourguignonnes (par la suite, le nombre de chevaliers sera porté à 31, puis 51 et même 61). L’ordre de la Toison d’Or devait exalter l’esprit chevaleresque, son but principal était la gloire de Dieu et la défense de la religion chrétienne, comme le rappelait l’inscription figurant sur le tombeau du duc à Dijon :

 » Pour maintenir l’Église qui est de Dieu maison, J’ai mis sus le noble Ordre, qu’on nomme la Toison « .

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