Archives du mot-clé Révélation des Pyramides

La pyramide de Khéops : de la Pierre angulaire à la Pierre cubique

Les pyramides sont en Égypte mais leur conception est le fruit d’une haute science et d’un autre peuple venu d’au delà des mers (les Shemsou).

Il faut imaginer la pyramide d’alors avec le Nil qui coulait à ses pieds, les blocs de pierre étaient déposés directement au plus près. Les arabes l’ont profané et en partie détruite mais elle était recouverte de dalles de calcaire blanche qui la rendait éblouissante, le pyramidion en orichalque pesait plusieurs centaines de tonnes : il fallait se protéger les yeux avant de pouvoir la regarder en face tant son éclat était puissant. Sous certaines conditions il pouvait émettre une vibration qui se propageait à des centaines de kilomètres. Un livre est déjà paru.

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L’histoire commence à Ishango : une règle à calcul de 20.000 ans

Dans les années 50 un os gravé d’entailles disposées suivant une logique mathématique fut trouvé sur la frontière entre le Congo et l’Ouganda. Il fut interprété soit comme une calculette primitive soit comme un calendrier astronomique. Cependant ces interprétations ne cadraient pas avec ce que l’on savait alors des peuples africains qui connaissaient à peine les rudiments de l’algèbre et ne s’intéressaient que très faiblement à l’astronomie : l’objet en question est estimé en effet à – 20.000 ans !

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La révélation de Karnak et le mètre étalon

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« Les Egyptiens connaissaient le mètre, ce qui est fréquemment démontré. Deux lignes peintes sur un édifice de la 3e dynastie sont espacées d’un mètre. Cette utilisation du mètre n’est pas un cas isolé, on peut la rencontrer dans des milliers de cas. » Schwaller de Lubicz

En France le dernier gardien du mètre n’était autre que Fulcanelli (Président de la commission des poids et mesures – BIPM, voir tome 1 « Portrait d’un adepte du XXème siècle » ) et c’est en rapport avec celui-ci et ses travaux de géodésie (dont il était l’un des pionniers) qu’il prépara son dernier ouvrage »Finis Gloriae Mundi »  jamais publié et dont il ne reste que des bribes éparses. Son aventure avec le mètre reste particulièrement exemplaire et il en fera discrètement référence dans les ouvrages connus comme les Demeures Philosophales. La question qui se pose alors est : pourquoi le mètre étalon est-il si important  et quel importants secrets recèle t-il ?

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Le mètre en platine iridié. Le mètre fut officiellement défini pour la première fois le 26 mars 1791 par l’Académie des sciences comme étant la dix-millionième partie d’un quart de méridien terrestre. En juin 1792, Jean-Baptiste Joseph Delambre fut chargé de mesurer la distance entre Dunkerque et Rodez pendant que Pierre Méchain mesura celle de Barcelone à Rodez. Ils devaient se retrouver à Rodez. Cela permit d’établir précisément la valeur du mètre. Le dernier gardien du mètre n’était autre que Fulcanelli.

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La trace hélicoïdale du Soleil : In ictu Oculi

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Valdes Léal In ictu oculi Juan Valdès Leal est un peintre baroque qui va illustrer la vie d’Ignace de Loyola entre 1674 et 1676, et qui est aussi connu par ses tableaux macabres représentant la Mort à l’œuvre dans le monde, Finis Gloriae Mundi (Fin de la Gloire terrestre) et In ictu oculi (En un clin d’oeil). Il s’agit d’un vaste programme iconographique réalisé pour l’Hôpital de la Charité de Séville, fondé par Miguel de Manara, auquel vont participer trois artistes, les peintres Leal et Murillo, et le sculpteur, Pedro Roldan. Le thème global est celui de la voie du salut par la charité chrétienne. L’intention théologique est de montrer, dans ce courant de la Contre Réforme, l’importance du salut par les œuvres. Pour notre Adepte ce salut passant par la voie adeptale.

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Le message d’Orion dans le Finis Gloriae Mundi


fulcanelli pyramide 1Il y a une quinzaine d’années (en 2000) nous avions laissé fuité comme on dit et de façon bien imprudente certaines informations relatives au synopsis du Finis Gloriae Mundi trouvé au domicile de son disciple et consignée par Jean Laplace. Yves Artero les avait aussitôt reprises sur son blog (sources de mon site prismeshebdo mais disparu aujourd’hui). Dans cette divulgation une erreur avait été commise et elle fut répétée également à des milliers d’exemplaires via la propagation des réseaux. Il convient à présent d’en toucher un mot mais voyons les faits.

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