Archives du mot-clé Vulcain Solaire

Fulcanelli à Yellowstone : d’Hélios à Vulcain

vulcainLe dernier voyage de l’Adepte. C’est sans doute à l’occasion de ce denier voyage que l’Adepte reçu son deuxième nom de baptême sous l’invocation de Vulcain, le maître des forges de la terre.

Les abonnés à nos cahiers Fulcanelli recevront donc sous peu la retranscription de ce voyage exceptionnel (surtout) en son temps qui lui permis de rencontrer Tesla et tant d’autres scientifiques de renom. L’objet étant l’étude des mécanismes de la terre et de son manteau rocheux, ce voyage correspond grosso modo aux préoccupations qu’il livra dans ses notes inachevées du Finis Gloriae Mundi. Son but était aussi technique et l’étude des machines hydrauliques en faisait partie (tout comme pour Farah Dina, ingénieur hydraulicien) . Nous en donnons le récit complet avec les commentaires explicatifs et les références en parallèle avec l’oeuvre publiée sous son pseudonyme.

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Finis Gloriae Mundi : l’heure de la vérité

Finis Gloria Mundi : En 1923, Fulcanelli confie à son unique disciple, Eugène Canseliet, trois paquets scellés à la cire avec trois titres : Le Mystère des Cathédrales, Les Demeures Philosophales et Finis Gloriae Mundi avec mission de parachever la rédaction des notes importantes de ces ouvrages et de les publier.
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Si Le Mystère des Cathédrales voit le jour en 1926 et Les Demeures Philosphales en 1930, le Maître exige le rendu de son troisième ouvrage. Finis Gloriae Mundi ne doit pas paraître. Aux trois paquets scellés de cire, le Finis Gloriae Mundi entendait lui briser les 7 sceaux du livre de l’Apocalypse.

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Le Feu du soleil et la baronne de Beausoleil (1)

pierre_routhierLe Feu du soleil serait incomplet sans la singulière histoire du baron et de la baronne de Beausoleil. Cette histoire est liée à l’histoire des mines en France (aurifères et argentifères et a pour cadre la cardinal de Richelieu si bien nommé par ailleurs Riche Lieu !..

Au début du XVIIe siècle, le baron de Beausoleil, Conseiller et Commissaire des Mines de Hongrie, s’est vu confier, à plusieurs reprises, des missions officielles en France, afin de procéder à diverses recherches dans le but d’établir un état des ressources minières du royaume. Les résultats des travaux conduits en France par le baron et son épouse nous sont connus par plusieurs publications reproduites dans l’ouvrage de Gobet (Les Anciens Minéralogistes du Royaume de France) édité en 1779 : le Diorissimus de materia prima lapidis (1627), la Véritable déclaration de la découverte des Mines et Minières de France (1632) et surtout la Restitution de Pluton, éditée à Paris en 1640, et qui pose quelques problèmes. En effet si l’édition de 1640 ne cite que deux mines en Bretagne « une mine d’améthiste, proche de la ville de Lannion, comme aussi une mine d’argent », le texte publié par Gobet donne une liste impressionnante de gisements. Or Gobet dit avoir ajouté au texte de la baronne de Beausoleil un manuscrit que lui avait communiqué le minéralogiste français Romé de Lisle vers 1778, qui le tenait lui-même d’un médecin breton, Monsieur de la Rüe. Divers indices tendent à montrer que la partie ajoutée par Gobet au texte original de la Restitution est probablement dûe aux Beausoleil et qu’elle correspond à l’un des manuscrits perdus par les Beausoleil lors de leur séjour mouvementé en Bretagne.

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Le Feu du soleil ou le matin des magiciens

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Hommage au réalisme fantastique et son inventeur Jacques Bergier

En arrière plan, la « Z » Machine; Il s’agit d’un générateur de rayon X qui réalise le vieux rêve de nos alchimistes. La Z machine ouvre de fantastiques perspectives dans l’étude de la fusion nucléaire (et non de la fission nucléaire) en créant des températures de plusieurs milliards de degrés nécessaires à la fusion d’éléments atomiques présents en quantité sur terre.

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Finis Gloriae Mundi et le boson de Higgs

Finis Gloriae Mundi et le boson de Higgs

Tableau du Finis Gloriae Mundi : Nimas Nimenos : une simple question de masse manquante !.. ni trop, ni trop peu !.. où est passé le reste ?

Notre approche de plus de 40 ans de l’œuvre du Maître nous a permis de cerner et de comprendre les enjeux du fameux manuscrit partiellement disparu car redemandé par l’Adepte et aujourd’hui nous sommes en mesure de dire précisément pourquoi ces chapitres ne pouvaient être communiqués en l’état. Il s’agit d’un travail collectif mené par l’Adepte en commun avec deux autres scientifiques. Ce travail démontrait une irrégularité dans les constantes universelles que seule cette théorie – aujourd’hui en passe d’être démontrée – pouvait résoudre et expliquer. En réalité et malgré tout, il en est resté plusieurs (de ces chapitres perdus) que le disciple Eugène CANSELIET  (outrepassant les directives du Maître pour notre plus grande satisfaction)  à disséminé dans l’ensemble de l’oeuvre comme des bouteilles à la mer et nous en comprenons également les raisons profondes. Font donc partie du corpus disparu les chapitres sur la croix cyclique d’Hendaye, l’Atlantide, l’obélisque de Dammartin sur Tigeaux (et non sous Tigeaux !) et enfin du progrès illimité des sciences qui n’est autre qu’un discours déjà prononcé par notre savant sous la coupole !..  Vous pensez que c’est incroyable ? et vous avez raison … et c’est cette incroyable histoire qui sera racontée dans « à l’ombre des Chênes ». Nous réservons la teneur de notre analyse à nos fidèles lecteurs.

d’Edimbourg à Edinburgh : le cycle se referme enfin !.. lorsque le Maitre s’y rend à l’occasion d’un congrès d’électricité pour y recevoir un prix suprême,  il n’envisageait pas à l’époque faire cette découverte majeure, mais en réalité tous ses travaux y conduisaient inéluctablement. Sur la photo Peter Higgs avec le cadran solaire d’Holyrood (Queen Mary’s dial)  et son icosaèdre : mais c’est bien sûr !..   JK votre serviteur (FCH)

peter-higgs_Peter-Tuffy_The-University-of-Edinburgh

le boson de Higgs ou la particule de la 25ème heure

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