Archives pour la catégorie Kepler

le secret de la fleur de vie : Nicolas Tesla et Léonard de Vinci

Nicolas Tesla

 

Selon Swami Nikhilananda, Nikola Tesla, le grand scientifique spécialisé dans le domaine de l’électricité, a été très impressionné d’entendre le Swami expliquer la cosmogonie Samkhya et la théorie des cycles donnée par les Hindous. Tesla fut très impressionné d’entendre le Swami lui expliquer la cosmogonie Samkhya et la théorie des cycles donnée par les Hindous. Il fut particulièrement frappé par la ressemblance entre la théorie samkhya de la matière et de l’énergie et celle de la physique moderne. » Lire la suite le secret de la fleur de vie : Nicolas Tesla et Léonard de Vinci

La pyramide inversée du Louvre et le Merkaba

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La Merkaba (ou Merkavah) est un terme hébreu qui signifie char ou zodiaque (de la racine R-K-B signifiant chevaucher). C’est un des plus anciens thèmes du mysticisme juif. Il s’agit pour le mystique d’accéder à la contemplation de ce trône céleste. Le concept de la Merkaba a son origine dans le premier chapitre du Livre d’Ézéchiel.

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Sir Christopher Wren ou l’énigme du Grand architecte

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« The few lodges at London finding themselves neglected ..« 

James Anderson

En 1717 une autre maçonnerie existait bel et bien mais sa mise à mort fut programmée par un quarteron de loges regroupées sous le label grandiloquent de « Grande Loge »… Les protagonistes de cette grande loge se réunissaient au premier étage d’une taverne londonienne à l’enseigne de « L’Oie et le Grill » dans une pièce minuscule ne pouvant pas contenir plus de 15 personnes. Pourquoi et dans quelles conditions, c’est l’objet de cet ouvrage. Sir Christopher Wren tout comme Sir Robert Moray appartenaient de fait à cette « autre maçonnerie » dont la fin est proche et qui se sait condamnée.

Bien des mystères subsistent autour de la figure du plus grand architecte du Royaume de Grande Bretagne et il est difficile de faire la part du vrai dans les omissions, mensonges et  affabulations du rédacteur des constitutions de 1723. En 1720 devant la montée en puissance des « modernes » ou « spéculatifs » – à prendre au sens premier tant leurs liens avec le développement de la future banque de Londres est étroit – l’honorable loge de l’architecte, la loge St Paul Churchyard préfère se saborder et détruit par le feu la totalité de ses archives, il en sera de même pour nombre des loges tories avant que les nouveaux dissidents ne le fassent eux mêmes (voir ce que peut dire Anderson sur la « nécessité qu’il y a eut à bruler les archives des anciens devoirs   » ! Après le grand incendie de Londres en 1666 c’est maintenant le temps des autodafés et des anciennes loges il ne restera plus rien car table rase sera faite sous la conduite des nouveaux maitres.

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Nombres premiers et carrés magiques : Tesla et Fulcanelli

 

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Nikola Tesla et Fulcanelli furent deux électriciens de génie, ils eurent d’ailleurs l’occasion de se rencontrer aux USA ( voir Portrait d’un alchimiste du XXème siècle)

Dans notre second ouvrage « l’alchimiste de la république » nous expliquons pourquoi et quels étaient les liens étroits que le Maître et Adepte Fulcanelli entretenait avec les carrés magiques. Ici nous abordons une page méconnue de son ami et collègue Nikola Tesla qui fut avec Fulcanelli le plus grand électricien du temps.

Nikola Tesla fut l´un des plus importants génies de l´humanité. Notre monde ne serait pas le même sans lui. Né le 10 juillet 1856 à  Smijlan, à l´époque où cette localité croate appartenait à l´Empire Autrichien, l´inventeur serbe émigra aux États-Unis où il travailla entre autres avec Thomas Edison, et décéda à New-York le 7 janvier 1943, dans la misère la plus absolue. À la mort du génie, la chambre fut perquisitionnée de font en comble par des agents gouvernementaux (dirons-nous) qui allèrent jusqu´a démonter et emporter le parquet, à la recherche de toute note ou nouveau travail du génie, mais surtout de son journal.  à venir …

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La Pierre rejetée des bâtisseurs

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C’est à Jésus que fait référence cette citation de l’Evangile. La pierre destinée à prendre sa place dans l’édifice du temple de Dieu est rejetée par tous ceux qui considèrent qu’elle n’est pas digne de prendre cette place dans l’édifice. Trop fragile ou décalée. Pas adaptée. Pas conforme aux normes. Mais cette pierre rejetée peut devenir la pierre d’angle. Pour les amis de Jésus, c’est lui, l’exclu, l’ami des exclus, qui est devenu la pierre de fondation.

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Le Magistère adeptal de la Reine Christine de Suède

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Une introduction à des aspects méconnus de l’Alchimie en Suède et au Danemark au XVIIème siècle. le fond de la bibliothèque alchimique de la reine Christine de Suède se trouve aujourd’hui à Leyde aux Pays Bas, c’est l’un des plus important legs de manuscrits rares que celle-ci a laissé à sa mort.

La reine Christine (1626-1689) fut couronnée à 24 ans en 1650. Parlant le français, elle eu des rencontres régulières et enrichissantes avec les philosophes. Ainsi elle fut la protectrice de René Descartes et conversait avec Blaise Pascal. Descartes voulait rencontrer les Roses+Croix, et nul ne sait si sa découverte fut couronnée de succès. Le philosophe décéda à Stockholm, mais une rumeur tenace affirme qu’il eut des obsèques simulées et qu’en réalité il s’était retiré en Laponie. C’est un on-dit fréquent chez les alchimistes. Nicolas Flamel n’en fut pas exempté… La reine Christine non plus !

Aujourd’hui de nouvelles recherches ont permis de découvrir la correspondance relatant les activités au laboratoire du Philosophe. C’est à cet égard totalement incontestable !

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Le secret de René Descartes (2)

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Les 3 songes.                                                                                       

À cette période, René Descartes est en pleine quête de connaissance. Il vient de résoudre deux des trois pro­blèmes mathématiques – ce qu’aucun savant depuis l’Antiquité n’avait réussi à faire –, à savoir la duplication du cube et la trissection de l’angle. En mars 1619, il annonce à son ami Isaac Beeckman qu’il travaille à fon­der « une science toute nouvelle […] une méthode univer­selle qui va au-delà des mathématiques » et permet de résoudre toutes sortes de questions. Il ressent une exal­tante jubilation de l’esprit, tout heureux qu’il est d’avoir trouvé les fondements d’une science admirable. Il passe la journée du 9 novembre à méditer sur l’objet de sa quête. C’est alors que dans la nuit, près d’Ulm, il fait trois songes qui vont bouleverser son existence. Dans le pre­mier, il est poussé par un vent impétueux vers un mys­térieux collège où il rencontre un homme qui lui donne un melon. Il se réveille et, craignant que ce rêve ne soit l’oeuvre d’un mauvais génie, fait une prière. À peine se rendort-il qu’il fait un deuxième songe, suivi d’un troi­sième. Dans ces songes, on lui présente un dictionnaire et un recueil de poésies où la philosophie est jointe à la sagesse. En consultant ce recueil, il tombe sur ces mots : « Quel chemin suivrai-je dans la vie ? »

moregeometricoL’interprétation de ces trois songes a suscité de nom­breux commentaires. Comme l’ont constaté plusieurs auteurs, les événements qu’il vécut au cours de ces rêves ressemblent à plusieurs épisodes relatés dans Les Noces chymiques de Christian Rosenkreutz. René Descartes a conscience d’avoir vécu une expérience fondamentale et tente aussitôt de l’analyser.

Il juge ces songes si importants qu’il les retranscrit dans un recueil qu’il intitule Olympica (en fait un mot codé). Cette expérience lui apporte la confirmation qu’il est sur la bonne voie et que les mathématiques sont une clé essentielle pour comprendre les mystères de la Création. Descartes dira lui-même qu’il s’agit là de « l’affaire la plus importante de [sa] vie », et jusqu’à sa mort, il gardera tou­jours ce texte sur lui. Quatre ans plus tard, en 1623, il est de retour à Paris. C’est alors que son nom se trouve associé à la Rose-Croix.

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