Selon Swami Nikhilananda, Nikola Tesla, le grand scientifique spécialisé dans le domaine de l’électricité, a été très impressionné d’entendre le Swami expliquer la cosmogonie Samkhya et la théorie des cycles donnée par les Hindous. Tesla fut très impressionné d’entendre le Swami lui expliquer la cosmogonie Samkhya et la théorie des cycles donnée par les Hindous. Il fut particulièrement frappé par la ressemblance entre la théorie samkhya de la matière et de l’énergie et celle de la physique moderne. » Lire la suite le secret de la fleur de vie : Nicolas Tesla et Léonard de Vinci→
Martines de Pasqually, mage et thaumaturge, rabin itinérant et capitaine d’arme
Dans la dernière partie de mon article j’évoquais les Maitres bâtisseurs des cathédrales à l’ombre de la Kabbale… avant de les retrouver en Écosse à Rosslyn, point de départ d’une nouvelle aventure. Mais c’était oublier une comète surgie de nulle part comme un dernier feu avant l’extinction finale d’une grande Tradition. Et ce dernier feu (de la sixième heure) n’est autre que Martines de Pasqually ou plutôt Joachim de la Casa de la Tour. Il est temps de vous introduire à ce singulier personnage digne de Cervantes car il est le dernier éclat de cette tradition hispano-juive héritée de la diaspora juive qui vit les plus grands kabbalistes migrer vers Narbonne (à Lunel) et le sud de la France. Pour ce faire nous avons emprunté à Serge Caillet qui en est le meilleur connaisseur à ce jour avec le regretté Robert Amadou. (Martines de Pasqually, éditions Signatura)
Le Tétragramme Yhwh, est le Nom divin gouvernant tous les Noms, les 72 Noms lui sont intimement attachés. Il est d’ailleurs assez facile de retrouver la valeur 72 dans le Tétragramme, par une simple triangulation. Pour cela, il suffit d’écrire le nom comme Pythagore le faisait pour la Tétrakys, afin de montrer que le 10 sort du 4 (1+2+3+4 = 10).Lire la suite Shem hamphorash ou les 72 noms de Dieu→
Pour le grand historien d’art, André Chastel, rejoint en cela par nombre de ses collègues, des Panovsky à Charles Terrasse et à Sylvie Beguin, la Grande Galerie de Fontainebleau est « un décor chiffré » et même un « roman à clefs », qui n’a pas encore livré toutes ses secrets. Un siècle après son achèvement, le Père Dan avait, certes, donné une première interprétation, liée aux exploits de François ler. Mais, à partir des années 1970 et de la redécouverte de l’Ecole de Fontainebleau, on s’interroge sur la symétrie complexe de l’arrangement des panneaux et sur le contenu du programme iconographique. Luisia Capodieci, historienne d’art a évoqué une dimension de lecture moins connue, celle qui prend en compte le culte européen des symboles et de l’occultisme, omniprésent à l’époque, notamment à Florence, où Rosso s’est formé.
Par bien des points, ces deux hommes au travers de leurs voyages extraordinaires réciproques purent confronter leurs idées et expériences, mais sait-on seulement qu’ils avaient en commun au dessus de tout, la passion du plus lourd que l’air et c’est en hommage à ces deux hommes que lors de la création de la première compagnie française de transport aérien la crevette, une sorte d’hippocampe fut adoptée comme blason de la compagnie … Nous aurons l’occasion de développer plus en avant ce sujet dans le troisième volume de notre Opus.
Lorenzo Ghiberti, de son véritable nom Lorenzo di Cione, (né en 1378 à Florence – mort en 1455 dans la même ville) est un sculpteur italien du Quattrocento, dont l’œuvre s’inscrit dans le vaste mouvement de renouvellement de l’art occidental qui donnera naissance à la Renaissance.
Présentation de la coupe d’or
Cette enquête s’achève sur les rives de l’Atlantique avec ce fameux AA I AA qui fit couler tant d’encre, celle là même dans laquelle nos scribouilleurs de l’AGLA trempèrent leur plume vitriolique !
Est-il besoin de rappeler que la Tradition ésotérique occidentale plonge ses plus lointaines racines dans la nuit des temps, au cœur des premières tribus sédentaires et agricoles (fin du paléolithique) début du néolithique, vers -9 000 ans) du septentrion qui furent à l’origine des peuples celtes, nordiques, slaves et indo-européens ?
On pourra d’ailleurs se reporter au livre de Mircea Eliade « Forgerons et Alchimistes », pour s’en convaincre.
C’est en effet sur leurs expériences formelles et savoirs primitifs, cognitifs, émotionnels et spirituels ou mythiques (la mythologie cosmogonique et eschatologique restituée des dieux Vane et Ases, apparue probablement vers le 4ème millénaire avant J.C., rend compte cependant de l’extraordinaire perception des arcanes de la Nature et de l’intuition juste des usages sacramentels, dévotionnels et sacrificiels » qui furent jadis les leurs et avec lesquelles forgèrent-ils, millénaire après millénaire, cette Connaissance hermétique du monde ou notre Tradition secrète, essentiellement orale), que tous les peuples qui s’établirent à partir du 3e millénaire, depuis l’Arctique en passant par l’Europe jusqu’aux confins de la chaîne de l’Oural (et quelque peu par-delà : on trouve trace à travers le véhicule des langues indo-européennes, ainsi qu’il en est, par exemple, du sanscrit et qui en atteste la réelle portée), trouvèrent leurs fondations, purent s’édifier au cours du temps, s’équilibrer et se stabiliser en ces diverses nations, sœurs à la nôtre d’origine gauloise, autonomes et parfaitement distinctes entre elles : irlandaise, écossaise, britannique, italienne, portugaise, espagnole, allemande, polonaise, islandaise, danoise, suédoise, ukrainienne, etc…
Toutes ces origines attenantes à notre Continent européen, sont donc pleinement redevables d’un seul et même archétype civilisateur, hyperboréen à l’origine ou venu du froid (guerrier par nature et migrateur des la fonte des glaces, au début de l’holocène). Il fut le précurseur de ladite mentalité occidentale. Laquelle ceci dit, demeure toujours l’orchestratrice des registres physiques, mentaux, émotionnels, psychiques, spirituels, religieux, mystiques et ésotériques qui sont fondamentalement les siens. Ces registres dévoilent bien entendu le caractère désormais forgé et la souveraineté affirmée et inaliénable de chacune d’elles tout en montrant et désignant indubitablement une source ou origine commune, à savoir la Civilisation nordique ou hyperboréenne.
de l’Oratoire au laboratoire et vice-versa, Saint Vincent Depaul devant son four avec les chaines brisées (rare photo, archives). Nous comprenons que ce que nous avions pris au tout début pour un fond de nuage sur lequel se détachait le prêtre n’est autre que l’ample et lourde fumée qui s’échappe par le haut du fourneau. Pourquoi donc représenter, contre toute habitude, ce Saint devant un four puissant ? Il convient donc d’en revenir à son témoignage » Mon occupation était de tenir le feu à dix ou douze fourneaux ….. »
Fulcanelli, l’Adepte des temps modernes consacre à cet épisode de la vie de Saint Vincent Depaul plusieurs pages de son livre : « les demeures philosophales » expliquant que l’opération dont fut témoin le prêtre n’était pas alchimique mais « archimique », son but étant d’augmenter par addition d’une autre substance le volume d’or initiale.
L’Eglise Saint Sulpice avec sa fameuse fontaine des « Quatre points cardinaux » , un rébus digne de la société angélique puisque ces 4 non cardinaux forment la constellation du Cygne (Signe)
Qui est Saint Vincent de Paul (Depaul) que nous retrouvons à chaque détour des chapitres de l’oeuvre de l’Adepte Fulcanelli et pourquoi s’y réfère t-il aussi souvent ? Pour comprendre un peu mieux ce puzzle nous avons dressé un petit diagramme qui vous aidera à y voir un peu plus clair.
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