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L’étrange aumônier général M. St Vincent de Paul

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Saint Vincent de Paul jeune, loin de l’imagerie populaire il faut imaginer le futur St Vincent Depaul dans toute sa force. Il dirigera la France aux côtés de Mazarin et siègera avec la Reine France. Mazarin le craignait comme la peste. Une autre face du Saint homme.

Du grand Œuvre dire peu, faire beaucoup et toujours se taire. Faire beaucoup, dans la philosophie des disciples d’Hermès, est une référence à l’utilisation des richesses transmutatoires à des fins bienfaisantes. Bien des alchimistes eurent souci d’aider les pauvres et les déshérités grâce à leur art. Saint-Vincent de Paul en est l’exemple le plus connu.
Revenons un peu sur cet homme, véritablement inspiré par l’amour du prochain. Vincent Depaul naît à Pouy dans les Landes, en 1581. En 1597, il étudie la théologie et est ordonné prêtre en 1600. Il est alors beaucoup plus occupé à penser à sa situation matérielle qu’à la sainteté. Il va à Rome, revient à Toulouse et devient précepteur, obtient d’une riche veuve quelques biens. Il vole ensuite un cheval, le revend, et s’embarque à Marseille pour rejoindre Narbonne par la mer. Il disparaît alors pendant deux ans.
Quand il revient en France, il explique que lors de ce périple maritime, le navire fut capture par les barbaresques. Il est emmené en captivité à Tunis. Dans cette ville, il fut vendu à un vieillard qui lui apprit I’archimie et l’alchimie. Après maintes péripéties, il revint en France en 1607. Retour à Paris, il continue une vie misérable de clerc désargenté. C’est en 1610 qu’il est nommé aumônier de Marguerite de Valois. Là commence son apostolat véritable au service des pauvres.
Il est inutile de détailler l’immense Œuvre de Vincent Depaul au service des déshérités. Quelques exemples et quelques chiffres suffisent: soins aux malades, aides aux mendiants, secours aux victimes des guerres et des famines, construction de treize maisons pour recevoir les enfants trouvés, organisation de collectes, etc. A Paris, chaque semaine, 6000 livres de viande, 3000 œufs, des monceaux d’ustensiles, de vêtements sont collectés chaque semaine. En 1652, les seules filles de la charité pour la paroisse St-Paul nourrissent 5000 pauvres par semaine !
S’il est sûr que les finances de l’état furent largement ouvertes au futur saint, l’histoire officielle ne parle évidemment pas de ses ressources alchimiques. Quelques historiens énoncent même comme hypothèse fort probable que la captivité en Tunisie est une invention du prélat pour masquer une période trouble de sa vie en France, vie picaresque et fort peu édifiante.
Pourtant, deux courriers écrits par Vincent de Paul, l’un du 24 juin 1607 et l’autre en janvier 1608, attestent des connaissances transmutatoires du prélat. Il est vrai qu’il ne faisait pas bon de parler du grand Œuvre et de sa réussite. Cet adepte célèbre et inconnu a appliqué cette maxime à la lettre, faire beaucoup, taire toujours. Toujours taire fut une nécessité des alchimistes.

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Le cardinal Mazarin, la régente Anne d’Autriche et St-Vincent Depaul au conseil de conscience.

Tout en confirmant le cardinal Mazarin dans son rôle de « principal ministre », elle décide de conserver pour les affaires ecclésiastiques une instance créée par Richelieu, qui fut appelée « le Conseil de conscience ». Elle s’en était réservé la présidence et y avait nommé comme membres : Mazarin, le chancelier Séguier, les évêques Potier et Cospéan, le grand pénitencier de Paris, Jacques Charton, et Monsieur Vincent qui joua un rôle déterminant dans la conduite des affaires du Royaume, on est bien loin de l’image d’Epinal !…

Folleville (Somme) - Eglise Saint-Jacques-le-Majeur-et-Saint-Jean-Baptiste - Saint Vincent de Paul prêchant aux galériens Copie du XIXe siècle du tableau (disparu) de Jean Restout (1732), d'après l'estampe de Bonnart et Antoine Hérisset (1737). Elle proviendrait elle aussi du collège lazariste de Montdidier. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Jacques-le-Majeur-et-Saint-Jean-Baptiste_de_Folleville
Eglise Saint-Jacques-le-Majeur-et-Saint-Jean-Baptiste –
Saint Vincent de Paul prêchant aux galériens
Copie du XIXe siècle du tableau (disparu) de Jean Restout (1732), d’après l’estampe de Bonnart et Antoine Hérisset (1737).

Le troisième ouvrage est livré avec deux illustrations tirées à part de la dernière demeure philosophale dont le Maitre avait tu l’existence, celle où séjourna précisément Saint Vincent Depaul. En haut de cet article un aperçu de cette demeure égale en beauté au tombeau de Nantes.

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Une demeure philosophale restée secrète et révélée pour la première fois: à suivre dans le de Finis Gloriae Mundi

 

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Fulcanelli et le berger d’Hendaye

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Lors des séances sous la coupole de l’Institut dont il était un éminent membre, l’Adepte avait tout loisir de contempler le somptueux cénotaphe du cardinal Mazarin (comprenant une réplique du tombeau de Nantes !) et son évident symbolisme avec ce pied posé sur le globe prêt à rouler à tout moment !

Ici tout s’éclaire et prend forme. Ce n’est qu’à la fin de sa vie qu’il finira par consigner en un traité séparé ces considérations muries au cours de ses expériences en laboratoire (celui du grand monde et non celui du « laboratoire légendaire » comme il s’en moquera dans l’un des ses écrits avec beaucoup d’humour), le titre en était « Finis Gloriae Mundi » et nous en donnons pour la première fois la véritable explication jusque là restée occultée. JK

Fruit d’une enquête de près de 20 ans, ce cahier livre la dernière pièce d’un gigantesque puzzle qui prend forme sous vos yeux … E

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au sommaire :

  1. Ce que le disciple Canseliet  ne savait pas et ne pouvait savoir
  2. Les avancées scientifiques du Maitre et sa théorie
  3. L’instructeur et conseiller
  4. Hendaye : pourquoi et comment
  5. Le secret de Saint Vincent de Paul et le rôle du Finis Gloriae Mundi
  6. Les chapitres perdus : hypothèses plausibles
  7. Eschatologie alchimique de Jean Laplace et autres considérations

 

 

antoinecoysevox_miroirCénotaphe du cardinal de Mazarin (Institut de France, Académie française)

 

Fulcanelli , à propos du miroir :

 » …Cette noble figure est pour nous une… personnification de la Nature, simple, féconde, multiple et variée sous les dehors harmonieux….. Son miroir, qui est celui de la Vérité, fut toujours considéré par les auteurs classiques comme l’hiéroglyphe de la matière universelle, … pour le signe de la substance propre du Grand Œuvre. Sujet des sages, Miroir de l’Art sont des synonymes hermétiques qui dérobent au vulgaire le nom véritable du minéral secret. C’est dans ce miroir, disent les maîtres, que l’homme voit la nature à découvert. C’est grâce à lui qu’il peut connaître l’antique vérité en son réalisme traditionnel. Car la nature ne se montre jamais d’elle-même au chercheur, mais seulement par l’intermédiaire de ce miroir qui en garde l’image réfléchie. Et pour montrer expressément que c’est bien là notre microcosme et le petit monde de sapience, le sculpteur a façonné le miroir en lentille plan convexe, laquelle possède la propriété de réduire les formes en conservant les proportions respectives… »
« … La vérité, moins abstraite, semble liée davantage au positivisme alchimique des attributs de notre Vertu cardinale. Il est généralement recommandé d’unir  » un vieillard sain et vigoureux avec une jeune et belle vierge « . Dans ces noces chimiques, un enfant métallique doit naître et recevoir l’épithète d’androgyne, parce qu’il tient à la fois de la nature du soufre, son père, et celle du mercure, sa mère. »

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Finis Gloriae Mundi : les pièces du dossier

 

couv-maitreetalonPour compléter le travail des cahiers, il convenait de mettre à la disposition du lecteur attentif les différentes pièces qui ont agité pendant longtemps l’opinion sous le nom de « Finis Gloriae Mundi. » Avant notre propos il convient de signaler qu’en 1913 un certain Oscar Venceslas de Lubicz-Milosz  avait produit une pièce de théâtre qui fit connaitre le célèbre tableau espagnol, la pièce de théâtre ou le drame s’intitulait en effet :  Miguel Manara, Mystère en six tableaux, et faisait la une de l’actualité artistique parisienne. Dans notre supplément nous aurons l’occasion de nous expliquer sur ces liens éventuels avec l’Adepte.

Introduction à un mystère annoncé :

Lors de sa  seconde préface aux Demeures Philosophales, Eugène Canseliet créa quelques remous dans le microcosme ésotérique. Elle débutait par une révélation: « Les Demeures Philosophales, que nous avons l’honneur de préfacer à nouveau, ne devaient pas être le dernier livre de Fulcanelli. Sous le titre de Finis Gloriae Mundi (La Fin de la Gloire du Monde), une troisième partie existait, que son auteur reprit et qui eût élevé l’oeuvre didactique à la trilogie alchimique la plus extraordinaire. A cette époque, il y avait déjà six années que notre vieux Maître avait réussi l’élaboration de la Pierre Philosophale dont on ignore ordinairement qu’elle se divise en Médecine Universelle et en Poudre transmutatoire; l’une et l’autre assurant à l’Adepte le triple apanage,-Connaissance, Santé, Richesse,- lequel exalte le séjour terrestre dans l’absolue félicité du Paradis de la Genèse. Suivant le sens du vocable adeptus, l’alchimiste, dès lors, a reçu le Don de Dieu, mieux encore le Présent, dans le jeu cabalistique de la double acception soulignant qu’il jouit désormais de l’infinie durée de l’Actuel… »

Ces lignes datent de 1958. Elles donnent à entendre, sans équivoque, que Fulcanelli a achevé le Grand Oeuvre et qu’il est devenu un Adepte; toutefois Eugène Canseliet se garde de livrer des précisions quant à ce qu’implique cet état. Au décès de son père en 1923, le manuscrit de Finis Gloriae Mundi fut repris par son fils (Gabriel Violle) entre 1923 et 1925, ce qui situerait son succès entre 1917 et 1919.

La salamandreCette même préface contient d’autres confidences intéressantes et troublantes : « Le lecteur devra remarquer que Les Demeures Philosophales s’ouvrent avec la Salamandre en frontispice et qu’elles se ferment sur le Sundial d’Edimbourg en manière d’épilogue. Ces deux emblèmes expriment la même substance dont l’étude approfondie, dispersée dans tout le volume, est l’expression méticuleuse de la peine énorme qu’elle infligea à notre Maître pour son invention, des efforts inouïs qu’elle exigea de lui pour sa parfaite préparation

Cette  préface sus-mentionnée est très importante, à différents niveaux. Outre les éléments ayant trait à Fulcanelli, elle contient des précisions hermétiques qui parlent à ceux qui savent lire. Il faut en effet reconnaitre qu’Eugène Canseliet, à la suite de Fulcanelli se montra relativement charitable en attirant l’attention sur la différence qu’il convient d’établir entre première matière et matière première. Concernant cette dernière, il s’agit du mercure des philosophes de nature et de qualité double, en partie fixe et matériel, en partie volatil et spirituel, lequel suffit pour commencer, achever et multiplier l’ouvrage. Cette unique matière, les Adeptes, souhaitant entretenir la confusion, l’ont nommée nitre ou salpêtre. C’est le vitriol vert de certains. Comme tous les bons auteurs s’évertuent nous expliquer  que le mercure est un sel , il est évident qu’il s’agit, également, de l’esprit ou du feu , le feu secret.

Ce feu, dans la pratique, est informé et corporifié en sel, c’est le soufre caché, symbolisé par Jésus, le nouveau soleil, apportant la lumière du monde. Ce feu est également désigné par l’expression lumière métallique.  Si le lecteur se souvient de ce que Fulcanelli écrivait à propos de l’épisémon, du mouvement, du dynamisme ou vibration (c’est l’ancien professeur et auteur d’un mémorable cours de physique qui  parle entre les lignes), il comprendra à quel niveau d’entendement doivent se lire ces quelques lignes. Cette explication est d’ailleurs conforme à la définition que Fulcanelli donnait de l’Alchimie, définition que se gardent bien de citer les auteurs modernes : « l’Alchimie, c’est la permutation des formes par la lumière. »

à suivre …

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Les vacances charentaises de Jules Violle alias Fulcanelli

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Ici en grand père heureux avec ses petits enfants dont Lucie

C’est en Charente maritime que le savant aimait venir se reposer avec ses enfants et petits enfants. Sur la carte ci dessous nous avons reporté en bleu les lieux professionnels, puis en rouge les sites décrits dans les »Demeures philosophales » à l’exception de deux cercles jaune : Hendaye et Dammartin sur tigeaux. La carte en haute résolution sera présentée dans l’ouvrage en préparation pour Mai 2014. La voiture étant rare on peut imaginer que c’est en train que ce petit monde se déplaçait, une carriole ou guimbarde venait ensuite les chercher à la gare avec les malles. Une simple statistique (incontestable) montre un épicentre en provenance de Dijon englobant Langres et ses alentours, puis Paris. Entre Paris et Dijon il existe une myriade de petits points à reporter dans un triangle Sens, Auxerre et Chaumont (notes et références) et c’est un peu normal puisque ce triangle est équidistant de Paris et du domicile natal. En général le lieu de villégiature se situait sur la côte atlantique et c’est ainsi que le Maître pu vérifier  ou nouer des contacts avec les propriétaires ou autres conservateurs : Dampierre sur Boutonne, Nantes, Saintonge, Terre neuve, Saint Hilaire de Melle etc … Nous aurons l’occasion d’y revenir. Les indications données par le disciple auto-proclamé Canseliet sont à mettre en rapport avec Julien Champagne mais ne concerne en rien l’Adepte qui ne se rendit à Marseille qu’une seule fois pour embarquer. Il s’agit de son expédition africaine relaté dans le cahier no 3.

ps : cette carte n’est pas complète car il nous restait à signaler le chevalier ornant le porche de l’église Saint Hilaire de Melle située à Poitiers et situé exactement sur le parcours Dijon La Rochelle.

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Cliquer sur la carte pour agrandir

Note : nous apprenons qu’il reste encore des charognards pour oeuvrer  en toute impunité et piétiner la mémoire du Maître : je pense à ce misérable ramassis de stupidités produit par un certain Loevenbruck ! c’est aussi en partie à cause de ces plumitifs sans vergogne que nous avons décidé de faire la lumière sur la biographie de l’Adepte. JK

jules_violle3Souscription ici en suivant ce lien

La croix cyclique d’Hendaye

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Hendaye_Croix_cycliqueEn cette inscription, seize lettres se répartissent en deux groupes égaux, de quatre consonnes et autant de voyelles, situés de chaque côté de l’S serpentueuse symbolisant la course du soleil et son retournement, phénomène que nous avons étudié tout au long de ce livre.

En conservant la place qu’elles occupent, ces lettres ont toutes, sauf deux, une analogie cabalistique en rapport direct avec leur situation respective de part et d’autre de l’S. Ce sont en premier toutes les voyelles que nous délaisserons pour ne nous occuper que du « squelette » des mots, généralement seul considéré en cabale de lettre.

Parmi les consonnes nous aurons donc les deux C, le X et le deuxième S, le V et le P, enfin le N et le R. Nous retrouvons là les âges de la Tradition, exprimés en un double cycle de quarante-huit siècles nécessaires à ce que les deux éléments atteignent le même hémisphère. Les deux C sont parfaitement homonymes, ce sont les deux âges d’or où la concorde, la concordance, est parfaite. Le X et le S sont des synonymes cabalistiques, ils sont d’un accord encore harmonieux et l’un diffère peu de l’autre si ce n’est en fixité ; ce sont les deux âges d’argent. Le V et le P sont de lointains parents qui ont en commun le phi des Grecs, grâce à ce scel ils sont encore d’un bel accord, quoique imparfaitement et tributaires du phi ; ce sont les âges de bronze. Quant au N et au R, ceux-ci sont en complète disharmonie en étant parfaitement étrangers l’un à l’autre. Leur particularité frappe, et nous y reviendrons ; c’est l’âge de fer où règne la discorde.

Ces deux fois quatre âges sont séparés par le retournement hélicoidal du soleil que symbolise l’S, image de l’astre parvenu au zénith de sa course. Par ailleurs les deux C, l’X et le S sont de la même famille cabalistique et représentent l’ensemble des âges du règne de Dieu, les autres lettres forment le règne de l’Homme ou du Fils de l’homme, le huit hélicoïdal de l’ensemble (8) étant celui de l’infini…

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Fulcanelli : L’obélisque de Dammartin sur Tigeaux et le basculement des pôles (2)

bartolome_murillo_ange_soutenant_monde_avant_basculeDans la situation de la catastrophe, les choses sont différentes. Probablement par une inclinaison du soleil central de la terre et une action magnétique, la terre bascule soudainement sur son axe d’un quart de tour. Le bouleversement, c’est-à-dire le versement de la boule est entré dans sa première phase. Le mouvement de la terre autour du soleil est toujours de 365 jours sur une course elliptique invariable. Son mouvement sur elle-même est toujours d’Ouest en Est, seulement parce que le soleil se trouve au zénith du pôle, le jour dure vingt-quatre heures sur vingt-quatre. En effet, la terre tourne toujours sur son axe nord-sud et on sait communément que le centre du moyeu est comme fixe. Ainsi, le soleil apparaît-il fixé, il n’a plus de lever, plus de coucher.

Par son mouvement elliptique que la terre a toujours autour du soleil, la distance de l’un à l’autre varie selon l’emplacement de la terre sur – sa course. Ainsi, en « été » et en « hiver », le « soleil est proche ; pour les deux autres périodes, il est loin. Conséquemment, un observateur placé sur la terre en un endroit autre que le centre exact de son axe, aura l’impression que le soleil a une course hélicoïdale d’ascension et de de recession – chaque « aller-retour » étant de 182 jours et cela pendant deux siècles. Ce que nous montre l’obélisque de la forêt de Crécy.

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Fulcanelli : L’obélisque de Dammartin sur Tigeaux et le basculement des pôles (1)

Pyramide de Dammartin sur Tigeaux

Introduction :

« Porteur ou non d’épigraphe, il suffit de trouver le phylactère sur n’importe quel sujet pour être assuré que l’image contient un sens caché. » Fulcanelli, Demeures Philosophales 11-21.

Là théorie est simple qui divise par la croix le cercle de l’évolution du monde en quatre âges de chacun 600 années et deux grands âges de 1200 années ; et, nous dit Fulcanelli :

« Chaque période de douze cents années commence et finit par une catastrophe. »

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