Archives du mot-clé Dammartin sur Tigeaux

de la Croix cyclique d’Hendaye au four alchimique de Winterthur

Il y eut un âge d’or .. et puis en un jour et une nuit tout bascula, la mémoire hyperboréenne en garda le souvenir et ce fut le début de la tradition secrète.

L’Age d’Or

D’après Hésiode, «Pendant l’Age d’Or, la terre, sans être déchirée par la char­rue, produisait tout en abondance. Le Printemps régnait pendant toute l’année ; on voyait de toutes parts des ruisseaux de lait et le miel coulait du tronc des arbres. Les maladies et la triste vieillesse étaient inconnues aux hommes qui mouraient comme on s’endort. Dans l’Age d’Argent, qui vint ensuite, l’année, au lieu d’être un Printemps perpétuel, fut divisée en 4 saisons, et la terre pour produire eut besoin d’être cultivée».

De ce passage on peut déduire que :

pendant l’Age d’Or, perpétuel Printemps, l’axe de la Terre était «perpendicu­laire» à l’écliptique ; à partir de l’Age d’Argent, l’année, divisée en 4 saisons, correspond à un axe terrestre «incliné» sur l’écliptique. (la suite dans le livre)

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Théorie alchimique de la fin du monde

Du message de la Croix d’Hendaye à celui de l’athanor de Winterhur

L’Adepte avait prévu de clore ses commentaires sur les opérations alchimiques  par un traité de géophysique issu directement de ses considérations de physicien (et d’électricien) en rapport avec  la genèse du Grand Œuvre. Au soir de sa vie ses préoccupations portaient sur le paléomagnétisme (qu’il cite dans les Demeures), au magnétisme terrestre ainsi qu’à la Vulcanologie suite à son voyage aux USA (parc de Yellowstone). Ce faisant, il ignorait que cette œuvre qui ne fut publiée que partiellement allait faire l’objet d’un travail bien plus considérable 50 ans après sous la plume de Immanuel Velikovsky, auteur de nombreux ouvrages dont Grands Bouleversements terrestres.

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Les vacances charentaises de Jules Violle alias Fulcanelli

charente

Ici en grand père heureux avec ses petits enfants dont Lucie

C’est en Charente maritime que le savant aimait venir se reposer avec ses enfants et petits enfants. Sur la carte ci dessous nous avons reporté en bleu les lieux professionnels, puis en rouge les sites décrits dans les »Demeures philosophales » à l’exception de deux cercles jaune : Hendaye et Dammartin sur tigeaux. La carte en haute résolution sera présentée dans l’ouvrage en préparation pour Mai 2014. La voiture étant rare on peut imaginer que c’est en train que ce petit monde se déplaçait, une carriole ou guimbarde venait ensuite les chercher à la gare avec les malles. Une simple statistique (incontestable) montre un épicentre en provenance de Dijon englobant Langres et ses alentours, puis Paris. Entre Paris et Dijon il existe une myriade de petits points à reporter dans un triangle Sens, Auxerre et Chaumont (notes et références) et c’est un peu normal puisque ce triangle est équidistant de Paris et du domicile natal. En général le lieu de villégiature se situait sur la côte atlantique et c’est ainsi que le Maître pu vérifier  ou nouer des contacts avec les propriétaires ou autres conservateurs : Dampierre sur Boutonne, Nantes, Saintonge, Terre neuve, Saint Hilaire de Melle etc … Nous aurons l’occasion d’y revenir. Les indications données par le disciple auto-proclamé Canseliet sont à mettre en rapport avec Julien Champagne mais ne concerne en rien l’Adepte qui ne se rendit à Marseille qu’une seule fois pour embarquer. Il s’agit de son expédition africaine relaté dans le cahier no 3.

ps : cette carte n’est pas complète car il nous restait à signaler le chevalier ornant le porche de l’église Saint Hilaire de Melle située à Poitiers et situé exactement sur le parcours Dijon La Rochelle.

topographie_fulcanelli

Cliquer sur la carte pour agrandir

Note : nous apprenons qu’il reste encore des charognards pour oeuvrer  en toute impunité et piétiner la mémoire du Maître : je pense à ce misérable ramassis de stupidités produit par un certain Loevenbruck ! c’est aussi en partie à cause de ces plumitifs sans vergogne que nous avons décidé de faire la lumière sur la biographie de l’Adepte. JK

jules_violle3Souscription ici en suivant ce lien

La croix cyclique d’Hendaye

OCRVXAVE S APESVNICA

Hendaye_Croix_cycliqueEn cette inscription, seize lettres se répartissent en deux groupes égaux, de quatre consonnes et autant de voyelles, situés de chaque côté de l’S serpentueuse symbolisant la course du soleil et son retournement, phénomène que nous avons étudié tout au long de ce livre.

En conservant la place qu’elles occupent, ces lettres ont toutes, sauf deux, une analogie cabalistique en rapport direct avec leur situation respective de part et d’autre de l’S. Ce sont en premier toutes les voyelles que nous délaisserons pour ne nous occuper que du « squelette » des mots, généralement seul considéré en cabale de lettre.

Parmi les consonnes nous aurons donc les deux C, le X et le deuxième S, le V et le P, enfin le N et le R. Nous retrouvons là les âges de la Tradition, exprimés en un double cycle de quarante-huit siècles nécessaires à ce que les deux éléments atteignent le même hémisphère. Les deux C sont parfaitement homonymes, ce sont les deux âges d’or où la concorde, la concordance, est parfaite. Le X et le S sont des synonymes cabalistiques, ils sont d’un accord encore harmonieux et l’un diffère peu de l’autre si ce n’est en fixité ; ce sont les deux âges d’argent. Le V et le P sont de lointains parents qui ont en commun le phi des Grecs, grâce à ce scel ils sont encore d’un bel accord, quoique imparfaitement et tributaires du phi ; ce sont les âges de bronze. Quant au N et au R, ceux-ci sont en complète disharmonie en étant parfaitement étrangers l’un à l’autre. Leur particularité frappe, et nous y reviendrons ; c’est l’âge de fer où règne la discorde.

Ces deux fois quatre âges sont séparés par le retournement hélicoidal du soleil que symbolise l’S, image de l’astre parvenu au zénith de sa course. Par ailleurs les deux C, l’X et le S sont de la même famille cabalistique et représentent l’ensemble des âges du règne de Dieu, les autres lettres forment le règne de l’Homme ou du Fils de l’homme, le huit hélicoïdal de l’ensemble (8) étant celui de l’infini…

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Fulcanelli : L’obélisque de Dammartin sur Tigeaux et le basculement des pôles (2)

bartolome_murillo_ange_soutenant_monde_avant_basculeDans la situation de la catastrophe, les choses sont différentes. Probablement par une inclinaison du soleil central de la terre et une action magnétique, la terre bascule soudainement sur son axe d’un quart de tour. Le bouleversement, c’est-à-dire le versement de la boule est entré dans sa première phase. Le mouvement de la terre autour du soleil est toujours de 365 jours sur une course elliptique invariable. Son mouvement sur elle-même est toujours d’Ouest en Est, seulement parce que le soleil se trouve au zénith du pôle, le jour dure vingt-quatre heures sur vingt-quatre. En effet, la terre tourne toujours sur son axe nord-sud et on sait communément que le centre du moyeu est comme fixe. Ainsi, le soleil apparaît-il fixé, il n’a plus de lever, plus de coucher.

Par son mouvement elliptique que la terre a toujours autour du soleil, la distance de l’un à l’autre varie selon l’emplacement de la terre sur – sa course. Ainsi, en « été » et en « hiver », le « soleil est proche ; pour les deux autres périodes, il est loin. Conséquemment, un observateur placé sur la terre en un endroit autre que le centre exact de son axe, aura l’impression que le soleil a une course hélicoïdale d’ascension et de de recession – chaque « aller-retour » étant de 182 jours et cela pendant deux siècles. Ce que nous montre l’obélisque de la forêt de Crécy.

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