Archives du mot-clé Croix Rouge

Les enfants de Noé et l’Apocalypse selon Dunant

Henry Dunant nous a laissé son catéchisme au travers de l’Esquisse Hermétique du Tout Universel que nous publions avec une importante introduction avant de le placer dans son réel contexte. Dans le second volume nous abordons l’autre partie, à savoir les planches prophétiques qu’il a laissé et qui ont longtemps embarrassé les services officiels de la Croix Rouge lors de leur découverte. Pourtant l’un ne va pas sans l’autre, c’est ce que nous expliquons dans notre travail en deux volumes. Les planches commencent par le récit de Noé si ce n’est par Rama ou Krishna. Noé est le Patriarche par excellence qui sauva l’humanité , il incarne à cet égard un thème qui prévaut chez notre philanthrope : l’alliance renouvelée avec Dieu. Cabalistiquement Noé est identifié à Jérusalem et à Sion, son sens profond et son étymologie équivaut  à « Fondement » « Trône » ou encore « Centre du Monde » et c’est bien de Noé que part le grand fleuve de l’Humanité. Guématriquement le nom de Noé a pour valeur 108 (50 + 58)

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L’évangile d’Henry Dunant

Le fondateur et concepteur de la Croix Rouge a plus d’un visage que nous avons tenté de reconstituer. Mais « Qui » est Henry Dunant ? C’est à quoi nous nous efforçons de répondre avec de nouveaux éclairages sur sa personnalité hors norme.

« Henry Dunant ne se considérait pas seulement comme philanthro­pe, pas seulement comme fondateur de la Croix-Rouge et d’autres œuvres de dimension humanitaires, mais comme un théologien, homme de Dieu et prophète. La religion est le cadre, le Tout ; elle n’est pas un aspect de la personnalité du fondateur de la Croix-Rouge. Au contraire, la Croix-Rouge est une conséquence de sa grande vision religieuse du monde. Dunant a cependant toujours insisté sur la stricte neutralité religieuse de la Croix-Rouge. L’œuvre provient de la foi, mais n’est pas à confondre avec elle. La religion renvoie l’éthique dans le domaine de l’humain. » Johan Dreue

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Millenium

Le cinquième empire annoncé par Henry Dunant, apôtre de la paix et  prophète du Millénium, prédictions jusqu’en 2900

« Il enverra ses anges avec la trompette retentissante, et ils rassembleront ses élus des quatre vents, d’une extrémité des cieux à l’autre. Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous savez que l’été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte.« 
Matthieu, 24/3-42)

Environ une cinquantaine d’années après la mort d’Henry Dunant. fondateur de la Croix-Rouge, 3 grands panneaux ont été découverts à la suite d’une vente d’un antiquaire : ils ont été authentifiés et daté et sont  bien dessinés par l’illustre fondateur de la Croix Rouge. Il s’agit d’une chronologie symbolique de l’histoire biblique assortie de certaines perspectives messianiques illustrés par de dessins de sa main. On dénombre ainsi 3 grands parchemins d’environ 1,50 X 0,80 m qui se trouvent à l’Institut Henry Dunant à Genève. Un 4ème panneau se trouvait  à Paris mais a trouvé sa place au musé Henry Dunant de Genève après acquisition.

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de la Croix Rouge à la Croix Verte les prophéties d’Henry Dunant

Henry Dunant ne se considérait pas seulement comme philanthrope, pas seulement comme fondateur de la Croix-Rouge et d’autres œuvres, mais comme théologien, homme de Dieu et prophète. La religion est le cadre, le tout ; elle n’est pas un aspect de la personnalité du fondateur de la Croix-Rouge. Au contraire, la Croix-Rouge est une conséquence de sa grande vision religieuse du monde. Dunant a cependant toujours insisté sur la stricte neutralité religieuse de la Croix-Rouge. L’œuvre provient de la foi, mais n’est pas à confondre avec elle. La religion renvoie l’éthique dans le domaine de l’humain.

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Le combat de Jacob et l’esquisse hermétique du Tout universel

Il y aura eut les petits « touts » et les « Grands Touts » : autant de visions unificatrices  de l’auteur d’un « souvenir de Solférino » à son rêve quasi messianique de l’avènement d’une nouvelle Jérusalem sur Terre. Henry Dunant s’était identifié au prophète Jacob et on en  comprend les raisons : comme lui il eut à combattre toute sa vie contre de nombreux adversaires invisibles, comme lui il connaitra l’exil pendant plus de 30 ans et comme lui il sera à l’origine d’une nouvelle alliance et fédérera les nations, comme lui il rêvera d’une nouvelle société d’Orient ressuscitant Sion. Lire la suite Le combat de Jacob et l’esquisse hermétique du Tout universel

La nouvelle Sion ou l’esquisse du Tout Universel

Une énigme résolue : ainsi que nous l’avons évoqué dans la première partie, non seulement Henry Dunant est « l’inventeur » du Poêle de Winterthur mais aussi l’auteur de ce petit essai que Jean-Jacques Bourcart fit imprimer à ses frais en 1902 avec une préface du Dr. Papus.

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Entre prophétie et alchimie : le poêle de Winterthur

Henry Dunant, l’ermite de Heiden, qui découvrit le poêle de Winterthur rebaptisé « Four de Winterthur » par ses successeurs.

Fulcanelli le cite à deux reprises dans le « Mystère des cathédrales » et affirme dans son commentaire « on voit un pêcheur sortant de l’eau un beau poisson » …

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Rudolf Steiner et l’ésotérisme en Suisse

rudolfsteiner

Né en 1861 dans le village croate de Kraljevec, Rudolf Steiner suivra ses parents autrichiens dans leur pays d’origine, et y effectuera ses études. Après s’être initié à la philosophie, il apportera, à l’âge adulte, ses lettres de noblesse à l’ésotérisme européen. Steiner élabore en effet, à partir des années 1910, un nouveau courant de pensée, l’anthroposophie, disci­pline qui entend étudier les phénomènes spirituels de la même manière que la science analyse le monde physique. On peut repé­rer trois phases dans sa vie, qui chacune livre des traits spécifiques sur la conception du monde qu’il s’est forgée. Au cours de la première, jusqu’en 1900, Steiner s’inscrit dans l’élan culturel allemand, et devient un fin lecteur de Fichte, Schiller et Nietzsche. Mais c’est avec Goethe qu’il prend son envol, participant à l’édition de ses oeuvres scientifiques ; car l’auteur de Faust fut un éminent savant, versé en botanique, optique et géologie. Steiner rédigera de très belles introductions, réunies dans Goethe, le Galilée de la science du vivant.

La deuxième période nous conduit jusqu’en 1909-1912. En quête d’un auditoire à qui il pourrait dire les visions qui l’habitent, il rejoint la Theosophical Society, fondée par la russe Helena Blavatsky à New York en 1875. Syncrétisant le bouddhisme, l’occul­tisme, l’ésotérisme et des éléments emprun­tés à diverses traditions religieuses, la Société théosophique a pour ambition de former une fraternité universelle et de développer les pouvoirs latents de l’homme. Il y adhère en 1902, et deviendra le secrétaire général de la section allemande. Steiner sera en relation constante avec Annie Besant, qui présidait en ce temps-là la Société. C’est également à ce moment qu’il rencontra sa collaboratrice Marie de Sivers, qui devien­dra son épouse en 1914.

couv_eso_suisse2Rudolphe Steiner : un épisode méconnu, la lance de Longinus.

C’est en 1879, que Rudolf Steiner (1861-1925), âgé de dix-huit ans, découvre pour la première fois la Lance de Longinus au Musée de la Hofburg, à Vienne où il étudie les sciences à l’Université. Impressionné par la légende attachée à l’arme mythique, il effectue de nombreuses recherches sur son histoire. Elles anticipent d’une trentaine d’années celles effectuées par le Dr Walter Stein et, parallèlement, par Adolf Hitler. Rudolf Steiner fut le plus grand adversaire du Führer ; c’était même son ennemi numéro un. Comment un philosophe autrichien, peu connu du grand public, pouvait-il inquiéter les leaders nazis au point que les SS et la Gestapo reçurent l’ordre de pourchasser et de persécuter les adeptes de sa doctrine, qui, apparemment, ne présentaient aucun danger politique, ni aucune menace pour le régime ? Dietricht Eckart, l’ « inventeur d’Hitler », avait même émis le désir, avant de mourir, que le Gœtheanum, un centre culturel et spiritualiste édifié par Rudolf Steiner, près de Bâle, soit détruit par le feu et que le Dr Steiner, entouré de ses disciples, périsse dans les flammes. Le soir du Nouvel An suivant, alors que Rudolf Steiner donnait dans ce bâtiment une conférence de presse devant huit cents personnes, un violent incendie d’origine criminelle se déclara. Heureusement, le feu ne se propagea pas immédiatement. Bien que la structure de l’édifice comporte de nombreuses poutrelles et sculptures de bois, le conférencier et ses amis purent échapper à cette fin horrible.    à suivre ici

The supposed Holy Lance