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L’œil pariétal et la glande pinéale : la vision intérieure

Le troisième œil ou œil pinéal ou encore œil pariétal est un organe photosensible situé sur le haut du crâne de certains reptiles et amphibiens. Il existerait de manière vestigiale chez l’homme sous la forme de la glande pinéale.

Pendant longtemps, la glande pinéale, dans laquelle Descartes avait placé le siège de l’âme, était resté énigmatique. Les études d’anatomie comparée et d’embryologie ont démontré que cette glande est le résultat d’une évagination du plafond du thalamencéphale et qu’elle est un œil avorté, le troisième œil des vertébrés. En effet, on retrouve cet œil médian chez les larves d’Ascidies et chez les Pyrosomes adultes. Chez plusieurs Lézards (Hatteria, Anguis fragilis, Lacerta vivipara, etc.), cet œil pariétal comprend une cornée, un cristallin, une rétine. Véritable œil, il est relié au cerveau par un pédicule comparable au nerf optique et vient se loger sous la peau du crâne en passant à travers le trou pariétal qui existe dans le crâne de ces espèces et qui est beaucoup plus développé encore chez les grands Sauriens (Ichthyosaures, Plésiosaures, etc.). Chez les Amphibiens cette communication se trouve déjà interrompue pendant la période embryonnaire, par suite de l’oblitération du trou pariétal, et, chez les Oiseaux et les Mammifères, la glande pinéale demeure dans le crâne. Chez l’homme on peut comparer la glande pinéale au compteur ordinal du microprocesseur celui qui donne le rythme et fait avancer le programme selon sa fréquence (impulsion du à la vibration du cristal).

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Cycle solaire de la Femme

Les cultes anciens rendaient hommage au soleil en tant que facteur de fertilité. Dans notre travail qui va à rebours du sens commun, la femme n’est pas lunaire mais solaire. Cette approche apporte un élément d plus à notre analyse.

Le cycle menstruel de la femme basé sur 28 jours est l’équivalent du Grand Œuvre Alchimique : reste à le montrer.

Lotus de Païni, anthropologue et anthroposophe dont nous avons introduit l’œuvre avec le premier volume de la série « L’Odyssée de la Femme solaire » expliquait :

«  la femme est lunaire, dit-on, la lune est femme ; on l’a toujours considérée ainsi. C’est la plus parfaite des erreurs. Dans tous les plus ancien folklores qui nous sont parvenus, la lune est masculine, le soleil féminin. Je citerai de nou­veau le dicton mahori : « La femme ne naquit pas, elle fut formée du soleil et de l’écho. »  En Australie, le soleil est féminin, il s’appelle « Linga », nous dit Strehlow, nom fé­minin . Chez les Garakau, la lune est mâle, Ikare le soleil est féminin. Les Algonquins et les Iroquois disent que le soleil est femme . Les vierges du soleil tissent des substances ma­gnifiques.

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