Tout avait commencé avec Charles Howard Hinton, sans doute l’un des plus grands génie du XIX et XXème siècle par ses idées novatrices : on lui doit également la théorie des cordes. L’univers est une harpe vibrante.
Le Tétragramme Yhwh, est le Nom divin gouvernant tous les Noms, les 72 Noms lui sont intimement attachés. Il est d’ailleurs assez facile de retrouver la valeur 72 dans le Tétragramme, par une simple triangulation. Pour cela, il suffit d’écrire le nom comme Pythagore le faisait pour la Tétrakys, afin de montrer que le 10 sort du 4 (1+2+3+4 = 10).Lire la suite Shem hamphorash ou les 72 noms de Dieu→
A son corps défendant René Guénon fut à l’origine d’une école que l’on qualifié de « pérennialiste ». Rejetant l’idée de progrès et le paradigme des Lumières, les auteurs pérennialistes décrivent le monde moderne comme une pseudo-civilisation décadente, dans laquelle se manifestent les pires aspects du Kali Yuga (l’âge sombre de la cosmologie hindou). À «l’erreur moderne», les pérennialistes opposent une sagesse immuable d’origine divine, une «Tradition Essentielle», transmise depuis l’origine de l’humanité et restaurée en partie par chaque fondateur d’une nouvelle religion. Les pérennialistes ont une définition toute spécifique de la «Tradition». Elle implique l’idée d’une transmission (tradere), mais pour Guénon et ses continuateurs, la tradition n’a pas une origine humaine et peut être reconnue comme un ensemble de principes révélés et reliant l’homme à son origine divine.
Le troisième œil ou œil pinéal ou encore œil pariétal est un organe photosensible situé sur le haut du crâne de certains reptiles et amphibiens. Il existerait de manière vestigiale chez l’homme sous la forme de la glande pinéale.
Pendant longtemps, la glande pinéale, dans laquelle Descartes avait placé le siège de l’âme, était resté énigmatique. Les études d’anatomie comparée et d’embryologie ont démontré que cette glande est le résultat d’une évagination du plafond du thalamencéphale et qu’elle est un œil avorté, le troisième œil des vertébrés. En effet, on retrouve cet œil médian chez les larves d’Ascidies et chez les Pyrosomes adultes. Chez plusieurs Lézards (Hatteria, Anguis fragilis, Lacerta vivipara, etc.), cet œil pariétal comprend une cornée, un cristallin, une rétine. Véritable œil, il est relié au cerveau par un pédicule comparable au nerf optique et vient se loger sous la peau du crâne en passant à travers le trou pariétal qui existe dans le crâne de ces espèces et qui est beaucoup plus développé encore chez les grands Sauriens (Ichthyosaures, Plésiosaures, etc.). Chez les Amphibiens cette communication se trouve déjà interrompue pendant la période embryonnaire, par suite de l’oblitération du trou pariétal, et, chez les Oiseaux et les Mammifères, la glande pinéale demeure dans le crâne. Chez l’homme on peut comparer la glande pinéale au compteur ordinal du microprocesseur celui qui donne le rythme et fait avancer le programme selon sa fréquence (impulsion du à la vibration du cristal).
Ils furent connus comme les hommes « aux harpons » et parvinrent dans la vallée du Nil à la fin du paléolithique
Cultes lunaire et solaire : étude comparative
Le choix du rite qu’ont fait les peuples pour manifester leurs croyances a divisé l’humanité préhistorique en deux tendances maîtresses, l’une représentée par le culte lunaire, apanage des peuples communautaires, principalement sémitiques et asiatiques, l’autre par le culte solaire, lequel caractérisait des tendances individualistes et essentiellement occidentales, « boréennes » pour tout dire.
Le terme «guanche» est en réalité un générique, tardivement et abusivement adopté pour la commodité. Au départ, il ne concerne que les habitants de Ténérife. « Guanchinerfe » dans l’idiome local désigne « l’homme de Ténérife ».
Du Totem au Djed : continuité d’une tradition hyperboréenne
A l’origine, le pilier Djed était sans doute le fût d’un arbre ébranché ou un faisceau de gerbes et il jouait un rôle dans les rites agricoles; certains pensent même qu’il s’agirait d’un ancien culte destiné au bétail et qu’il représenterait la colonne vertébrale d’un animal.