Raymond Abellio. Georges Soulès (1907-1986), polytechnicien, militant socialiste et marxiste, chargé de mission sous Léon Blum, sans doute le dernier ésotériste ayant quelque chose à dire en cette fin du XXème siècle. Personne n’a pris la relève depuis à moins que ?…
J’ai eu le privilège de le rencontrer encore étudiant à l’occasion de l’une de ses conférences et il me souvient de sa grande présence et de sa personnalité lumineuse. J’ai depuis mis mes pas dans les siens mais cela a pris quelques décennies. Mais je suis bien là pour la relève et en finir avec les vielles lunes de l’ésotérisme.
Tout commence en avec sa rencontre en 1943 d’une femme (Jane L.) et d’un guérisseur auvergnat (Pierre de Combas) qui changeront sa vie.
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Grâce aux travaux d’un chercheur américain (Elliot Wofson) et à mes propres recherches nous savons aujourd’hui que les guildes de bâtisseurs utilisaient des techniques mémorielles ainsi que des technique de visualisation créatrice pour mener à bien leurs travaux. On en trouve des traces concrètes à Rosslyn. Les pratiques en vue de l’extase sont bien connues dans la Kabbale sous le nom de Merhava ou Merkaba. Faisons le point.
Glastonbury, l’ancienne Avalon, est une petite ville du Somerset, en Angleterre, à 50km au sud de Bristol. Avec ses 10.000 habitants, cette ville attire, depuis le début du 20e siècle, nombre de visionnaires, d’occultistes, d’artistes, de musiciens, de guérisseurs. C’est un centre spirituel multiconfessionnel où se retrouvent Protestants, Catholiques, Spiritualistes, Bouddhistes, Chamans, Prêtresses de la Déesse et bien d’autres esprits libres.
Mais qu’a donc cette ville de si attirant ? Qu’est-ce qui fait que tant de gens s’y rendent en pèlerinage ?
Ruines de l’Abbey
D’après la tradition, en 37 après JC, Joseph d’Arimathie, un Essénien qui avait offert sa tombe à Jésus, vint se réfugier à Glastonbury après la Crucifixion. Il débarqua à Wearyall Hill, où il planta son bâton, qui prit racine et devint un arbre (il y a plusieurs aubépines sacrées à Glastonbury, rejetons de l’arbre de Joseph, les plus célèbres étant à Wearyall Hill et dans l’Abbaye. Elles fleurissent début Janvier et portent à la fois leurs fruits et leurs fleurs, évoquant ainsi un symbole puissant : la vie et la mort en même temps).
L’ordre des Frères mineurs (O.F.M.) (en latin : ordo fratrum minorum), dont les membres sont couramment appelés franciscains, est un ordre religieux catholique né en Italie sous l’impulsion de saint François d’Assise en 1210. À l’imitation du Christ, les membres tentent de vivre une vie de grande pauvreté et simplicité évangélique. Insistant sur l’aspect de fraternité dans leur vie les franciscains ont choisi de s’appeler « frères ».
Quatre penseurs ont marqué l’histoire des franciscains : saint Bonaventure de Bagnoregio, Roger Bacon, Jean Duns Scot et Guillaume d’Ockham et Raymond Lulle.
La définition de l’alchimie selon Roger Bacon :
Pour cet auteur, le soufre et le mercure étaient des esprits métalliques dont le nombre varia au cours de l’histoire. Il en reconnaissait quatre: outre les deux plus importants, l’orpiment et le sel. «C’est avec ces quatre esprits que se prépare la teinture, appelée en arabe élixir et en latin fermentum, employée à opérer la transubstantiation des métaux en argent ou en or».
Jésus avait 12 ans lorsqu’il parle aux docteurs de la Loi dans la grande synagogue. Il les éblouit par sa sagesse et sa maturité. A 13 ans il disparait puis revient à 30 ans pour se faire baptiser dans le Jourdain et suivre ainsi un rite qu’il considère comme essentiel. Entre les deux où était-il ? qu’a t-il fait pendant ces 17 années ? et c’est le grand silence de l’Église… Aujourd’hui on a peut-être un début de réponse.
Cent ans après la fondation de l’empire des Parthes, cent ans aussi après le concile de Patna et la création des missions bouddhiques, donc vers l’année 150 avant Jésus-Christ, nous trouvons chez les Juifs des communautés dont les dogmes représentent la fusion. Les Macchabées organisèrent alors un corps d’assidéens ou saints, que les critiques identifient avec les esséniens. Ceux-ci existaient, en effet, sûrement en 148 et probablement plus tôt. A la même époque, on constate l’existence des thérapeutes ou guérisseurs dans les environs d’Alexandrie. Cette secte, qu’on peut appeler les esséniens d’Egypte, fut plus tard assimilée par Josèphe aux néoplatoniciens.
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