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Epigenèse de la Tradition Primordiale, signes et symboles au Paléolithique supérieur.

Sur cette paroi nous avons un ensembles de signes abstraits qui symbolisent la vie et la mort, les naissance et le compte ordinal du temps

 

La première écriture est géométrique puis la syntaxe viendra. Ce que nous appelons « Tradition primordiale » résulte de la capacité des premiers hommes a avoir une activité abstraite symbolique : entre – 80.000 ans et – 40.000 ans. Les grottes et l’art pariétal servent de « médiathèque » et de conservatoire des connaissances. La Tradition primordiale est donc intimement associée avec l’acquisition de nouveaux schémas de représentation. Pour cela il a fallu que l’homme puisse opérer une distanciation d’avec soi et ainsi pouvoir projeter une représentation du monde. Ici nous allons vous introduire à l’un des premiers concepts : celui de cycle, concept clé de la Tradition.

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Mal’ta et l’énigme du calendrier sibérien

La culture de Malta-Buret, ou encore Mal’ta–Buret’, est une culture archéologique du Paléolithique supérieur (environ de 24 000 à 15 000 AP) située sur la rivière Angara supérieure dans la région à l’ouest du lac Baïkal dans l’oblast d’Irkoutsk, en Sibérie, en Fédération de Russie. Les sites types portent le nom des villages de Mal’ta (Мальта́), du district d’Usolsky et de Buret’ (Буреть), du district de Bokhansky (tous deux dans l’oblast d’Irkoutsk).

La culture tire son nom des sites archéologiques de Mal’ta et Buret’ (ou Bouret’) dans le bassin de l’Angara. Ces sites ont livré des Vénus paléolithiques de style sibérien (fines et aux jambes étirées), dont certaines représenteraient des capuches et le premier pantalon connu.

Ancient stones denote burial grounds from the Karasouk Civilzation in the open steppe of Khakasia

La plaque d’ivoire de mammouth trouvée sur le site de Mal’ta, situé sur un bras de la rivière Angara, immédiatement à l’ouest du lac Baïkal, est sans doute l’une des plus importantes découvertes de l’ère paléolithique. Sa configuration de ponctuations profondément découpées ou de marques de picots arrondis nous en dit long sur son sculpteur et sur l’époque à laquelle il vivait. Les fouilles menées sur le site de Mal’ta en 1928-1931, sous la direction du scientifique russe Mikhail M. Gerasimov (1907-1970), ont permis de découvrir un certain nombre de maisons dont les murs étaient presque entièrement faits d’os de renne. L’une d’entre elles portait même des fondations constituées de dalles de pierre massives posées à l’extrémité. On a également découvert jusqu’à trente figurines de femmes en ivoire, dont beaucoup sont d’un réalisme si frappant que l’on peut imaginer leurs modèles dans d’épais vêtements de fourrure avec des capuchons du type de ceux que portent encore aujourd’hui les peuples indigènes d’Asie du Nord.

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La Chine, une ancienne colonie égyptienne ? rôle des Hyksos

Selon des chercheurs chinois reprenant la thèse du français de Guignes mais avec de nouveaux éléments , la civilisation chinoise pourrait être née en Égypte. Pour alimenter cette théorie, de nombreux textes classiques chinois datant de la supposée première dynastie chinoise connue sous le nom de dynastie Xia ont été analysées. Les recherches sont compilées dans un essai de 93 000 caractères qui fut publié par l’agence chinoise.

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La longue marche des enfants de Râ

 

La longue marche des enfants de Râ

Ils sont arrivés par vagues successives, d’abord du Nord puis du Sud. Ils étaient grand (entre 2 mètres et 2,50)  et couverts d’ocre rouge : on les appelait les hommes rouges et c’est en souvenir d’eux qu’Horus fut surnommé le « rejeton rouge ». Ils venaient d’un pays qu’ils appelaient « L’Ahâ-Men-Ptah » et firent graver son histoire sur plusieurs temples. Leur préoccupation majeure fut d’enseigner les peuple rencontrés ou choisis (?)  et selon les contrées reçurent divers noms : en Égypte ils furent appelée les « Shemsou -Hor ou suivants d’Horus ».

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Sur la trace des hommes rouges : des Néphilims aux Grands ancêtres

Les nephilims, nefilims (hébreu : הנּפלים) sont des personnages surnaturels de la Bible. Le mot « nephilim » apparaît deux fois dans la Torah – ou Pentateuque – (Gn 6. 4 [archive] et Nb 13. 33 ), où il est souvent traduit par « géants », mais parfois rendu tel quel. C’est la forme plurielle du mot « nephel » ou « nāphîl » en hébreu. Selon les interprétations, le mot « nephilim » pourrait signifier « ceux qui sont tombés », « ceux qui tombent » (anges déchus), ou « ceux qui font tomber » (qui corrompent les âmes des hommes).

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Sur la trace des hommes rouges : à l’aube de l’humanité

Ils furent connus comme les hommes « aux harpons » et parvinrent dans la vallée du Nil à la fin du paléolithique

Cultes lunaire et solaire : étude comparative

Le choix du rite qu’ont fait les peuples pour manifester leurs croyances a divisé l’humanité préhistorique en deux tendances maîtresses, l’une représentée par le culte lunaire, apanage des peuples communautaires, principalement sémitiques et asiatiques, l’autre par le culte solaire, lequel caractérisait des tendances individualistes et essentiellement occidentales, « boréennes » pour tout dire.

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Göbekli Tepe et la guerre des étoiles -2

La bataille des étoiles

Perché au sommet d’une montagne avec une vue dégagée sur l’horizon local, il était logique d’envisager la possibilité que les structures mégalithiques de Göbekli Tepe pourraient avoir servi à cibler le mouvement du soleil, de la lune et des étoiles. C’est une question qui a déjà suscité l’intérêt du monde universitaire.

En 2012, Robert Schoch, géologue avec l’Université de Boston, a proposé que les deux piliers centraux des enceintes B, C et D à Göbekli Tepe avaient comme point de visée  le lever de l’étoile d’Orion comme ils auraient pu le faire pendant l’époque de la construction. Aussi attrayant que cela puisse sembler une proposition, et malgré l’importance d’Orion dans les astronomies anciennes les conclusions de Schoch furent rejetées par l’astrophysicien et archéoastronome Giulio Magli de l’Université de Milan. Ayant vérifié les relations de Göbekli Tepe avec Orion à cette époque, Magli découvrit que pour ces alignements puissent correspondre avec les mégalithiques l’ensemble  devrait être au moins plus jeune de 1000 ans que les  estimations, qui suggèrent une fondation pour les enceintes principales autour de  9500-9000 av. JC.

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