Archives du mot-clé Shemsou Hor

Fraternités de l’Égypte antique : Shemsou Hor et forgerons Mesentiou

Plus grande que la pyramide de Kéops : la pyramide rouge de Snéfrou

La pyramide rouge est la troisième pyramide d’Égypte de par ses dimensions et représente la première tentative réussie de pyramide à faces lisses. Elle est attribuée à Snéfrou, premier roi de la IVe dynastie et se situe à Dahchour-Nord, près de la pyramide rhomboïdale à Dahchour-Sud, également attribuée à Snéfrou. Son nom ancien est Khâi-Snéfrou-Mehti (ḫˁj-Snfrw-mḥt.j, signifiant « Snéfrou est apparu au nord » ou « Snéfrou brille au nord »). Son nom moderne de Pyramide rouge provient de la teinte rouge qu’ont prise les blocs internes, riches en fer et en manganèse, composant les faces visibles actuelles de la pyramide, exposées aux rayons du Soleil, son parement blanc ayant disparu depuis longtemps. Cette pyramide présente certaines particularités : si, comme les autres pyramides de Snéfrou, on n’y a pas trouvé de sarcophage, elle est associée à un ensemble funéraire avec un temple haut ; elle ne comporte aucun système de fermeture de ses couloirs d’accès. Les pyramides de Snéfrou, d’un volume total de 3 300 000 mètres cubes (soit 700 000 de plus que la pyramide de Khéops), représentent le projet le plus ambitieux de toute l’Antiquité.

Ils sont arrivés par vagues successives :

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Mal’ta et l’énigme du calendrier sibérien

La culture de Malta-Buret, ou encore Mal’ta–Buret’, est une culture archéologique du Paléolithique supérieur (environ de 24 000 à 15 000 AP) située sur la rivière Angara supérieure dans la région à l’ouest du lac Baïkal dans l’oblast d’Irkoutsk, en Sibérie, en Fédération de Russie. Les sites types portent le nom des villages de Mal’ta (Мальта́), du district d’Usolsky et de Buret’ (Буреть), du district de Bokhansky (tous deux dans l’oblast d’Irkoutsk).

La culture tire son nom des sites archéologiques de Mal’ta et Buret’ (ou Bouret’) dans le bassin de l’Angara. Ces sites ont livré des Vénus paléolithiques de style sibérien (fines et aux jambes étirées), dont certaines représenteraient des capuches et le premier pantalon connu.

Ancient stones denote burial grounds from the Karasouk Civilzation in the open steppe of Khakasia

La plaque d’ivoire de mammouth trouvée sur le site de Mal’ta, situé sur un bras de la rivière Angara, immédiatement à l’ouest du lac Baïkal, est sans doute l’une des plus importantes découvertes de l’ère paléolithique. Sa configuration de ponctuations profondément découpées ou de marques de picots arrondis nous en dit long sur son sculpteur et sur l’époque à laquelle il vivait. Les fouilles menées sur le site de Mal’ta en 1928-1931, sous la direction du scientifique russe Mikhail M. Gerasimov (1907-1970), ont permis de découvrir un certain nombre de maisons dont les murs étaient presque entièrement faits d’os de renne. L’une d’entre elles portait même des fondations constituées de dalles de pierre massives posées à l’extrémité. On a également découvert jusqu’à trente figurines de femmes en ivoire, dont beaucoup sont d’un réalisme si frappant que l’on peut imaginer leurs modèles dans d’épais vêtements de fourrure avec des capuchons du type de ceux que portent encore aujourd’hui les peuples indigènes d’Asie du Nord.

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Tradition primordiale, tradition héliopolitaine, Osiris

Pourquoi Osiris ?

Osiris est certainement le dieu qui a connu la plus grande popularité dans l’Égypte ancienne. Pourtant, il est apparu relativement tard. En effet, ce n’est qu’au milieu de la Ve dynastie (environ 2400 av. J.-C.) qu’il commence à se répandre dans toute l’Égypte en s’imposant dans les formules gravées sur les monuments funéraires.

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La Chine, une ancienne colonie égyptienne ? rôle des Hyksos

Selon des chercheurs chinois reprenant la thèse du français de Guignes mais avec de nouveaux éléments , la civilisation chinoise pourrait être née en Égypte. Pour alimenter cette théorie, de nombreux textes classiques chinois datant de la supposée première dynastie chinoise connue sous le nom de dynastie Xia ont été analysées. Les recherches sont compilées dans un essai de 93 000 caractères qui fut publié par l’agence chinoise.

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La longue marche des enfants de Râ

 

La longue marche des enfants de Râ

Ils sont arrivés par vagues successives, d’abord du Nord puis du Sud. Ils étaient grand (entre 2 mètres et 2,50)  et couverts d’ocre rouge : on les appelait les hommes rouges et c’est en souvenir d’eux qu’Horus fut surnommé le « rejeton rouge ». Ils venaient d’un pays qu’ils appelaient « L’Ahâ-Men-Ptah » et firent graver son histoire sur plusieurs temples. Leur préoccupation majeure fut d’enseigner les peuple rencontrés ou choisis (?)  et selon les contrées reçurent divers noms : en Égypte ils furent appelée les « Shemsou -Hor ou suivants d’Horus ».

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Edfou et les archives de l’Atlantide

C’est à Edfou que l’on peut contempler sur les parois intactes les archives du grand récit de l’Atlantide

 Les textes du Temple d’Edfu traduits et commentés par la remarquable historienne Eve Reymond forment très certainement la source principale du récit de  Platon. Les portes de l’ATLANTIDE nous sont de nouveau ouvertes. Ces écrits sacrés de THOT n’avaient pas fait l’objet d’une telle publication jusqu’à ce jour. Le récit gravé à Edfu est attribué au dieu Thot en personne (cf. E.VI, 181,10) et reproduit sur les murs du temple à partir d’anciens papyrus manifestement perdus. Il s’agit incontestablement des mythiques tablettes ou registres de THOT.

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Sur la trace des hommes rouges : des Néphilims aux Grands ancêtres

Les nephilims, nefilims (hébreu : הנּפלים) sont des personnages surnaturels de la Bible. Le mot « nephilim » apparaît deux fois dans la Torah – ou Pentateuque – (Gn 6. 4 [archive] et Nb 13. 33 ), où il est souvent traduit par « géants », mais parfois rendu tel quel. C’est la forme plurielle du mot « nephel » ou « nāphîl » en hébreu. Selon les interprétations, le mot « nephilim » pourrait signifier « ceux qui sont tombés », « ceux qui tombent » (anges déchus), ou « ceux qui font tomber » (qui corrompent les âmes des hommes).

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Shemsou-Hor et les serviteurs d’Horus

Shemsou Hor faisant une sorte de « Haka », poing levé et serré et de l’autre se frappant la poitrine en rythme un genou à terre. C’était le signe de reconnaissance de ces chevaliers venus en civilisateurs. Venus du pays de Pount.

Les Shemsou-Hor arrivaient d’ailleurs… On les connait aussi sous l’appelation des suivants d’Horus. Mais qui sont-ils ? Ils étaient porteurs de la civilisation qui s’établit sur les bords du Nil, ce que confirment toutes les investigations, y compris celles d’auteurs comme Jacques de Morgan, qui fut un jour partisan d’une origine asiatique… Ce sont les premiers initiateurs des égyptiens et ils arrivent de l’au delà des mers.

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